Mission : illusion à Zénor

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Illusion à Zénor, la mission se poursuit ici au royaume d'émeraude. Vous pouvez poster ici tous en groupe ou vous séparez parmis les villages et la campagne. Si vous le faites, crée un sujet mission dans ces endroit pour ne pas que l'on s'égare, Merci.

Allez à l'attaque Chevaliers !

Depuis deja quelques jours, karmina et le reste des ses frères er soeurs d'armes trottait sur le dos de leurs cheveux pour se rendre au plus vite au chateau d'Émeraude. Sur la route ils regardait un peu partout pour essayer de voir si il ne verrait pas Kurik a travers les bois. Bien sur le jeune chevaliers devais absolument être un peu plus en avance qu'eux. Plus les chevaliers avancait plus la jeune princesse s'entais quelques chose de dangereux... Elle sentais non loin un petit sentiment des troupes ennemis... Il fallais bien avancer pour se rendre au plus vite en lieu sur.. Ou pour essayer de remettre la justice sur Enkidiev...

Karmina fit signe au autres membres de la troupe de prendre une posse de trois minutes. Le temps de se dégourdir les jambes un peu parce que par la suite, ils ne s'arreterais plus. La jeune chevalière descendis alors de son cheval pour marcher un peu. Elle regardait en direction du château. Elle espérait que Kurik irais bien. Après tout c'étais un bon chevaliers. Il serais capable de se défendre si jamais il tombait sur quelque chose. Karmina ferma les yeux. Elle essaya de capter se qu'il y avait loin ou proche d'eux. Elle sentais la présence d'ennemis... Se qui choqua la jeune princesse. Elle partie a courrir en direction de son cheval. Elle regarda les autres chevaliers et écuyers puis commenca a parler, ou plutot a crier...

-Je sens des présence ennemis a proximiter! Essayer vous aller voir. Je propose que nous nous dépêchons a nous rendre au plus vite au château. Et surtout préparer vous a vous battre...

Karmina regarda les écuyer qui semblais être un peu terrifier. La jeune princesse regarda Eyrick et lui fit un clin d'oeil comme pour l'encourager. Ils partirent alors en direction du château pour appercevoir des troupes ennemis.. Ce n'étais pas des hommes-insectes... C'étais plus gros et plus puissant...

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Kurik était déjà arrivé. Il s'était caché et avait déjà repéré plusieurs groupes d'adversaires mais ils étaient trop puissants pour lui seul. Ses longues observations lui permirent à lui, comme à son cheval de se reposer un peu. Ils ne s'étaient pas arrêtés en cours de route, cela se sentait aussi. Ils ne tenaient plus debout quand ils étaient arrivés à Emeraude.

Les ennemis étaient trop nombreux pour lui, et surtout trop puissants, il l'avait senti. Il avait remarqué qu'ils tuaient sans aucune difficulté et ne regardait aucun prisonnier de guerre. Ils étaient féroces, violents, tueurs. Kurik en frissonait toujours.

Puis, un moment, les autres arrivèrent. Enfin ! Cela faisait plusieurs jours qu'il les attendait mais il se devait de garder ses commentaires. Un chatîment l'attendait déjà alors autant ne pas l'alourdir de commentaires.

Karmina, vous voilà ! Je croyais que vous arriveriez plus rapidement que cela. M'enfin, les ennemis sont puissants. Je crains même trop puissants. J'ai vu les horreurs qu'ils commettent. Autant nous dépêcher !

Il regardait les autres, ils étaient complètement fatigués. Il regarda ensuite l'horizon, le château était là-bas, au loin, il le savait. Il était attaqué et ils ne pouvaient rien faire. Il enrageait.

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Le jeune elfe suivait son maître dans la troupe de chevalier. L'intervention de l'Immortel lui avait redonner la force de monter en selle et de se servir de ses mains. Physiquement il était pret, mais mentalement l'était-il autant ?.. L'idée de combattre des hommes insectes qui fessait deux fois sa taille le terrifiant et pourrait peut-être même l'empêcher de se mouvoir, mais Aranel ferait tout en son pouvoir pour devenir Chevalier et ne pas faire honte à son peuple. Même si il était effrayer il continuait tout de même à faire avancer Zénor, le cheval qui lui avait été donner. La tension était palabre, personne n'osaient parler ni même murmurer ou penser fort. Tous se préparait au combat qui fessait rage auquel ils s'ajouteraient bientot. Lui, et son maître Zane ainsi que les Chevaliers Karmina et Kurik c'était séparer du groupe pour se diriger vers le chateau, les autres défendaient la campagne et les villages avoisinants. L'idée qu'il ni est seulement que trois Chevaliers pour défendre le chateau lui donnait froid dans le dos avant qu'il ne se rappelle que la garde royale devaient aussi défendre le chateau. Cela lui donna un peut de courage et Aranel recommença a respirer normalement, du moins, le plus qu'il le pouvait puisque les chocs de sa monture au galop lui coupait parfois le souffle. Puis alors qu'il recommençait à prendre confiance, le chevalier Kurik déclara que les guerriers insectes semblaient redoutable. Le jeune elfe tressaillit en entendant la voix du Chevalier dans sa tête. Ce chevalier qu'il trouvait plus que sévère lui donnait la chaire de poule, il n'aurait pas aimer être son écuyer pour la simple et unique raison qu'il était persuader que sire Kurik le réprimanderait tout le temps. Il semblait aimer la tranquillité et se qui demandait d'être sérieux et le jeune elfe était tout le contraire. Aranel était heureux que maître Abnar est choisit le Chevalier Zane pour être son maître puisqu'il n'était pas humains lui aussi, il pouvait parfois comprendre son éloignement envers les autres.

Aranel continuait de suivre son maître distraitement, il pensait à comment serait la vie si il n'i avait pas de guerre entre les humains et les hommes-insectes, cependant il fut soudainement sortit de ses pensés. Son cheval s'arrêta si violement que le jeune elfe faillit se cogner le nez contre son encolure. Le choc fut dure pour son dos, mais il se retourna pour voir pourquoi sa monture c'était ainsi arrêter. Ses yeux verts croisièrent ceux de son maître qui tenait fermement les brides de Zénor, étant perdu dans ses pensés le jeune écuyer n'avait pa vus l'obstacle qui se trouvait devant eux : un petit régiment d'homme-insecte leurs barraient la route. Le jeune garçon sentit le sang dans ses veines se glacer lorsque son regard parcourra leur mandibules et leurs griffes acérés. Recouverts d'une épaisse carapace presque noir, les plus gros insectes tenaient une lance dans leurs mains et émettaient des sifflements aigus. Les autres couraient apres des villageois tout mandibules dehors. Le jeune elfe sentit la peur monter en lui, ils étaient encore loin du château et ils n'y avaient que trois chevaliers pour combattre ses monstres. Ils n'étaient pas nombreux certes, mais comme lavait dit sire Kurik, ils semblait très fort, du moins, les plus grands. Aranel ne pensait qu'a fuir avant qu'ils ne les voient, c'étaient la seule façon qu'ils avaient d'atteindre le chateau, mais l'un des chevaux piaffa et lea guerriers-insectes se retournèrent et les apercurent. À le vues de leurs yeux globuleux, le jeune écuyer voulait reculer, oui faire reculer sa monture, mais son maître qui tenait encore fermement les brides de sa monture, l'en empêcha.

*Ne t'inquiête pas, lui dit son maître par la pensé, tout ira bien.
Mais nous ne somme que...
Nous ne sommes peut-être pas beaucoup, mais nos cœurs et nôtre volonté sont bons. Nous les repousserons.
J'espère que vous avez raison maître.
J'ai toujours raison.*

Aranel se retourna vers l'homme-fée qui lui vit un clin d'oeil avant de lui envoyer une puissante vagues d'apaisements. Cette dernière phrase était lacer pour lui changer les idées, cela réussi jusqu'au moment il il posa les yeux sur le détachement d'homme-insecte qui se rapprochait d'eux. Vers la gauche l'on pouvait apercevoir ses monstres qui essayait de détruire les habitants d'un village et Aranel comprit l'importance qu'avaient les Chevaliers d'Émeraude. Il prit une grande respiration pour reprendre son sens-froid et il ne cessait de se répêter de ne pas céder à la peur. Ils allaient renvoyer ses créatures cruelles d'où elles venaient.

