Illusion à ZÉnor

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Aranel regarda la chute de son camarade sans pouvoir rien faire car tout comme lui, il était paralysé par la peur. Seulement lui il avait peur de le voir tomber la tête la première et de se casser le cou, ou encore les aile, mais il avait aussi la crainte de voir le dragon profité de cette distraction pour les attaquer. Le jeune elfe n'avait pas vraiment un esprit tactique ou guerrier, cependant, lorsque la peur le prenais il pouvait imaginer le pire, sans pour autant se préparé à toit. Mathieu atterri brutalement derrière lui et s'accrocha à sa tunique d'écuyer, si bien qu'il faillit basculer avec lui. Heureusement le jeune garçon aux ailles blanche se releva avec seulement quelques plumes perdu. Aranel se retourna vers son ami, tremblant, qui tenait toujours sa tunique. Il lui prit les mains, comme si ce jeune homme avait été son petit frère, bien que c'était lui le benjamin de la famille son grand frère l'avait souvent fait avec lui et il savait à peut près comment s'y prendre, du moins, il l'espérait.

- Ne t'en fais pas. Lui dit Aranel. Tu es en sécurité au sol. Jamais les Chevaliers va le laisser nous faire du mal.

Il disait ça et il y croyait dur comme fer. Il était persuader que jamais ses braves hommes et femmes ne les laisseraient tombés et certainement pas entre les dents de ce monstre. Aranel espérait ne pas être le seul à ne pas faire confiance au dragon.

- Si tu veux tu peux me tenir la main, déclara innocemment le jeune elfe, comme ça si jamais tu ne contrôle pas tes ailes tu ne quittera pas le sol. Je suis peut-être un elfe mais je suis sur que je pèse plus lourd que ce dragon ! Déclara Arnel pour détendre un peut l'atmosphère, en présentent sa mains à son jeune camarade en souriant.

Son maître lui répliqua automatiquement sur le même ton de bouffonnerie qu'il était bien lourd, mais pas en poids. Le jeune écuyer s'esclaffa et plusieurs des Chevaliers firent de même.

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Kurik essayait de calmer les choses mais les écuyers n'arrêtaient pas de faire des errreurs. Envoyer des messages télépathiques ? Il les comprenait et les interceptait tous. Kurik ne savait que faire. Il recula, lui non plus son instinct lui disait de ne pas faire confiance au Dragon mais il ne voulait pas l'affronter ici et maintenant. Personne n'était prêt à cela. Il décida d'envoyer un message télépathiques aux deux écuyers.

"Taisez-vous les jeunes. Evitez d'envenimer la situation. Personne ne lui fait confiance, c'est un Dragon après tout. Mais on veut éviter les combats avec un tel monstre. Alors, c'est bon, vous vous taisez ?"

Kurik cachait son écuyère, Willo, elle ne bougeait, elle était effrayée pensa-t-il. Il décida de ne rien faire, elle devait surmonter elle-même sa peur. C'est ainsi qu'on apprenait chez les Chevaliers. Ses charmes protecteurs étaient toujours en place et son épée, que personne regardait depuis un bout de temps, débordait d'énergie. Il avait préféré, dés le début, chargé son épée de sa Magie. Mais personne n"y avait fait attention. Dommage ! Si le Dragon venait à attaquer, il relacherait l'élément air que son épée retenait depuis un bout de temps maintenant.

Kurik regardait ses compagnons, puis le Dragon, il ne lui faisait pas confiance évidemment mais essayait de rester courtois pour éviter un quelconque combat.

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Eyrick était arrivé avec son maître, Karmina, il y avait un moment à présent, mais il n'avait rien dit. Il ne comprenait rien à ce que les chevaliers racontaient puisque étant sourd. Il se contentait de rester en arriere suivant l'ordre donné. néanmoins l'apparition d'un dragon avait chamboulé la donne. Il était superbe. Eyrick ne pouvait le quitter des yeux subjugué par sa présence et son attrait. lui parlait dans les esprits et le jeune écuyer pouvait l'entendre. Ce a quoi, au fil de la conversation il fronça les sourcil. Il n'était pas daccord avec les autres chevaliers. Certains en venaient même à se dire que le dragon était mauvais. C'était faux: le jeune garçon en était persuadé. Avec ses griffes, et le reste il aurait pu abbatre la poignée d'humain en un rien de temps alors qu'il ne faisait que leur parler. Et s'il n'avait pour but que de les distraire, pourquoi opérer de cette maniere? Enfin une derniere raison poussait le jeune homme à penser ainsi. Les émoton de ce dragon, Johwan, indiquaient la peine ressentit pour ces habitants à terre. Eprouvant lui même de la colère, il était dacord avec le dragon, et était pret à lui accorder sa confiance. Aussi n'entendant pas les recommandations des chevaliers il s'avança vers ce dit dragon et parla dans son esprit.

*Jowhan, moi je suis Eyrick. J'ai confiance en vous, car si nous détruire ou nous distraire était votre but, je ne ressens rien en accord avec cela en vous...de plus les dragons que mon peuple possedent son affamés et ne parlent pas notre langue.*

Il avait parlé de façon à ce que chacun dans son esprit entende. Le dragon pouvait trouver drolement bizarre un jeune homme à la peau mauve, ressemblant davantage à un insecte qu'un homme, lui parler.