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Un cheval n'avait pu s'empêcher de hennir, ce qui révéla leur présence aux hommes-insectes. Kurik jura, vérifia les charmes protecteurs de son écuyère ainsi que les siennes. Il aurait voulu les étendre aux restes du groupe mais il se serait tué à la tâche où en serait resté longtemps épuisé. Il dégaina sa lourde épée, et l'air autour des Chevaliers se fit directement plus lourd.

Il savait qu'il devait attendre les ordres de Karmina, mais il préparait déjà une attaque par son élément. Le vent empêcherait bientôt leurs ennemis d'approcher d'eux, mais qu'un court instant. Il regardait les autres, tous étaient apeurés ou essayaient de garder leur calme en vain. Même lui sentait la peur étriper ses intestins, l'ennemi était plus nombreux mais aussi plus forts qu'eux.

"Froos, tiens-toi bien !" Envoya-t-il à son cheval, mais inutilement car la peur le tenaillait terriblement.

Kurik voyait les ennemis se rapprocher. Le combat allait bientôt se dérouler. Tous attendaient un mot de Karmina et ils se lanceraient...

La jeune princesse et la troupe de chevaliers étais encore loin du château d'Émeraude, il restait encore plusieurs heures pour y arriver. Karmina pensait a ce qu'elle pouvais faire pour arriver plus tôt mais quelques chose la sortie de ses pensée. C'étais le chevalier Kurik. Il c'étais chacher finalement. Ce qui soulagea la jeune chevalière. Lorsqu'il s'approcha d'eux ils leurs expliqua que les troupe de l'ennemis étais trop puissante... Karmina senti son coeur se serrer. Non, il devait absolument être a la hauteur pour protégé Enkidiev. Au même moment des dizaines de troupes ennemis apparue au bout du chemin. Karmina ferma les yeux et les sonda. Ce n'étais pas des homme-insectes. Ils étais beaucoup plus puissant. Des guerrier impériaux... A merde! C'étais ceux la que la bande a Wellan avait eu du mal a repousser. Pas grave nous nous y arriverons... Karmina ce retourna vers les autres qui étais avait elle. Il semblais un peu térrifier. La jeune princesse ouvrie la bouche pour leurs parler avant que les ennemis les ateignent.

-Cher protecteur d'Enkidiev... Nous ne somme pas un grand nombres, mais notre coeur est pur, et pour cela, les dieux nous donnerons la force de les vaincres... Ce sont des guerrier impériaux alors ils sont plus puissant que de simple petit homme-insectes, rester toujours sur vos garde.

Karmina leurs fit un signe de tête respectueusement et débarqua de son étalon. Elle se plassa sur la ligne de front. Kurik se dépêcha de venir la rejoindre puis finalement tout les autres. La jeune princesse fit apparaitre son épée double dans ses main pour se mettre en position de combat. Avec une épée dans une main, elle chargea l'autre avec le peu de magie télékinésique qu'elle avait appris depuis qu'elle étais jeune.

-EN POSITION DE COMBAT!

Les guerriers se rapprochait de plus en plus puis finalement il fut qu'a quelques mètres d'eux. On pouvait entendre leurs crie qui étais pour eux un simple language incompréhensible. Lorsqu'ils ne fut qu'a quelques centimètres, la jeune princesse suplia les dieux de les aider...

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L'impact allait avoir lieu. Ils n'étaient plus qu'à quelques mètres. Encore quelques pas de leur part et ils étaient sur les Chevaliers. La tension montait au sein des Chevaliers.

Kurik se prépara, des guerriers impériaux. C'était sûr qu'ils allaient y rester. Leurs écuyers n'étaient pas prêts, eux non plus. Heureusement, le terrain n'était pas à leur désavantage ni à l'avantage de leur ennemi. Toutce jouerait sur les techniques de combat.

Yaaahhh !

Le combat venait de commencer, les guerriers impériaux étaient arrivés, Kurik lança ses premiers rayons incendiaires. Il savait que le combat allait durer. Trop durer ! S'ils épuisaient, ils n'arriveraient pas jusqu'au château.

Il commença à frapper mais ses ennemis étaient rapides et paraient une grande partie de ses coups et ceux qui passaient n'éraflaient qu'à peine les ennemis. Le combat semblait durer déjà depuis plusieurs minutes. Kurik sauta de son cheval, se battre avec le gênait énormément.

"Vas, Froos ! Vas !" Envoya-t-il à son cheval, il préférait l'envoyer loin des combats. Le perdre le déchirerait. Il commençait à frapper à partir du sol. Il commença à utiliser le vent à sa faveur, faisant dévier un maximum de coups. Ses charmes protecteurs étaient mis à rude épreuve aussi.

Il avait beau regarder, aucun de leurs ennemis n'étaient tombés. Ils étaient invincibles... Puis... La chance lui sourit. Son épée rentra dans la chair d'un ennemi qui hurla. Puis celui-ci s'écroula. Il était mort ! Enfin, le premier mort.

Le combat continuait...

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Le cœur battant à la chamade dans sa poitrine et les mains serrant les brides à se les écorcher, Aranel était assis sur le dos de Zénor, inquiet. À masure que les ennemies se rapprochaient, sa respiration, malgré lui, s'accélérait. Les énormes yeux globuleux des hommes-insectes ainsi que leurs mandibules lui donnait frénétiquement froid dans le dos. Serrant les jambes sur sa selle, il essayait de se calmer, il le devait, il ne pouvait pas rester là, paniqué sur un champ de bataille. De ses yeux bleus et aussi claires que le ciel, il fixait ses horribles créatures qui se rapprochaient lentement, mais qui se rapprochaient tout de même. Ils ne couraient pas, leurs carapaces recouvrant la totalité de leurs corps, cela ne devaient pas les laisser bien se mouvoir. De plus en plus tremblant, il se répéta ses forces et ses faiblesses pour se donner du courage. Il était rapide, agile et il savait bien viser, mais son manque de force et d'entrainement à l'épée le désavantageait sur ce point. Les hommes-insecte ne semblaient pas très agiles, cependant selon les dires des Chevaliers ils disposaient d'une très grande force physique. Pas étonnent avec tout cette chose qui les recouvrent ! Pensa-t-il. C'est insecte lui rappelait les scarabées du Désert don il avait l'image dans un livre, sauf qu'ils n'avait pas de cornes et qu'ils se battaient avec des lances. Aranel arrêta d'examiner les guerriers impériaux lorsque Karmina sonna l'attaque. Il respira un bon coup et se rapprocha plus près de son maître qui s'apprêtait à charger. Celui-ci se pencha vers lui pour lui dicter des ordres bien précises.

- Reste en selle avec les autres écuyers le plus longtemps possible, mais n'expose pas ta monture aux griffes de ses monstres. Je veux que tu utilise ta magie pour les vaincre. Bombardez-les.

- Et l'épée ?, demanda l'elfe.

- Si ta vie est en danger défend toi, mais sinon je veux que tu reste avec les autres pour protéger nos arrières.

Conscient que son maître lui donnait une tache importante, le jeune elfe était soudain très fier d'être sur ce champ de bataille. C'était la première fois qu'on lui fessait entièrement confiance et il n'allait pas désobéir à son maître. De plus savoir qu'il n'aurait pas à affronter ces guerriers aux corps à corps le rassurait un peut. Son maître débarqua de cheval et Aranel en prit automatiquement les reines. Il était impératif que sa monture ne se sauve pas, elle étaient leurs seule espoir en cas de retraite. Avant de foncer Zane lui dicta une dernière parole :

- Si nous tombons au combats, toi et les autres écuyers, sauvez vous et allez demandez assistance a nos voisins de Diamant.

Solennellement, Aranel hocha la tête persuader que rien ne pouvait arriver à le cheville des Chevaliers. Ils étaient les valeureux défenseurs d'Enkidiev, rien ne pourraient les arrêter. Ils remporteraient cette bataille !. Les combats s'engagèrent brusquement et le Chevalier Kurik fut le premier à foncer sur l'ennemie. Ensuite viens au tour du Chevalier Karmina et de Zane. Encourager par l'arrivez des Chevaliers d'Émeraudes certains soldats qui étaient rester à l'égard se joignirent a eux, mais bien rapidement ils se firent écraser par la forces de ces scarabées géants. Surveillant d'un œil son maître, Aranel envoyait des rayons incandescent sur l'ennemie, sans toutefois les faire tomber. Ils reculaient un peut, mais ils continuaient toujours d'avance. Heureusement les gros scarabées n'étaient pas extrêmement nombreux. Puis, le premier guerrier impérieux tomba devant le Chevalier Kurik qui continuait de se battre habilement. Encouragé le jeune elfe continuait à attaquer les hommes-insectes avec sa magie, mais leurs carapace semblait protégé. C'est alors que manquant sa cible, son rayon alla se loger dans l'œil d'un homme-insecte. Celui-ci porta sa main griffu à son visage en hurlant.

*Maître ! S'écria-t-il par la pensé afin que tous puisse l'entendre, ils sont sensibles des yeux !*

Le jeune elfe redoubla d'efforts affin de bombardez les yeux des guerriers-insectes devant les Chevaliers. Aveuglés, ceux-ci ne pourraient pas bien se défendre se qui laisserait une chance aux Chevaliers de les abattre plus facilement.

Depuis deja quelques heures, les chevaliers qui se trouvais sur le front tuait les homme-insectes le plus habilement qu'ils étais capable. La jeune Karmina se servais de sa magie pour essayer de les assomer pour qu'ils sois le moin stable. Le jeune Aranel avait trouver qu'il étais sensible dans els yeux. Depuis se temps, tout les chevaliers frappait vers cette direction. La noirceur se rapprochait de plus en plus et le nombre d'ennemis ne semblais pas diminuer. Il semblais en avoir de plus en plus a toute les heures. A vrai dire on ne pouvait pas vraiment voir le bout de cette bataille. Tans pis les chevalier continurait jusqu'a la mort si il le fallais. La jeune princesse regarda les chevaliers. Il semblais tous bien de débrouiller. Les Écuyers derrière lancait des rayons incendiaires, ce qui les aidait beaucoup. Elle regarda Eyrick qui étais en bonne état. Par contre il semblais fatiguer. Il ne devait pas lacher. Il devait continuer jusqu'a la fin. Pendant qu'elle se battait, la jeune Karmina eu un mauvais présentiment. Elle se retourna vers Zane... Sa semblais avoir rapprot avec lui. En donnant des coup d'épée au ennemis elle vit alors un insect se rapprocher de plus en plus de lui. Zane ne semblais pas le voir venir. Karmina cria alors de toute ses force en direction de son frère.

- ZANE! ATTENTION! DERRIÈRE TOI!

Karmina n'eu le temps que de le dire le jeune chevalier n'eu pas le temps de réagir. La lame d'un des guerrier impériaux traversa son coeur. Karmina senti son coeur se déchirer a son tour. Elle avait passer toute sa jeunesse avec lui. Il étais comme on pouvait dire son meilleur ami. Elle n'allais pas le laisser mourrir comme sa. Elle essaya de se rapprocher de lui mais les guerriers étais trop nombreux. Elle frappait dans tout les sens coupa ainsi des dizaines de têtes.

Elle senti alors la detresse d'Aranel qui n'avait pas manquer une seconde du spectacle qui venait juste de se passer. La jeune princesse regarda Kurik qui avait vu lui aussi le massacre. Tout les chevaliers avait presque perdu tout leurs moyen. Karmina réussis alors a laisser sortir un petit son.

-Non.. sa ne se peut pas...

Elle essaya a nouveau de se faire un chemin vers le corps de son frère mais il y avait trop de guerrier. Elle continua a essayer d'avancer...

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Le Soleil était presque couché et les mains du jeune Aranel le fessaient de plus en plus souffrir. Il avait arrêté depuis quelques temps de lancer des rayons incandescents. Ses mains étant devenues trop douloureuses, il utilisait par moment son pouvoir de lévitation afin de destabiliser les coléoptères du mieux qu'il pouvait, cependant, cette méthode marchait moins bien que la précédente. Même si l'Immortel leur avait redonnée de la force vital, il ne pouvait faire autrement que de se sentir faiblir. Utiliser constamment ses pouvoirs magiques était aussi épuisant qu'un entrainement à l'épée. De plus, son postérieur le fessait aussi souffrir, écoutant comme un charme son maître il n'avait jamais quitter le dos de Zénor. Les hommes-insectes ne s'étaient pas approchés des écuyers ils étaient beaucoup trop concentrés à se battre contre les adultes que les enfants.

Depuis quelques heures, au yeux du jeune elfe, tout cela semblait aller de mieux en mieux. Ils y avaient de plus en plus de guerriers tombés au sol, même si il semblait en arriver toujours plus. Ne se décourageant pas, Aranel essaya une fois de plus de se servir des ses rayons incandescents, mais la douleur fut si aigu que le jeune elfe laisse échapper un cri de douleur. Maître Abnar leur avait souvent répété d'utiliser avec délicatesse ce pouvoir, au risque de perdre ses mains, mais lorsqu'il la dit Aranel devait certainement avoir la tête ailleurs. Ressentant la douleur de son écuyer, le Chevalier Zane se retourna vivement pour l'apercevoir qui se frottait les mains sur son destrier. Le jeune écuyer releva la tête et croisa les yeux sombres de son maître pour lui sourire, afin de lui montrer qu'il n'avait rien. Aranel vit son maître lui faire un clin d'œil avant de se retourner vers les guerriers qui c'étaient rapprochés. Fier, Aranel continuait d'observer se Chevalier si étrange qui était devenu son maître. Sauf que dans une fraction de seconde, il perdit son sourire éblouissant pour laisser place à un masque d'horreur sur son jeune visage. Sous ses yeux bleus éblouissants il vit la lame d'un coléoptère transpercer le corps de son maître. Aranel sentit son cœur arrêter de battre lorsqu'il le vit tomber sur le sol.Lla gorge nouer durant quelques secondes aucun son ne sortit de sa bouche, jusqu'a ce la salive veulent bien s'y accumuler et qu'il puisse crier. Prestement, il débarqua d'un bon de son cheval. Fessant fit des avertissements que lui lançaient ses camarades, Aranel s'enfonça dans la masse de coléoptère. Agile et rapide comme un chat, il courait à toute jambes vers Zane qu'il avait vus s'effondrer plutôt. Se jetant sur le sol il évitait de peut de se faire lacérer par un guerrier-insecte, ses griffes n'ayant déchirée que le rebord de sa tunique. Le jeune elfe se précipita vers le corps inanimée du Chevalier Zane, les larmes aux yeux.

- Maître...

Il releva la tête vers un coléoptère qui s'approchait d'eux, une graine de colère reluisait dans son regard humide. Il se releva en tirant sa petite épée d'écuyer. Hurlant de rage, il se précipita vers l'énorme insecte qui fessait trois fois sa taille.

- Ne l'approchez pas ! Criait-il, Ne vous approchez pas !

Imprudemment, mais instinctivement il releva sa lame lorsque l'insecte géant voulut le harper, mais le choc fut si fort pour l'écuyer qu'il allait rouler plusieurs mètres sur le sol. Croyant qu'il l'avait tuer, le guerrier-insecte continua sa route meurtrière vers d'autres personnes. Décidé à vouloir venger son maître, Aranel se traina sur le sol pour récupérer son épée. Il se releva, un bras lové contre sa poitrine pour se diriger vers l'insecte, mais un bras tremblant lui retint la jambe. Reconnaissant l'énergie de son maître il se laisse lourdement tomber sur les genoux à ses cotés.

- Maitre, je.. je n'aurais pas.. si je....

Aranel balbutia, mais n'arriva pas à formuler sa phrase car les mots se coincèrent dans sa gorge. Puis une voix rauque et rempli de souffrance, à peine audible, prononça quelques paroles :

- Aranel... Souffla son maître, sau.....sois...f..ort..

Le jeune elfe regarda ses yeux sombres se figer dans un infime sourire. Des larmes silencieuse reluisait sur son visage alors que son maître venait d'entré dans le royaume des morts. Incapable de bouger, au milieu d'un champ de bataille, il fixait de ses yeux bleus la dépouille de celui qui avait été son maître, sans porter aucune attention à se qui se passait autour de lui. Son maître venait de mourir, il était désormais seul pour former son avenir...