*Si vous allez de l'autre coté...ils vous feront du mal et vous serez obligé de leur obéir, aux insectes. J'ai confiance en vous. Apres tout je suis différent et pourtant je ne suis pas méchant, il en est de même pour vous.*

Le jeune homme sérieux baissa la tête uninstant, signe de respect envers le dragon, animal de ses reves et secrets, empli de légendes racontées par sa mère durant son enfance. il avança sa main vers le dragon et le laissa décider de la suite. Autrement dit il montrait qu'il voulait prouver aux autres la confiance placée en lui....si sa main n'était pas déchiquetée ça devrait aller. Il n'éprouvait pas de peur...étrange mais les insectes étant habitués a la présence de dragons, cela a du rester dans ses genes, de même qu'une créature différente des humain le rassure, il se sent moins seul. Il déclara une derniere fois, mais à voix haute cette fois ci.

Pardonnez moi Maître d'avoir fait fi de votre accord.

Enfin il se tut et ne bougea plus observant le dragon de se sdeux yeux a paupiere verticales

Karmina regarda le jeune Mathieu monter dans les air. Son sang se crispa. Après tout il ne devais certainement pas faire de bétisse. Par la suite elle regarda Zane et Aranel. Le jeune écuyer essaya de réconforter Mathieu ce qui fit chaud au coeur. Finalement elle repossa son regard sur Kurik qui commenca a leurs dire la vériter de se taire pour ne pas entrainer de faux mouvement pour être sur qui ne se passe rien de mal. Karmina regarda le grand chevalier et lui fit un signe de tête comme pour approuver ce qu'il venait tout juste de dire.

Eyrick s'approcha a son tour. Son jeune écuyer étais sourd. Karmina n'avait aucun problème avec cela. Elle s'avait qu'il ferait un super chevalier malgré son problème. La jeune princesse lui monterais tout ce qu'elle s'avais pour qu'il devienne un grand chevalier. Son écuyer la sortie de sa rêverie en s'approchant en ouvrant la bouche pour parler au dragon. Karmina le regarda faire d'un oeil interrogateur. Elle écouta ce qu'il dit au dragon. Il ne sentais alors aucune menace? La jeune princesse sentais en Johwan une sorte de compréhension mais quelque chose l'échappait. Il vallais mieu ne pas le laisser sans surveillance. Son écuyer s'excusa d'avoir parler ainsi. Elle s'approcha de son écuyer et lui fit signe de lire sur ses lèvres.

-Eyrick, je sais que tu ne sens peut être aucune menace mais nous devons être prudent. Nous ne savons pas se que Irianeth peut avoir en tête... Dit-elle d'un ton sévère.

Karmina monta de nouveau sur son cheval et quelque chose attira son attention sur les cadavres. Sa ne ressemblais pas a du vrai sang. Karmina se dirigea en direction du corps qui avait attirer son attention... Elle descendit de son grand cheval pour s'agenouiller près du corps. Quelque chose ne marchait pas. Le sang ne semblais pas réelle d'un sens. Karmina ce mit alors a penser de plus en plus. Il semblais y avoir trop de cadavres pour le nombres d'habitant de Zénor. Le royaume avait été attaquer quelques année plus tôt et le nombres d'habitant avait diminuer de moitier... Karmina fit signe a son bras droit pour la mission de venir la rejoindre.

-Kurik, je ne sais pas mais je sens quelque chose d'étrange. A tu remarquer qu'il n'y avait pas autant d'habitant a Zénor? Et regarde se cadavre... Le sang semble cacher quelque chose...

Karmina resta perplexe devant le cadavre tout en réfléchissant à la cause..

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Ynes était ragayardie. Elle n'avait plus peur maintenant. Celle-ci s'était comme évaporée en quelques instants. Un énorme dragon était apparue et avait l'air de penser que s'était la faute des chevaliers qu'il y ait eu tout ce carnage. Pfff.. ridicule! La situation tournait au ridicule, ils venaient sauver les villageois de Zénor et voilà qu'on leurs faisait porter le chapeau. Ynes était révulsée! Il se prenait pour qui se dragon! Matthieu, lui avait la trouille bleu de celui-ci et Aranel devait penser un peu pareil qu'elle. Au moins, l'on partageait son avis. Elle se faufila entre les chevaliers et vain se placer aux devants, au premier rang. Elle soutenait le regard du dragon d'un air fier qu'il lui allait comme un gant. Rien ne pouvait la faire reculer. Elle n'allait pas laisser le dragon emporter son ami sans rien dire, à gober les mouches. Elle inspira et lança au dragon:

"Franchement, si vous étiez d'Irianeth, vous sauriez qui nous sommes et vous nous auriez attaquer desuite. De même que nous sommes venus pour aller aider le deuxième village en proie à ce désastre, donc si vous pouviez nous laisser nous rendre là-bas pour qu'il n'y ait plus d'éffusions de sang dans les villageois de Zénor, je vous en serait reconnaissante!"

Pendant, son petit discours improvisé, elle avait continué de soutenir le regard du dragon. Elle ne comprenait pas pourquoi l'ange avait peur, il était simplement grand mais pas forcément plus intelligent! Ensemble, ils pouvaient surment le battre. M'enfin, elle allait se faire punir à coups sur! Mais elle ne regretterais pas ses paroles pour autant.