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Audrey était loin du combat et des chevaliers lorsque leur combat a commencé, en fait, il était en route vers Émeraude, un simple paysan comme lui, sans statu social important ne pouvait pas s'imaginer qu’il allait se retrouver au cœur d'un tel affrontement. Le soleil se couchait, ce qui était, parce qu'il n'avait jamais pensé arriver à Emeraude en pleine journée, mais sa le nuisait, parce que par moment, il se servait du soleil en prenant des positions où sa lame devenait très difficile à voir lorsque ce dernier brillait de toute sa splendeur. Aussi, il ne désirait pas faire peur au chevalier qui l'a entraîné, si jamais ce dernier existait vraiment. Même si ça faisait trois ans ou deux qu'il ne l'avait pas vu, il s'en souvenait.

Lorsqu'il s'approcha du château, sur la route, des lumières incessantes captèrent son attention. Il vit alors plusieurs enfants occuper à lancer des rayons incendiaires sur de grand insectes, ils étaient environs trois dizaines, d'imposants coléoptères attaquant sans relâche un groupe d'adulte. EN premier lieu, Audrey se dit ouf, il pensait que les chevaliers devraient se faire écrasés par un tel groupe, mais il revint sur sa conclusion hâtive lorsqu'il vit le corps inanimé d'un chevalier et son écuyer près de lui. À ce moment, Audrey compris qu'il était le temps de participer, comme le disait Dominic, regarder autrui être pris dans des difficultés sans lui venir en aide était simplement immoral, il fallait agir. Heureusement, Audrey n'était pas très loin des écuyers et du groupe de combattants. Il vérifia son armure et son sabre un instant, puis il commanda son cheval.

-On dirait qu'on va devoir se jeter dans la mêlée, je ne les connais pas, mais peut être que je pourrais connaître la vérité.

Il ramera son regard vers le champ de bataille et lança son pouvoir d'inspection. Il ne pouvait s'approcher de ses monstres sans connaître ses faiblesse, puis il se rappela que Dominic avait mentionné que les bras de ses guerriers était faibles, il se concentra donc sur ce point et découvrit une drôle d'articulation. Leur carapace semblait trop dure pour être traversée, mais il observait une faille dans le bas du cou, une mince section du corps de l'insecte n'était pas protégée par sa carapace. Il s'arrêta lorsqu'il vit deux insectes s'approcher dangereusement d'un écuyer regardant le cadavre d'un chevalier, ce dernier ne les avait pas vus. D'un geste rapide il s'approcha et arrêta sa course proche des chevaliers, puis il sauta de son cheval sans dégager son arme, son maître ne lui avait pas enseigné à la sortir comme tout le monde. Et maintenant, il était surement trop tard, tous l'avait déjà remarqué grâce à sa belle armure rouge. Audrey prit une légère course, il passa devant plusieurs chevaliers. Il exécuta une roulade et atterrît devant l'écuyer menacé par un coléoptère qui levait son arme. Il recula sa jambe droite et dégageant son arme et se mit rapidement en position de garde. IL chassa la lame de l'Insecte, se mit en position de frappe, brandissant son sabre vers le ciel et frappa en visant son cou. Sa lame traversa le corps de l'insecte qui s'écroula, tout en éparpillant son sang noir autour de lui. Le deuxième insecte se tourna tout de suite vers lui, Mais Audrey fut aussi rapide avec ce dernier, il s'approcha de sa victime et lui coupa les bras. Tout en regardant le guerrier impériaux s'écrouler, Audrey se remit en position et vit de nouveaux guerriers arrive, il semblait ne pas y avoir de fin, surtout que ces derniers étaient très bien protéger, leur carapace ne présenta que peu de failles.

- Donc c'est l'anarchie. Ce n'est plus le temps de posé des questions.

Audrey prit une respiration, fallait vraiment se rendre à Émeraude aujourd'hui. Il n'avait aucun titre, qu'est-ce qu'il faisait là ?

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Eyrick se battait lui aussi, éloigné de son maître par les insectes, il utilisait de préférence sa magie avant tout autre option même si l'épée luia vait été apprise. Il utilisait la télékinésie pour leur faire lever les bras ayant remarquer comme chacun apres plusieurs heures, la faiblesse de ces être qui lui ressemblaient un peu...D'ailleurs devant le jeune hybride, ils semblaient moins enclain à attaquer comme si ils reconnaissaient un des leurs...Aussi le jeune homme pouvait profiter de cet instant d'hésitation et le mettre à son profit. Mais il ne comptait déja plus le nombre de fois ou il s'était retourné de justesse pour ne pas se prendre un coup fatal. Mais le plus étonnant était les larmes qui ne cessaient de couler de ses yeux. Car si le jeune homme était sourd, il ressentait tout, et lesblessures de ses compagnons come la mort des insectes était dure à supporter. Alors qu'il allait esayer d'attaquer un nouvel adversaire, il s'arreta en plein élan. Son maître hurla et lui même sentie un énorme poid à la poitrine...Il se retourna d'un coup. Sir Zane! il venait de...finir...sa vie. Non...impossible, mais la douleur prenait la place dans l'esprit du jeune homme, et la douleur D'aranel fut bientot sienne comme celle de tous les chevaliers et écuyers présents.

-Nooon, vous allez...Allez...

Il ne se controlait déja plus, prit dans une de ses colère destructrice, le jeune homme mauve leva ses paumes et des boules violettes en sortirent pour aller frapper leurs ennemis, les faisant ainsi reculer mais surment pas mourir, il fallait les attaquer pour cela mais Eyrick prenant son épée, dans une rage incontrolable, se fraya un chemin jusque Aranel frappant à tort et à travers avec une agilité qui lui étaitinconnue jusqu'alors. utilisant ses pouvoirs en même temps que l'épée il tua plusieurs insectes avant d'arriver jusqu'a son compagnon. Un homme étrange a l'armure rouge était devant aussi...Mais Eyrick ne fit pas attention à lui et prit le bras de Aranel.

-Ne reste pas ici...tu ne dois pas mourir...pour lui...reste en vie allez viens!

Il tira le bras du jeuneelfe pour l'inciter à se lever. le jeune homme sourd se retourna d'un bloc et frappa un garde das un cri de rage...Il voulait aider son ami, ou plus précisement son futur frere d'arme, il ne le laisserait pas comme ça quitte à lui mettre une gifle pour lui remettre les idées en place.Les larmes s'étaient taries laissant place à la haine de la mort pour le moment.

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Comme tout les humains vertus de vert, j'avais été transporté magiquement jusqu'aux berges de la rivière. Un léger picotement m'avait fait redresser les écailles de surprise. Se transport n'ayant durés que quelques secondes, j'aurais toutefois préféré me déplacer par mes propres moyens. Les soldats étaient partit prestement à la recouses des leurs, tendit que j'avais décidé de rester sur la berge pour me désaltérer. Je resta quelques temps là, à observer la nature dans toute sa tranquillité, loin des combats et des scènes cauchemardesques. J'hésitai encore entre rester sur ce continent qui ne voulait, vraisemblablement, rien savoir de moi ou partir vers cette autre rive qu'ils appelaient Irianeth. Le jeune garçon à la peau mauve m'avait dit que son peuple ne me traiterais pas bien, mais pouvais-je vraiment me fier aux paroles d'un jeune garçon ? Pour savoir si il me disait réellement la vérité, pour en avoir la certitude, il faderais que j'ai rencontrer cette terre de moi même. J'étais et je suis d'une nature curieuse, j'aime découvrir par moi même et peut-être que ces contrés, en échange de mon service aurait mieux à m'offrir que la peur que je sème sur Enkidiev. J'irais dans ces contrés lointaines, mais pas aujourd'hui...

Je pris quelques heures pour réchauffer mes écailles au Soleil, cette étape étant cruciale pour ma survie si je voulais tenir la nuit. Lorsque je me sentit frais et dispos, je me releva, bien tranquillement pour étirer mes muscles. Voulant me dégourdir les ailes qui avaient été trop longtemps sans bouger, je m'élança vers le ciel. Gagnant peut à peut de la hauteur je dépassais maintenant de plusieurs mètres la cime des arbres. Les nuits étaient froides dans cette région du continent, je décida de mettre le cap vers le sud. Je survolais le Royaume d'Émeraude depuis plusieurs minutes lorsqu'une odeur de fumée parvient à mes narines. Curieux, je perdis volontairement de l'altitude afin de voir un nuage de fumée s'élever au dessus de se qui me semblait être un village. Plissant les yeux j'apercevais à travers les flammes des pauvres gens qui fuyaenit et permis eux, d'énormes créatures à la peau brunâtre qui ne semblaient pas craindre les flammes. Contournant l'épais nuage de fumé je pu mieux les apercevoir, plus grand qu'un homme ces insectes semblaient aussi très robustes. Ainsi voilà les insectes dont parlaient les soldats en verts ? Je m'approcha un peut plus du village en feux pour apercevoir une jeune femme qui hurlait entre les flammes. Décider à ne pas la voir mourir dans d'atroces souffrances je me précipita vers le sol pour la saisir délicatement entre mes griffes. Elle hurla de terreur, mais je fis comme si je n'entendais rien et je suis aller la déposer plus loin vers un boisé où les flemmes ne s'étendaient pas. Elle arrêta hurler mais me contempla terroriser, un long moment. Je me retournai pour partir lorsque ses lèvres voulurent prononcer quelques mots.

<< Si vous avez une conscience...Sauvez mon fils.. . Il s'appelle Lonel... il a cinq ans.. Il ne mérite pas de mourir ! >>

Sans plus un renard je m'élança dans les aires afin de repérer ce jeune garçon. Je ne savais pas pourquoi j'aidais cette femme, mais mon instinct me dictait de la faire. Je regardais, à l'aide de mes iris rouges, à travers des chaumière à la recherche d'un jeune enfant. Les seules choses que je percevaient étaient des gens qui se regroupais les un autours des autres, soit pour transporter les cadavres ou les blessés. Le découragement pelait sur leurs visages apeurés. Puis près d'un puits j'aperçus une petite silhouette ; Un jeune garçon essayait de s'orienter à travers toutes ce va et viens. Je dus descendre très bas afin de l'attraper par la ceinture du bout de mes mâchoires. Je ne voulais prendre le risques de le blesser avec mes griffes. Les gens hurlèrent et s'écartèrent en me voyant fondre sur le jeunot en larme. Je le rapporta prestement à la jeune femme que j'avais recueillit plutôt. Folle de joie elle étreignit son fils. Cette scène me toucha, mais je décida de repartir avant ses remerciements.

Dans le ciel, je tourna mon regard vif vers la droite et par le même moment j'aperçus ses mêmes soldats au milieu d'une masse d'insecte qui se battaient férocement. Autours d'eux, les cadavres des insectes s'empilait sur le sol. Ils semblaient bien se débrouiller, devais-je les aider ou aller porter secours au villageois ? J'étais au dessus des nuages à observer les combats, me demandant toujours si je devais intervenir, lorsque je sentis un torrent de tristesse et de rage m'envahir. Ces émotions n'étaient pas les miennes, alors pourquoi je les ressentais si fortement ? Étrangement, dans mon esprit se forma l'image du jeune garçon mauve qui avait eu le courage de s'avancer vers moi, malgré les protestations des siens. Il l'avait fait sans peur avec une confiance non feinte. Il m'avait aussi demander de les aider, chose que j'avais refusé de faire. Mais en voyant ses pauvres gens courir dans tout les sens, mon jugement en était affecté. Je revoyais dans mon esprit les images d'un territoire remplis de cadavres et de sang. Non, je ne voulait pas revoir ces images.

Je piqua abruptement vers la masse brune qui entouraient de ses braves gens, au centre de ceux la j'aperçus le jeune enfant mauve, près d'un cadavre d'un des siens. Me fessant remarquer, j'ouvris ma mâchoire avant de laisser un cri puissant s'échapper. Les coléoptères levèrent tous les yeux au ciel alors que je tournoyais sauvagement au dessus de leurs tête. Les hommes vêtus de verts en profitèrent pour asséner des coups mortels à certaines de ces créatures. Les homme-insecte ne réagir qu'a mon troisième grondement, d'où ils levèrent leurs lances au ciel en sifflotant, de gloire. Étrangement je compris leurs étranges langages et leurs sifflement se résumaient à : << Nous sommes sur la victoire, l'empereur nous a envoyer un de ses mâles. >> Irrité, je gronda de plus belle. Rira bien qui rira le dernier. D'un battement d'aile furieux je me dirigea vers les humains au centre, les contournant pour faire face aux coléoptère je cria quelques paroles dans mes pensés pour les humains.

* Baissez vous !, leur envoyais-je alors que je piquait vers la marré d'insecte.*

Les humains ne tardèrent pas à se baisser et je passa prestement au dessus de leurs têtes en relevant les pattes afin de ne pas les harper. Cela fut un grand choc pour les insectes, mais pas pour moi. Mes écailles rigides n'ayant pas senti la douleur lorsque je leur fonça dedans. Fessant tomber plus d'une vingtaine de scarabées au sol, je m'empara de deux sujets à l'aide de mes puissantes pattes postérieurs. Revenant vers les hauteurs afin d'échapper aux lances des hommes-insectes qui avaient maintenant compris que j'étais leur ennemie, j'enfonçai mes griffes dans la chaire des deux insectes que je tenait, avant de les laisser tomber sur le sol. Leurs peaux étaient peut-être rigides, mais face à mes griffes acérées, elles étaient aussi molles que de la chaire.

La jeune princesse ne savait plus du tout quoi faire avec ce qui venait tout juste de se passer. Son frère d'armes venait tout juste de mourrir devant ces yeux. Sa elle ne le rennais pas. Les guerrier n'avait qu'a bien se tenir vis a vis elle. Elle regardait son écuyer. Il allait bien. Une chance. Elle fit le plus attention possible car elle ne voulais pas offrir le meme spectacle a Eyrick. Aranel semblais souffrir énormément. Aranel étais au chevet de son maitre que la vie commencais a quitter lentement. Elle se dépêchait a se frayer un chemin pour aller les rejoindre. Eyrick étais debout devant Aranel qui étais a genoux, son écuyer protégait son frère. Au moin il savait ce que vulais dire la famille... Kurik lui avait un peu trop de guerrier autour de lui pour aller rejoindre les enfant. Tans pis Karmina devait aller les rejoindres. Elle donna des coups d'épée le plus fort qu'elle le pouvait. Unn guerrier approcha d'elle. Elle planta son épée dans sa george. Ce qui le tua tout de suite. Elle trancha le bras du suivant. Il ne manquait que quelque insectes et elle atteindrait le corps de Zane. Un frisson d'horreur parcouru tous son être lorsqu’elle vu qu’un guerrier impériaux s’approchait des enfant par derrière. Eyrick ne pouvait pas l’entendre arriver. Il s’élanca pour se préparer a rentrer sa perche dans le corps d’Aranel qui étais coucher sur le corps de son maitre. Karmina donna des coups au guerriers qui se trouvait devant-elle et réussis a déboucher devant l’écuyer coucher. Elle l’attrapa par le bras et d’une force surhumaine, elle le projeta un peu plus loin pour quil sois plus en sécurité.

La lame du guerrier impériaux traversa son corps. Qu’elle douleurs se dit-elle. Elle ne sentais plus rien seulement le sang qui coulais sur son ventre. Heureusement la lame n’avait pas atteind ses point vitaux. Mais par contre elle se vidait de son sang. Elle tomba a coter de Zane qui étais maintenant mort. Eyrick qui se trouvait devant-elle se retourna puisqu’il senti quelques chose. Il resta pétrifié. Karmina essaya de le réconforter en lui fesant un clin d’oeil. Par la suite ses pensée se posa sur Atlance. Le roi qu’elle aimait au fond d’elle. Par contre elle ne savait pas vraiment comment le Roi pouvait tenir a elle. La jeune princesse ferma les yeux et commenca a parler a son Roi.

-Si je dois mou..rir .. Je veut que vous sach...iez que je vous aimee...

Elle sentais la panique autour d’elle mais elle savait que Kurik prendrais la tête si jamais il y avai quoique se sois. Drew,Ynes,Aaron et les autres arriverons bientot... Du moin elle l’espérait de tout son coeur.