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Kurik arriva près de la chef Karmina. Il garda sa concentration sur son épée pour ne pas relâcher le flux d'énergie mais en même temps réfléchisssait. Les paroles de Karmina étaient justes, il y avait quelque chose de bizarre. Les habitants, le sang, ... C'était irréel. Mais en quoi cela l'était-il ?

La jeune écuyère Ynès fit un léger discours mais ce n'était pas à Kurik de dire mot à celle-ci. Il connaissait la jeune écuyère et le tempéramment de celle-ci. Que pouvait-il y faire ? Il remit son regard sur les cadavres. Il descendit de son cheval et tomba au sol. Mais au lieu de sentir une matière glissante sous ses pieds, c'était autre chose. Trop de corps, trop de sang. Voilà le problème.

Karmina, tu as raison. Il y a trop de corps pour que ce ne soit que des habitants de Zénor. Nous avons un souci.

Il se pencha pour ramasser du sang, mais rien n'apparut sur son gant. Rien ! Mais c'était quoi ça ? Il allait perdre son sang-froid. Il le garda tout de même.

Un gros souci, en fait. Regarde mon gant. Pas une trace de sang.

Il ne comprenait plus. Que se passait-il ?
"Mais c'est quoi ce foutoir !" Pensa-t-il trop fort car les autres l'entendirent.

Désolé !

Il ne savait ce qui se déroulait à ses pieds, mais c'était tout, sauf normal. Ca, il en était sûr !

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Je continuais de regarder les soldats habillée de vert devant moi. Ils étaient nerveux, ils me regardaient, ils sentaient la peur. Un silence de mort s'installa graduellement et l'on entendit maintenant que le son de mon souffle; grave et fort. Le jeune homme aux ailles blanches perdit rapidement de l'attitude pour s'écraser sur le sol, sans blessure, répondant au message de son jeune ami. Je tourna mes yeux rouges vers celui-ci pour l'observer et vraisemblablement ce jeune garçon était un elfe, mais ses yeux n'étaient de la couleurs des feuilles comme les siens, mais bleus. Je ne fit aucun geste, continuant d'observer les humains qui m'observaient jusqu'au moment ou un jeune garçon à la peau mauve s'avança dans ma direction. Mon attention fut directement poser sur cet étrange gamin à la peau violacé, je ne le craignais pas puisque cela aurait été un peut indigne d'avoir peur d'une créature quatre fois plus petite que moi, mais lorsque mon regard se posait sur lui, c'était comme si toute mes barrière physique s'effondraient, comme si j'aurait été obliger de me courber, comme si il avait été mon roi.

*Jowhan, moi je suis Eyrick. J'ai confiance en vous, car si nous détruire ou nous distraire était votre but, je ne ressens rien en accord avec cela en vous...de plus les dragons que mon peuple possedent son affamés et ne parlent pas notre langue. Si vous allez de l'autre coté...ils vous feront du mal et vous serez obligé de leur obéir, aux insectes. J'ai confiance en vous. Apres tout je suis différent et pourtant je ne suis pas méchant, il en est de même pour vous*

Dès ses première paroles prononcé toute mon attention lui fut porter. c'était comme si j'avais posséder des antennes et qu'elles c'était redresser au son de sa voix. Il se présenta, et se rapprocha en tendant la main. Mais je ne fis rien, trop figées par mon nouvel esprit qui semblait vouloir me dicter quelque chose, mais que je n'arrivais toutefois pas a interpréter. Lorsque mon regard rouge se pausait sur cette petite créature des images se formaient dans mon esprit sans pour autant que je ne les comprennent. Je voyais un couronne et un trone mais aussi des griffes du feux et des armes, mais qu'es ce que tout cela signifiait. je ne le savait pas, mais j'était très intriguer de le savoir. Il parlait de son pays natal, ainsi il venait de l'autre rive, mais il prétendaient aussi qu'ils me feraient du mal si j'y allais. Qui arriverait à me faire de mal ? Mes écailles était aussi dur que de la roche et mes sens étaient plus aiguisés. Il se recula, et je gronda violement involontairement. Lorsque la femme l'avait éloigner, se son était sortit d'instinct de ma gorge, comme pour prouver un mécontentement quelconque. Je fis fit des autres paroles sans cesser de fixer le jeune garcon à la peau mauve. Je me sentait extrêmement curieux à son effet, comme si une sorte d'émant essayait de ma rapprocher. Enfin il releva la main et cette fois-ci ja m'activa. D'un pas lent je me rapprocha, pour renifler sa main qui étrangement ne sentait rien. J'avance encore plus mon nez et son membre toucha mes écailles. Il ne sourcilla pas et continua de fixer mon regard qui fessait pourtant peur à ses amis. Mais lorsque sa main rentra en contacte avec mon front, mon esprit fut secouer et emporter dans un tourbillons de couleur étourdissantes. D'étrange sort qui ressemblait à des grincement résonnait dans mon esprit, et étrangement j'en comprenais la teneur. je la comprenais mais j'étais totalement incapable de les interpreter en paroles, ils se formait en forme d'images.

Je recula presque chancelent, mais encore une fois je fut secouer, mais d'un différente façon. Je sentais un étrange picotement sur ma patte de devant, un picotement froid qui bizarrement me brulait. J'hurla de douleur en retourna mon regard vers ma patte au sol qui.... semblait passer au travers d'un cadavre ?... Suffoquant a la douleur qui m'accablait, je poussa sur mes puissante pattes arrière me donnant un élan et déployant mes ailes afin de voler au dessus de la maré de cadavre, je concentra mon énergie et lassa échapper un flot de flamme qui étrangement, ne carbonisa aucun cadavre. Après quelques secondes je me reposa instinctivement devant le jeune homme pour essayer de m'adresser à tous.

''Je crois que finalement que les habitants de Zénor son entrain de prendre tranquillement leurs premier repas de la journée dans leurs chaumière. Aussi bien vous dire que vous n'avez rien n'a craindre.... Non enfin peut-être pas, vous pouvez me craindre si vous le voulez mais je ne vois aucune raison de vous pourchasser. Vous ne m'avez pas l'aire très comestible, surtout avec cette armure.''

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Le Dragon était un peu optimiste mais il avait raison. Soit les Zénoriens ( ça se dit ? ) mangeaient tranquillement sans savoir ce qui se déroulau dehors, soit ils étaient bel et bien morts mais une illusion y avait été ajoutée. Kurik penchait pour la première solution, on les avait berné et le Chateau était sans défense. Une illusion ici et une attaque là-bas. Les Chevaliers étaient partis, le Château était sans défense face à une attaque. Kurik jura et fit par de son raisonnement aux autres.

Le Dragon a raison. Je pense que ce ne sont que des faux cadavres. Et quelque chose me dit qu'on a été berné et que le Château se fait attaquer au moment même où nous parlons.

Kurik remonta sur sa monture, rangea son arme sur son dos et repartit dans l'autre sens, vers les autres Chevaliers, ses frères et soeurs d'armes. Ils avaient l'air un peu épuisés par leur voyage et Kurik présentait qu'ils allaient devoir faire galoper leurs chevaux. Ils soufflaient déjà, ils étaient exténués.

"Froos, tu te sens prêt ?Dit-il par télépathie.

Celui-ci lui répondit par un renâclement. Dommage qu'il ne savait pas parler. Enfin pas le temps de s'appitoyer sur cela. Il reporta son attention sur Karmina.

On fait quoi ? Je n'ai pas l'intention de rester ici des millénaires !

Il se préparait à talonner son cheval et l'envoyer au galop. Un ordre et il était parti en direction du Château, logis des Chevaliers.

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C'était étrange, tres étrange. Ce dragon, j'avais envie de le toucer, de m'approcher de le faire mien. non pas mien...ça c'était le coté insecte qui voulait posséder. Non je voulais...simplement devenir son ami. Ami d'un dragon on aura tout vu mais apres tout j'étais différent et il réagissait lui même. je ressentais son imcompréhension et son hésitation. Lorsque nos peaux entrerent en contact...j'appréciais énormement mais il lui arriva quelque chose. Je ressentis la peur et l'angoisse. A nouveau cete imcompréhension et puis...des sortes de bruits, comme si un animal parlait dans ma tête. mais je n'étais pas sur, ça avait été si bref. Une chose était sure je n'avais pas envie de le quitter, pas maintenant...Pourquoi cette réaction quand mon maitre avait voulu m'éloigner de lui? Je n'avais pas suivit ce qu'il se apssait du coté des chevaliers mais comprit lorsque le dragon, ou plutot sa patte, passa à travers un corps...Dupés! Mes yeux s'agrandirent. Mais alors....je revins un peu à la réalité..Sir Kurik parlait de repartir mais ou? si tout cela n'était qu'un simulacre... je me tournais vers mon maîtr ebien que...j'eux du mal a détacher mon regard du noble dragon.

Mais si...tout est faux....qu'es ce qui est visé?

ben oui forcément, si ils avaient été dupés, c'était pour que Iranieth atteigne un autre objectif sinon quel interet y aurait il? Pour le garçon ça tombait sous la logique. mais son regard rencontra a nouveau celui du majestueux être devant lui. Il ne voyait pas pourquoi les chevaliers avaient peur de lui ni pourquoi Ynes lui avait crier dessus. Alors il parla encore une fois a voix haute de sa voix gutturale de quelqu'un qui ne s'entend pas.

On doit lui faire confiance! je vous jure que on peut!

Puis de nouveau il s'avança vers le dit dragon et sans le toucher lui sourit de son visage si bizarre et lui parla a lui dans son esprit.

*je m'excuse de vous avoir fait du mal..je ne sais pas comment j'ai fait et je ne voulais pas...j'aimerais un jour...apprendre à vous connaitre mais n'allez pas sur l'autre rive...je vous en prie...*

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Eyrick venait de parler. Il était abasourdi et était interessé par le Dragon. Il avait envie de parler avec le Dragon, ils étaient après tout peut-être du même endroit.

Tu veux savoir ce qui est visé ? Dit-il avec un regard noir. C'est nous, nous les Chevaliers qui sommes visé. Irianeth nous vise et veut notre perte. Ils ne sont pas ici. Je ne ressens pas la présence caractéristique des hommes-insectes. Et on ne lui fait pas confiance pour une raison, petit. On ne sait pas de quel côté il est. Et il est surtout indécis. On ne peut lui faire confiance pour cette raison. Si on venait à lui révéler des secrets et qu'il est encore indécis, il pourrait rejoindre Irianeth et nous serions perdus. Alors... Fais attention !

Kurik avait parlé gravement. Il savait que cela décevrait le jeune écuyer mais il devait dire la vérité. Kurik inspecta encore ses charmes protecteurs, il ne voulait pas être blessé.