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Karmina venait de tomber, une épée venait de la traverser. Un lâche l'avait attaquée par derrière. Il avait déjà tué une dizaine de ces guerriers impériaux, Zane aussi était tombé, lui il était mort, trop tard. Kurik savait que la mort s'ensuivrait s'ils ne faisaient rien. Tout se précipitait, il ne savait pas où regarder, ils étaient submergés.

"Quel merdier !"

Tous autour de Karmina et de Zane, je veux conserver leur corps. Beugla-t-il.

Ses amis tombaient, il ne pouvait pas rester là à rien faire, il perdait sa patience, il allait laissé sa colère parler mais... Il devait son calme, pour le bien de chacun et surtout le sien. Il devait prendre des décisions en tant que second.

"Karmina, tu devras me le revaloir celle-là."

Il commença à trancher à l'aveuglette, pour se retrouver enfin près du coprs inerte de Karmina et sans vie de celui de Zane. Les larmes lui montaient aux yeux, ses amis, ils tombaient comme des mouches. Il devait se venger pour... Pourquoi ? Pourquoi devait-il les venger, il ne savait pas mais il devait les venger.

Protégez-les, je veux leur rendre tous les honneurs.

Les lames se fracassaient, les adversaires tombaient, mais ils revenaient sans cesse, comme ressuscités.. Kurik décida d'user de sa Magie, il le devait. Il créa alors un vent d'une puissance qui retiendrait les adversaires quelques instants, mais cela l'épuisait.

Il parla:

-Aranel, Eyrick, partez vers les bosquets ! Sans discutez ! Vous êtes notre avenir. Allez vous cacher avec les autres écuyers.

Il sentait ses forces faiblir, déjà, son mur l'épuisait.

Allez, tout de suite !

Puis il relâcha la pression et se remit à fendre des corps et encore des corps, son bras le lançait, il savait qu'il allait y rester mais les écuyers survivraient... Ils le devaient !

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Il n'avait plus rien à comprendre pour l'instant, seulement un but à accomplir, exterminer tous les insectes, ce que Audrey pouvait faire très facilement. Depuis quelque temps, il répétait toujours les même mouvements ou presque, il chasse l'arme de son ennemi, joint ses parents et lève son sabre, l'accote sur son coudre et frappe en avançant sa jambe gauche. La plupart du temps, un scarabée tombe, Audrey connaissait trop bien leur points faibles. Quel ne fut pas sa surprise lorsque le dragon passa devant en envoyant à ses côté deux nouveaux scarabées. Surpris, il laissa soudainement tombé son sabre.

- Merci, j'avais besoin de nouveaux problèmes, J'aime votre façon d'écraser les insectes.

Il jeta un œil derrière lui et vis qu'une femme chevalier avait rejoint celui qui est tombé au combat. Puis, il vit la lame d'un des guerriers impériaux traverser son corps. Il fallait agir et rapidement, mais son sabre à terre et un autre guerrier qui lui bloque le chemin, pas simple. Le coléoptère tenta de le frapper, mais il se tasse et prit sa lance, puis un ses horrible griffes et recula en le tirant vers le sol. Son ennemi n'attendais cette manouvre et s'écrase dans le sol, la tête la première, il était encore plus désolé pour lui que pour le chevalier mort, ça devait faire mal. Il passa par-dessus ce dernier et ramassa son sabre. Lorsqu'il le reprit, il l'arme à sa droite, en remontant son sabre, la lame vers soi et la tourna au dernier moment pour frapper son ennemi. Il avait bien visé et coupa ses bras. Les évènements se déroulaient trop vite pour Audrey, sans qu'il sache pourquoi, les ennemis furent poussés par un vent violent et puissant. Il profita de cet instant pour tuer les deux insectes qui étaient prêt de lui, il n’était pas affectés par ce vent, mais ce dernier leur semblait prioritaire, pas pour rien qu'ils aient accordés aucunes importance à Audrey. Un petit instant de répit lui fut accordés, Audrey feu capable de compté les scarabées qui faisaient encore opposition, ils n'étaient plus que trente, environ.

- Messieurs, il ne reste plus qu'une trentaine d'insectes, ils n'étaient pas si nombreux ou suis-je dans les patates ?

La pression fut soudainement relâchée, Audrey recula. Les chevaliers essayaient de se regrouper autour des victimes, mais il savait que le temps ne leur était pas donné, Pourquoi fallait-il absolument qu'il soit mêlé à ce merdier. Il leva son sabre, les points vers ses arrières, l'accota la lame sur son coude et joint ses pieds à nouveau, il était encore prêt à frapper, il le fallait. Les insectes étaient déjà prêts, et dans quelques secondes il allaient à nouveau attaquer.

- Messieurs, je pense que des présentations s'imposent, si vous êtes contents d'avoir un nouvel ami pour combattre avec vous.

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Pres de mon futur frere d'arme, de mon copagnon, je l'incitais à se lever, il le fallait. Mais bientot je ressentis un terrible chamboulement et vit la gueule d'un dragon! Magnifique Johwan venait de noue rejoindre et ce n'était pas pour causer notre perte, si seulement les chevaliers pouvaient s'en rendre compte et l'aider ensuite.. J'étais heureux mais cela n'effaça pas le chagrin de mon ami ni le mien face à toute cette barbarie. Je ne contiendrais plus longtemps la colère qui se déchainait à l'intérieur de moi, qui me hurlait de tout massacrer mais puisque Aranel avait besoin de moi je ne dis rien. Cependant, je ressentis comem une douleur atroce...Je me retournais instinctivement pour voir, karmina mon maître tomber au sol juste devant moi transpercée par la lame d'un guerrier noir....Non...mes sens refusaiant d'y croire, et alors que je n'entendais pas ses mots mais ressentais un sentiment étrange qu'était l'amour, je me baissais pres d'elle. Je tranchais les bras du scarabée qui avait osé faire ça à mon maitre meme si celui ci était déja blessé...j'étais en rage. Et kurik qui hurlait à coté de nous mettre dans les bosquets... Je ne voulais pas! je ne pouvais pas l'abandonner pas ici, pas mon maitre! Aussi au mot sans discuter" je grogna et poussa un cri de dément, les yeux emplis de larmes mais soulevant mon compagnon Aranel je le trainais jusqu'aux bosquet.

Apres quoi, et tant pis pour les remontraces, je le cachais et retournais sur les lieux de la bataille. Mon maître n'avait pas encore rendu l'âme et je ne comptais pas qu'elle le fasse. Epée en main, usant de ma magie, je fus néanmoins obligé de mettre un peu de temps avant de rejoindre Karmina...au passage je sentis une lame pénétrer dans mon épaule gauche et je poussais un énorme cri. Me retournant, je tranchais ou plutot essayait de trancher ses bras avec mon bras valide, usant de télékinésie pour le neutraliser. Une fois ceci fait, peu importait ma blessure je flais aupres de mon maître.Les chevaliers l'encerclaient, elle et Sir zane, lacroyant morte mais je savais que ce n'était pas le cas. Par contre j'avais un sentiment d'urgence, aussi, je plaquais mes mains sur sa poitrine laissant mon énergie violette se transmettre dans son corps...La guérison était mon point fort mais es ce que ça allait suffir?

Le dragon était avec nous et pendant mes soins, entouré des chevaliers qui protégeaient le cadavre et mon maître que je me refusais à quiter, je parlais au dragon.

*Johwan, merci...Ces insectes d'iranieth...ce sont eux qui soumettent votre race..*.

Je me tus incapable d'en dire plus mais le shistoire que j'avais lues me remontaient à l'esprit, cependant je devais aussi m'adresser à Sir kurik car je venais de désobéir délibérément à un ordre de chevalier ce qui pourrait à coup sur causer mon exclusion de l'ordre. Concentré sur mon travail, ce fut une nouvelle fois apr l'esprit que je me manifestais à ce valeureux guerrier.