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Mathieu était donc derrière Aranel et celui-ci le réconforta. Mahieu sentit son cœur battre moins vite et, petit à petit que la discussion se plaçait entre les chevaliers et le dragon, Mathieu lâchait la tunique d'Aranel, même s'il restait fort contre lui. Il était beaucoup honteux d'agir comme un poltron, mais il ne pouvait pas faire autrement, c'était sa nature d'avoir peur d'un rien... Peur de pas mal de chose. Il avait même peur dès fois de sa propre ombre, alors!

Il jeta un coup d'œil par dessus l'épaule de son aîné et vit que Ynes avait parlé et que cela avait ngendré une discussion et des éxamination. Surtout de la part de Sire Kurik et l'écuyer Eyrick. Mathieu n'osait pas se détacher d'Aranel mais il y serait bien obligé un moment ou un autre!

Alors cmme ça, les habitants de Zénor prenaient leur petit déjeuner tranquillement, sains et sauf? Matheu baissa la tête et regarda beaucoup de cadavre sur le sol et tout plein de sang. C'était beaucoup, même pour un royaume. Mais là, il ne s'agissait que d'un seul endroit. Alors était-ce une mise en scène? Un truc d'entraînement? Non, ça serait stupide! On s'entraîne pas comme cela à Émeraude ni ailleurs d'ailleurs!

Le jeune écuyer sentait un vide d'homme-insectes lorsqu'il sonda faiblement la région. Il se tourna vers Aranel qui se trouvait à à peine quelque pas de lui puisque Mathieu ne s'était pas beaucoup éloigné. Et il regarda le chevalier Kurik. Ils semblaient avoir compris qu'on ne visait personne ... à part eux. Que tout était une mise en scène pour autre chose, ailleurs ou bientôt. Pour les distraire.

-Sires, Ladys, Je crois moi que les hommes insectes ont fait une divertion pour allé ailleurs....

Mathieu leva un œil craintif vers le dragon et resta à une distance très respectueuse, tenant fermement ses ailes dans son dos. Il avait peut-être réagit un peu après tout le monde mais bon... Il n'avait pas vraiment suivit.

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Cìryon n'était pas rester plus que quelques secondes dans la chapelle, lorsqu'il avait senti l'énergie néfaste des sorciers il c'était volatiliser. Il était très important que l'ennemie ignore qu'il l'immortel les aidaient, sinon ils se concentreraient sur lui et il ne pourrait surveiller adéquatement Onyx si il avait à se défendre et a se cacher en tout temps. Il savait de quoi ses ennemis étaient capables, il avait vus se qu'ils avaient fait avec son confrère Abnar et il ne voulait pour rien au mode être déposséder de ses pouvoirs. Puisque sans ses pouvoirs, au yeux des dieux, il ne serviraient plus à rien et cet immortel n'avait aucun envie de devenir une créature mortel. Sa vie simple d'immortel lui plaisaient aisément et puisqu'il n'aimait pas se qui était compliquer, il ne voudrait pas posséder autant d'émotions de les humains. Il était né pour servir les dieux et c'est se qu'il fessait bien que parfois leurs désirs n'étaient pas très claires. Il c'était matérialiser sur les flancs des montagnes de Béryl, a cet endroit personne ne pourrait le déconcentré alors qu'il fessait voyager son esprit. Il se concentra et prononça quelques paroles dans le langages des immortels. Sous peut, son corps ne fut plus physique mais bien sous forme d'énergie. Ainsi bien que cette capacité lui prenait beaucoup d'énergie il pouvait tout voir. Il dirigea aussitot son attention vers la campagne d'Émeraude qui était vraisemblablement attaquée par les hommes insectes. Ils étaient beaucoup mais aussi très forts et robustes. Les soldats d'Émeraudes tombaient un par un sous la force de leur lances. Plusieurs champs étaient en feux et les villageois fuyaient leurs villages. Vraisemblablement c'était le carnages, mais même dans cet adversité Cìryion réussissait à garder son calme en tout temps. Cependant, lorsqu'ils étaient sous cette forme spirituel, il ne voyait pas comme vous et moi, mais plus sous forme de couleurs flou. Les créature à sangs chaud était d'un rouge éclatant tandis que les êtres magique étaient en surbrillance. Les guerriers insecte n'étaient pas magique mais leur grande forces les fessaient briller légerement. Seul, les Émériens n'arriveraient pas à les vaincre.

Cìryon chercha alors les Chevaliers d'Émeraudes et il les trouva grace à leur reflets magiques. Il étaient dure sous cette forme de manquer les êtres magiques, surtout quant ceux--ci se déplacaient en troupe. L'immortel incrusta leur énergie dans son esprit et se matérialisa devant eux. Bien que sa formes spirituel lui empêchait de voir le corps des être il fut tout de même surpris de trouver une énorme bête noir parmi eux. Il lui jeta quelques coups d'œil et il se surprit à penser qu'il avait beaucoup de ressemblance avec les Dragons dorées que Parandar gardaient dans ses forets célestes.

- Bonjour Chevaliers, dit-il calmement en amplifiant sa voix à l'aide de ses pouvoirs. Je suis l'immortel Cìryon et j'ai pour mission d'aider Abnar dans la tâche que les dieux lui on donnés.

L'immortel jeta un coup d'œil à la plages ou il avait maintenant les pieds et remarqua qu'elles étaient emplis de cadavres de toutes sortes. Avec de simples paroles dans la langues des dieux, toute cette scène macabre se volatilisa, pour laisser place à la lueur du Soleil et au sable blanc.

- Puisque celui-ci n'a plus la capacité de venir vous alerter, je suis venue le faire, déclara t-il en promenant ses yeux verts perçants sur ces Chevaliers, fouillant leurs âmes. C'est Émeraude qui est assiégé, les guerriers insectes ont pénétrés dans le royaume et attaque la campagne. Et pour ce qui est du chateau, se sont contre trois sorciers que la garde royale se fracassera. Vous devez vous mettre en route immédiatement.

Cìryon avait dit cette phrase avec tant de calme que cela sembla ébranler les chevaliers, ainsi que le dragon qui le fixait. L'immortel se demandaient comment ces hommes et ces femmes éduqués allaient réagir à cet ultimatum. Il sentait la fatigue de certains et il se demanda si il ne devrait pas leur redonner de la force. Que ferrais Abnar à ma place ?

Karmina regardait les corps qui se trouvait étendu sur le sol. Il y avait quelque chose qui ne marchait pas. Il devait absolument y avoir un erreur quelque part. Kurik étais du même avis qu'elle. Les corps ne semblais pas réelle. Karmina ne pencha vers le sol et mis sa main sur le cadavre le plus prêt. Sa main passa a l'intérieur du corps pour ensuite aller toucher le sol. Elle resta bouche-bée.

*- Une diverssion de la par des sorciers d'Irianeth...

Elle se trouvait stupide de plus en plus de ne pas l'avoir remarquer plus tot. Elle regarda alors son écuyer qui sommenca a parler. Karmina lui fit les gros yeux. Il devait laisser les chevaliers parler d'abord. Avec leurs accord il pouvait placer des phrases. Elle resta alors debout devant les cadavres. Elle regarda Kurik qui conpris très vite ce qu'elle pensait. Il devait au plus vite retourner au château pour ne rien qui arrive au Roi. Elle se dirigeas vite vers le centre des chevaliers et écuyer pour leurs expliquer la situation. Par contre un Immortel apparu devant eux. Karmina stoppa le pas pour l'écouter. Il leurs expliqua qu'il y avait des sorciers au château d'Émeraude. Karmina le savait qu'il y avait eu un piège. Elle fit signe de tête a l'Immortel comme pour lui dire qu'elle avait compris ce qu'elle avait a faire. Elle ouvrie la bouche pour expliquer au autres ce qui ce passerais par la suite.

- Chère frère et soeur d'armes, nous avons été piégé par une illusion de la par du chef sorcier d'Irianeth. Nous allons donc vite se diriger au château pour aller protégé les habitant qui y sont, et surotut protégé notre Roi. Les chevaliers devant et les écuyer derrière par contre Drew je veut que tu reste derrière pour que tu surveille nos écuyers.

Karmina monta sur son cheval et regarda droit devant elle tout en espérant qu'ils n'arriverais pas trop tard...

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Le jeune elfe continuait de rassurer son ami et de surveiller le dragon en même temps. Son cœur faillit s'arrêter de battre lorsque la créature hurla, il avait porté aussitôt les mains à ses oreilles pour protéger ses tympan, lâchant les bride et encore une fois il avait faillit se retrouver sur le dos si son maitre n'aurait pas retenue les rennes de sa monture. '' Ne lâche jamais la bride de ton cheval '' Lui avait alors dit son maître, c'était une leçon qu'il n'allait pas oublier de sitôt. Les chevaliers s'interrogeaient sur les cadavres des villageois de Zénor qu'ils trouvaient anomal, Aranel lui n'y porta pas très attention. Après tout, c'était une affaire d'adulte, pensa t-il. Cependant il reçut aussitôt le regard désapprobateur de son maître, signe évident qu'il fouillait souvent son esprit. Mais pourquoi que cherchait-il au juste à savoir ? Si Zane cherchait la fidélité d'une jeune elfe a l'ordre il n'avait pas trouvé meilleur sujet, puisque jamais le jeune Aranel ne pouvait s'imaginer maintenant en dehors de cette ordre. Cependant l'arrivée d'un personnage inattendu mit rapidement fin à ses pensé de jeune garçon. Durant quelques secondes il eut craint que ce personnage eut été l'un des redoutable sorcier d'Irianeth, mais sa grande toge et son allure de sage le rassura aussitôt. Cependant, contrairement à se qu'il avait crus, il ne s'agissait pas de Maître Abnar. C'était un autre immortel du nom de Cìryon.. En l'examinant de plus près le jeune garçon lui trouva une très forte ressemblance avec les gens de son peuple. Est-il possible qu'il y est des Elfes permis les immortels ? Mais il arrêta de se poser des question pou écoutez ce que l'immortel avait à dire, un frisson de peut lui parcouru l'échine lorsqu'il leur annonça que Émeraude était attaqué... par des sorciers ! La panique se prit dans son corps, il savait à peine se servir d'une épée et il allait devoir faire fasse à pas un, mais trois sorciers ! La main de son maître se posa sur son épaule le pressurant guère. Il allait dire ses inquiétude lorsqu'un flot de lassitude et de colère le prit. L'immortel avait dit ses phrases sans aucune émotions ! N,y peut n'y crainte ! N'y angoisse n'y tristesse ! Aranel n'en revenait pas de ses oreilles, même maître Abnar fessait preuve de plus de civilité Puis Karmina celle qui était temporairement en chef des Chevaliers venaient de leur dirent qu'ils devaient partir immédiatement. Immédiatement ?! Alors qu'ils ne s'étaient presque pas reposer après quatre jour de galop a bride abattue ? Le jeune elfe soupira, il était exténuer et jamais il ne tiendrait le coup et il était sur de ne pas être le seul. Il voyait le visage blasé de ses camarades, aucun d'eux n'osaient protester, bien qu'ils étaient tous épuisée. C'était de la pure folie à son avis, et même si ils arriveraient en temps, lorsque viendraient le temps de combattre l'ennemie ils seraient tous exténuées !. Aranel prit une grande respiration et pris la parole.