*Sir, Mon maître est encore vivant, je veux la soigner je vous en prie protégez la...*

Et ce fut tout. Je m'en voulais d'avoir désobéi mais un écuyer se devait d'être pret de son maître non? C'était ce que je faisait, la mort ne nous avait encore pas séparée. Elle était gravement blessée et je n'avais que l'épaule gauche de démolie ce qui était peu mais pour moi, qui vivait mon premier combat c'était assez...Dur à supporter. Entre les lire et les vivre, tous ces insectes, cette partie de moi en plus...j'en avais limite peur. Voire un peu beaucoup...Mais je me controlais et ma rage surmontait la peur. Cependant j'étais soulagé car le dragon était la, sans savoir pourquoi, lorsqu'il était pres de nous je me sentais protégé comme si il ne pouvait plus rien nous arriver de grave...

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Le jeune écuyer de Karmina, Eyrick, avait désobéi délibérement à un ordre de Kurik, mais pourtant au lieu d'en tenir rigueur, il le remercia.

Merci, petit ! Cela pourrait nous sauver la mise. Et ne t'inquète pas, je ne dirai rien à Karmina sur ta... désobéissance. Puis Kurik lui fit un clin d'oeil. Evite de me parler par la pensée, je suis complètement déboussolé et j'ai du mal avec ma tête. Il rigola.

Puis il se remit à sa battre, taillant dans les corps restants de insectes. Quelqu'un arriva, un homme, un jeune homme. Il demanda des présentations, ce qui fit enragé Kurik, mais il se retint de tout commentaire.

Je me nomme Kurik, la jeune demoiselle à terre est Karmina, la chef des Chevaliers, son écuyer Eyrick la soigne. Et le Chevalier mort est un ami, Zane. Les autres, t'as qu'à aller demander toi-même, j'ai pas le temps de te serrer la main. Désolé, comme tu vois, je suis fort occupé. Quel est ton nom, toi, qui réclame le nôtre ? D'habitude, on donne le sien avant de demander celui d'autrui ! Puis il se tourna vers les autres chevaliers. Abattez-moi les derniers, je veux aucun survivants. Il se tourna vers l"écuyer de Karmina, Eyrick. Elle va s'en sortir ?

Il se remit à tailler dans les corps, trop épuisé pour user de sa Magie, ses coups devenaient plus lents, ses bras devenaient lourds.

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Ne savant pas exactement où se trouvait la jeune femme et qu'il ne désirait pas non plus apparaître en plein milieu des combats ou il aurait tôt fait de recevoir une lance, le roi décida de reparaîtra prés du premier villages d'émeraudes. Utilisant ses sens magiques, il n'eut pas vraiment de difficulté à repérer les chevaliers au centre des coléoptères. Ceux-ci n'étant plus qu'une trentaines, ils auraient pus se débrouiller sans son aide, mais le peut d'énergie vital qu'il ressentant dans le corps de la jeune guerrière l'inquiétait. De plus, plus vite ils en auraient fini avec ce groupe, plus vite ils pourraient aller prêter main forte aux soldats d'émeraudes qui tentait en vain de repousser l'ennemi loin des villages du Nord. Étant à quelques minutes de marche des chevaliers, le roi se pressa, tout en sondant la région afin de percevoir le nombre d'insecte dans son royaume. Il ne restait que ceux-la et une bonne soixantaine plus haut.

Le sentant arriver, plusieurs coléoptères se retournèrent, lances bandits vers lui le renégat fit apparaître son épée à doubles tranchants. Deux guerriers-insectes se rapprochèrent sans aucune crainte devant l'humain qui fessait tournoyer son arme devant eux. Patient, le roi attendait que l'un d'eux lui laisse une brèche, se qu'il ne tarda pas à faire. Dans un élégant mouvement, il enfonça le bout d'une de ses lames dans le coude du premier guerrier noir avant de se retourner rapidement vers le deuxième et de faire la même chose. Ils s'écroulèrent sur le sol, mais le roi ne vit pas l'intérêt de les achever, le temps pressait si il voulait se rendre à Karmina avant qu'elle ne se soit vider de toute son sang. Au bout de quelques minutes, il réussit à se frayer un chemin jusqu'au Chevaliers d'Émeraude. Il remarqua aussitôt le chevalier sans vie qui gisait dans son sang au cotés de la guerrière. Un jeune adolescent était penché au cotés d'elle, son écuyer probablement. À son tour le roi s'accroupit et passa sa main au dessus de le jeune femme, très concentré, il n'avait même pas remarquer que le jeune garçon avait la peau mauve. Il avait refermé les plais, mais elle avait perdu beaucoup de sang et risquait à tout moment de récidiver.

- Je vais m'occuper d'elle , déclara t-il en la prenant dans ses bras.

Il disparut avec elle quelques instants pour réapparaître dans ses appartements où l'immortelle était toujours là. Délicatement, il la déposa sur son lit en caressa son visage funèbre, puis il se retourna vers la magicienne.

- Pouvez vous la sauver ? Demanda t-il d'un regard qu'il voulait suppliant.

Il n'attendait pas la réponse de cette immortelle qu'il ne connaissait pas, il se dématérialisa tout simplement pour revenir sur le champ de bataille aux cotes des chevaliers, avant de se retourner vers eux.

- Elle sens sortira, dit-il d'un ton confiant, essayant de se persuader lui même de cette réponse.

Dans un cri de guerre, il se jeta dans la masse où les insectes tombaient de plus en plus sur le sol. Les chevaliers fessaient un travail efficace, il devait l'avouer, mais il ne peut s'empêcher de se demandez pourquoi l'empereur avait-il envoyer un si petit nombre de ses guerriers assiéger son royaume. Ses vêtements reluisant de sang noir, il tourna son visage vers un chevalier aux cheveux blond qui combattait férocement, sans se décourager. Il allait lui demander combien de bataillons ils avaient rencontré jusqu'à présent car même si sa magie était puissante, il avait toujours eu de la difficulté a repéré la traces de ses mystérieux guerriers impériaux de l'empereur. Cependant il ne formula pas sa question puisque non loin d'eux il repéra la forme inquiétante d'un dragon de l'empereur dans les aires.

*Je m'occupe du dragon, leur dit-il par la pensé.*

Sans attendre les commentaires des guerriers qui refuseraient certainement qu'il s'expose à un tel danger, il se dématérialisa et réapparut non loin dans un champ à découvert. Ouvrant la main, il matérialisa une odeur irrésistible de sang et de chaire fraiche afin d'attirer le dragon à l'attaquer. Immobile et très concentré sur l'énorme animal volant, il attendait que celui-ci vienne à lui.

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Même s'il s'avérait que la situation ne s'améliorait jamais, pour Audrey, elle ne se détériorait pas. Pour lui, les scarabées n'étaient pas trop dur a tué. il suffisait juste de bien viser et faire passer son sabre dans la faille, en bas du coup de l'ennemi pour le tuer sur le coup, c'était à cette endroit que passait un artère majeure, toute entaille signifiait la mort pour eux. La deuxième solution était de leur coupé les bras et il y avait tellement de sang qui en sortait, qu'on aurait pu remplir le château d'argent en entier. La plupart de ses frappes étaient bonnes, mais une faible minorité passait à travers les défenses de l'ennemi, avant de le tuer, Audrey devait absolument chasser la lame ou la lance.

- Je suis assez occupé, moi aussi. Dit-il avant trouver un nouveau coléoptère sur son chemin. Comme si j'avais le temps de faire la même chose.

Audrey partit à l'attaque beaucoup trop, il frappa, mais son attaque fut facilement parée par l'ennemi. Audrey retraita en se baissant, il déposa son genoux au sol et garda sa lame très basse

- Je suis un peu trop occupé pour voir que vous l'êtes.

Son adversaire profita de ce petit moment pour l'attaquer à son tour, mais ce n'est pas parce qu'il parlait à Kuric, qu'il n'avait pas un œil sur son ennemi. Subtilement, il passa sa main gauche par-dessus sa main droite et stoppa l'attaque.

Là, je suis attaqué par un stupide insecte, mais pas pour longtemps.

Ça faisait au moins une minutes que le coléoptère tentait d'écraser d'Audrey, mais ce dernier lui avait réservé une petite surprise, après avoir découvert un point faible dans la partie inférieure de l'abdomen, il frappa ce point faible avec son manche. Son ennemi lâcha immédiatement la pression, ce qui donna à Audrey une cible très facile, il savait comment frapper. Lever le sabre en passant vers le centre, joindre ses pieds, accoter le sabre sur son coudre et frapper en avançant la jambe droite.