- Pardonnez moi, Lady Karmina, mais je suis épuisé. Jamais je n'arriverais à tenir en selle encore bien longtemps et je crois que je ne suis pas le seul. Nous venons à peine d'arriver et la nuit dernière nous n'avons presque pas dormi....

Le jeune elfe jeta des cous d'œil furtif à l'immortel qui les regardaient, impassible. Aranel se demandait si il ne pourrait pas les aider, jadis Abnar l'avait déjà fait avec les anciens Chevaliers, mais il ne revenait pas à un écuyer de s'adresser à un immortel. Le jeune elfe retourna son regard sur la femme chevalier et il se vit rougir lorsque les regards des autres se posèrent sur lui. Étrangement son maître ne le réprimandé pas pour son initiative, mais il lui envoya plutôt une vague d'apaisement.

Invité

Kurik attendait et écoutait depuis un certain temps. Ils devaient repartir au plus vite, le château était attaqué et le jeune écuyer Aranel voulait se reposer. Il n'en revenait pas, quel idée stupide !

Karmina, on ne peut pas s'arrêter ! Si nous nous reposons, c'est du temps de perdu pour le château et je doute qu'il tiendra encore longtemps sans nous. Il se tourna vers le reste des Chevaliers. Ceux qui veulent se reposer, restez si vous le souhaitez mais moi, je n'ai pas envie de voir notre dortoir, notre roi, notre château à terre à mon retour. Que vous le vouliez ou non, nous sommes obligé d'y aller ! Aranel, tout le monde est fatigué, moi le premier mais je resterai éveillé jusqu'à ce que notre château soit sauvé. Kurik regarda Karmina. J'y vais, je ne peux supporter de penser au château envahi par... Les hommes-insectes. Désolé si je te désobéi, mais j'y vais, je subirai mon châtiment en toute logique après. Puis il talonna son cheval et quand il fut parti, il dit une dernière chose en se retournant. Surveillez mon écuyère pour moi !

Puis il s'était enfoncé dans la forêt et avait coupé tout lien télépathique avec les autres. Il savait que Karmina n'allait pas apprécier, mais elle devait se rendre compte que l'affaire était urgente. Et puis, le jeune écuyer Aranel l'avait énervé par ses paroles. Se reposer ? Il n'y pensa tout de même pas.

Invité

Eyrick reçut comme regard de son maître un signe fortement désaprobateur. Ses pensées sortianet plus vite qu'il ne le voulait parfois mais les règles étant les règles..il avait du mal à s'y tenir. Il allait à nouveau intervenir lorsque ce fut un immortel qui apparut devant eux...il leur expliqua ce qu'il se passait à Emeraude et le jeune garçon fronça les sourcils...bien dupés ils avaient été! et maitnenant le danger était si loin! il doutiat que jamais ils n'arrivent à temps même en mettant leurs montures au galop. Cependant il remonta sur son cheval et regarda encore une fois le dragon pour lui parler.

*Vous n'aimez pas le massacre...alors pourquoi ne pas nous aider? j'ai confiance en vous....je suis sur que nous pourrions tous nous entendre.*

Il n'eut pas le temps d'en dire plus qu'il falalit se mettre en route et le jeune écuyer à l'arriere comme ses compagnons. Bientot, ou peut etre quelques heures plus tard, le temps échappait au jeune homme mauve aranel demanda une pause ce qui eut pour effet d'énerver sir Kurik qui partit seul à travers bois. Etait ce raisonnable et en accord avec le code? le jeune homme en doutait mais il n'avait pas le droit de juger un chevalier. Aussi se sontenta t'il de s'approcher de son maître. Il la regarda dans les yeux puis lui demanda la parole. Il avait une question qui ne pouvait pas attendre. Il finit et ce même si karmina refusait par parler a haute voix.

Maître? même si vous ne prenez aucun repos arriverons nous à temps? ...les enfin...serait il possible qu'on nous aide? cela a été fait pour les chevaliers du passé...

Il baissa la tête, ne voulant pas trop parler mais il pensait, oui que l'immortel répondant au nom de cyrion, devrait leur donner un coup de main si les dieux ne voulaient pas voir le royaume d'emeraude tomber sous le joug insecte! Eyrick éprouvait la rage envers sa moitié insecte et la jeunesse le poussait en avant, cependant il savait ne pas avoir le droit de foncer sans réfléchir et encore moins sans son maître. Son esprit était toujours occupé en partie par le dragon qu'il espérait non loin d'eux. Etrangement e contraiement aux autres sa présence le rassurait....

Karmina pensais fortement qu'il devait se dépêcher au plus vite. Il ne devait pas laisser le château seul plus longtemps. Par contre l'écuyer Aranel s'approcha et lui dit qu'il était fatiguer. Qu'il ne tiendrais pas longtemps sur sa scelle. Karmina baissa la tête. Elle aussi étais épuisser. Mais pouvait'il laisser le château plus longtemps... Kurik s'approcha et commenca un discours. Karmina l'écoutait avec beucoup d'attention. Il avait raison tout les deux... Lorsqu'elle s'appreta a parler le jeune chevalier partie seul dans les bois en direction du château. Ce qui enragea la jeune chevalière. Se n'étais pas vraiment digne de chevalier de ne pas suivre le code, de ne pas protéger ses frère et soeurs d'armes. Karmina baissa la tête. Son écuyer s'approcha alors d'elle, il lui dit alors qu'il n'arriverais surment pas a temps... Karmina réfléchis un instant. Évidament... Mais nous devons courir le risque pareil de se rendre... Nous ne pouvons pas laisser les autres comme sa... Par contre l'idée de Eyrick la fit sourire... Demander de l'aide... Mais a qui au juste. Elle pensa un peu et fit un clin d'oeil a son écuyer comme pour le féliciter. C'étais un raisonnement intelligent. Elle commenca a penser. Nous pourrion demander de l'aide au autre royaume.. Par contre il faudrait se rendre sur place et sa prendrais encore plus de temps. Elle pensa et se retourna vers l'Immortel.

- Pouvez vous vous rendre dans les Royaume pour leurs demander de nous rejoindre sur le chemin du château d'Émeraude? De cette manière nous serons plus puissant lorsque nous arriveron si jamais il y avait des surprises au château ou avant le château.. .

Elle regardait les autres bien sur ils étais fatiguer mais de cette manière nous pourrions prendre notre temps pour que les autres ai le temps de nous rattraper. Elle reta assise sur son cheval a regarder les autres chevaliers.

Invité

L'immortel observait ces hommes et ces femmes parés de vert avec le même regard impassible qu'il lançait à tout le monde. Ses yeux verts percant parcouraient un à un les membres de l'ordre devant lui, avant qu'il ne se tourne vers le dragon. Il fut surpris de trouver une conscience à l'intérieur de lui car généralement les animaux que créait Parandar n'en avait pas. Il ne se posa pas plus de questions puisque ce n'était pas son rôle dans ce monde. De plus, depuis son arriver Cìryon avait remarqué qu'Enkidiev était différant en tout point d'Osantalt et bien qu'il n'y est pas été depuis des centaines d'années, il était persuadé que cette île tranquille n'avait pas changée d'un pouce. Plusieurs minutes passèrent sans qu'il n'interviennent dans les querelles des humains, en réalité il essayait plus de comprendre leurs résonnements. Pourquoi plusieurs des hommes qui se trouvaient parmi eux éprouvaient de la colère à l'idée qu'un des enfants est exprimé son besoin de se reposer ? Les humains sont décidément des créatures incompréhensibles, j'imagine qu'Abnar a dut avoir recours à plusieurs années avant de s'y habituer. Résonna l'immortel, amusé. Les voix des Chevaliers se turent finalement et une jeune femmes à la chevelure blonde comme du blée se tourna vers lui, en s'inclina léger

<< Pouvez vous vous rendre dans les Royaume pour leurs demander de nous rejoindre sur le chemin du château d'Émeraude? De cette manière nous serons plus puissant lorsque nous arriverons si jamais il y avait des surprises au château ou avant le château.>>

Faignant l'incrédulité Cìryon faillit arqué un sourcil, mais il se reteint afin que les Chevaliers ne voient pas cela d'un mauvais oeil. Après tout les humains étaient imprévisibles et ils auraient put mal interpréter son interrogation. Même si il l'aurait voulut, l'immortel n'aurait pas vraiment pu s'introduire comme cela dans les forteresse des autre royaumes puisque seulement Émeraude était au courant de son existence, aussi réunir des troupes assez importantes prendrais beaucoup de temps et rien ne voulais dire que les autres royaumes accepteraient d'aider celui-ci. Il réfléchit quelques instants, avant de ressentir une puissante énergie monter vers le royaume des cieux. Cìryon comprit immédiatement que les dieux avaient rappeler à eux son confrère Abnar. Il retourna rapidement son regard sur la femme chevalier avant de répondre.

- Je ne peut me rendre dans les pays voisins pour les avertir. Déclara t-il l'aire grave. Je peut cependant raccourcir votre chemin et vous redonnez des forces. Cìryon les regardaient et il vit certains de leurs visages s'illuminés. Surtout, ne descendez pas de vos chevaux.

L'immortel aux yeux verts se rapprocha des Chevaliers en prononça des paroles qui leurs étaient strictement inconnue. Un cercle lumineux se formant alentours d'eux, ainsi que du dragon, puisqu'il ignorait si il les accompagnait ou non. Durant quelques secondes, ils furent tous transportés dans ce qu'on appellent un vortex. Ils réapparurent quelques secondes plus tard aux abord de la rivière Dilmun à la frontière du royaume de Perle et d'Émeraude.

- Vous me remercierez plus tard, déclara l'immortel en inclina la tête par politesse, je suis appelez ailleurs. Bonne chance Chevaliers.

Puis sans plus de façon, n'y de mouvement, Cìryon se dématérialisa sous leurs yeux.

( Suite dans le Royaume d'Émeraude )

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