- Je m'appelle Audrey. Dit-il, lorsqu'il vu un nouvel ennemi s'avancer vers lui, il recula la jambe droite, l'ennemi n'avait pas assez de patience, il attaqua sans attendre, Audrey ne fit qu'un pas vers la gauche pour esquiver sa lance, son adversaire ouvert, il se fit pas prier et recommença sa frappa, main gauche étant déjà ouverte, la frappe ne se fit que plus vite que d'habitude. Il fut distrait pas l’arrivé soudaine du roi, il était venu pour quelques instants, partit, puis il revint à nouveau et ne resta pas très longtemps. Mais cela ne retient pas son attention très longtemps. Il remit en position de combat. Il ne devait pas perdre de vu ses ennemis. Mais quelque chose réussit à attirer son attention, il sentit le sol bouger, comme un tremblement de terre. Ça faillit lui coûter la vie, mais heureusement, il se reprit à temps, et bloqua les lames de deux guerriers impériaux et les chassa, il fut assez vite pour en tuer, l'autre s'entremèlant avec le corps de son partenaire, Audrey profita de l'occassion pour lui couper le bras droit, ce qui le désarma et lui trancha la gorge à son tour.

- j'ai sentit la terre trembler... Ça m'inquiête.

Audrey vit le roi un peu plus loin, en train de se concentrer sur la silhouette d'un dragon, ce n'était pas très bon signe.

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Le roi apparut au loin et se fraya un chemin à travers les guerriers impériaux. Il arriva jusqu'à eux et s'agenouilla tandis que Kurik continuait de se battre. Kurik jura tellement fort qu'il craigna que ses pensées soient entendues.

"Eh Oh, imbécile, moi je me bats encore. Tu pourrais m'aider espèce de.... Sale Roi, vas !"

Il continua de se battre, presque seul, ses amis étaient un peu plus loin lui semblait-il. Puis le Roi disparut, aussi vite qu'il était parti.

"Mais quel espèce de.... Même pas un bon courage ou un continuez comme ça, j'arrive. Merde quoi, ça fait plusieurs heures qu'on se bat nous."

-Willo, va avec les autres écuyers à la lisière de la forêt et emportez-moi le corps de Zane.Un voile noir traversa ses yeux.Vous devez vous protégez, on va tenir. Je te fais confiance.

Et son écuyère regroupa les écuyers et ils se réfugièrent à la lisière. Il fit une dernière révision de ses défenses, il n'en avait plus, il ne l'avait pas encore remarqué, mais de nombreuses blessures lui marquaient la peau. Il saignait de partout. Il se sentit défaillir avant de voir réapparaître.... Le Roi.

"Encore ce crétin de Roi !"

Puis le Roi, dans un élan de bravoure, partit se battre contre le Dragon allié.

"Mais, bordel, il le fait exprès ou quoi ?"

Les gars, je vais le rejoindre, défendez les petits, aucun doit mourir ou c'est vous qui le payerez ! Atlance, c'est un all.....

Un guerrier impérial, que Kurik avait cru mort, s'était relevé et l'avait attaqué dans le dos. Kurik s'effondra, puis dans un dernier élan de survie, frappa le monstre. Il essayait de se relever mais sans succés, il venait de s'évanouir.....

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J'avais foncé dans la cohue, tuant le plus d'insectes géants possible à coup de queue et de tête pour ensuite me servir de mes griffes et de mes dents acérés. Leurs sangs noirs dégoulinant de mes mâchoires, je commençais a aimer le goût de leur chaire pas aussi dur que je ne l'aurais crus. Leurs carapaces étaient fermes, mais à l'intérieur, leurs peaus mauves étaient aussi tendre qu'un jeune lapin. Me lançant des lances d'une part et d'autre, je dus fréquemment me protéger les yeux de ses attaques, le seul point que je me croyais sensible, jusqu'au moment où une lance se ficha dans l'une de mes pattes avants. Je hurla de douleur en me redressant sur mes pattes arrières, trébuchant contre quelconque obstacle, je retomba lourdement sur le sol, le fessant trembler. Les hommes-insectes se hâtèrent sur moi, mais je parvins toutefois à me relever, balançant mon long coup vers l'avant, j'en happa plus d'un. Montrant les dents, je retira le morceau de métal qui s'était loger dans ma patte. Du sang aussi noir que ceux des insectes en ressorti et je compris tout de suite mon appartenance à cette race hideuse. Trop d'insectes se reprochaient de moi à cet instant et je décida de m'envoler vers les airs afin qu'ils n'abiment pas mes ailes, certainement plus sensibles que mes pattes.

Je tournoyais autours des villages, happant les quelques insectes que je distinguais à travers les humains pour ensuite me nourrir de leur chaire, ne me redonnant cependant pas beaucoup de force. Hommes, femmes et enfants s'écartaient sur mon chemin en hurlant et je compris que plus jamais je ne serai l'humain que j'avais été, que plus jamais je ne pourrais faire dorénavant partit de leurs vies. Seuls ses hommes vertus d'émeraudes comprenaient mon parlé et je n'étais pas pour autant stupide, je savais qu'une poignée d'homme et de femme ne pourrait convaincre les hommes de ma gaité. Je retourna au dessus d'eux, cherchant de mes yeux le petit garçon mauve. Je le trouva un peut à l'écart des adultes avec un autre jeune homme, transportant le corps d'un défunt. Mes iris très développés me permirent de voir un mouvement vers la droite ; un guerrier-insecte se rapprochait d'eux, lance levé vers le ciel. À peine le jeune Eyrick eut-il le temps de se retourner que j'avais déjà emprisonné entre mes griffes se fauteur de trouble, le laissant retomber, sans vie devant leurs jeunes regard. Ce jeune homme m'ayant peut-être éviter un affrontement inutile contre ses soldats, je lui en redevait une. Il m'observait et malheureusement avec mon nouveau visage je ne pouvais lui sourire.

'' Surveille mieux tes arrières, lui-dise amicalement alors que je m'éloignais en direction des villages.''

Cependant, même si je m'éloignais peut à peu des ses soldats parés d'émeraudes, je n'alla pas très loin puisqu'une irrésistible odeur m'avait assaillit les narines. Dans un grand arche de cercle, je fis demi-tour, suivant l'odeur alléchante d'un bon repas toutefois meilleur que ses insectes. En survolant les combats, je me demandais quel gibier pouvait sentir si bon. Mon nouvel instinct de prédateur pris le dessus je me dirigeais à grand coup d'ailes vers cette arôme qui étrangement me conduisit dans un grand champ à découvert. Du haut des airs, je l'observais, sans pour autant rien apercevoir d'autre qu'un humain, seul au milieu du champ, quelque chose tournoyant dans ses mains. Je renifla encore pour constater que cette alléchante odeur venait bien de cet humain. Elle emplissait mes narines, me forçant à m'approcher encore et encore plus bas de cet hommes. L'odeur était si alléchante, si ensorcelante... si forte. Cela fessait plusieurs jours que je n'avais pas mangé quelques chose que l'on pouvait vraiment déguster. Je combattais mes sens afin de ne pas immédiatement me ruer sur lui, rappelant sans cesse à ma mémoire que j'avais déjà été un humain. Sans fondre sur lui, je me déposa sur le sol, assez proche pour le happer, mais assez loin pour qu'il ne puisse pas m'attaquer avec son arme étrange, du moins c'est se que je croyais. Il était seul, ses yeux me fixaient intensément et il ne semblait dégager aucune crainte à ma vue. Il ne portait pas non plus les habits verts des autres et son essence, sa présence étrangement, à sa vus, je me sentant agressif. Un tourbillon d'hostilité semblait tourner alentour de moi et mon instinct me dictait de l'attaquer, comme si il aurait été un rival. Je ne ressentait plus son odeur alléchante, mes yeux rouges étant rivés sur lui, observait l'objet qu'il fessait tourner dans ses mains. Fier j'étirais mes ailles dans un puissant cri strident, me relevant sur mes pattes arrières et tendant mon coup vers le haut. Il était seul, ne portait pas le même habits que les autres, personne ne le remarquerais si je l'attaquais... Mais une infime intuition me dictait de ne pas le faire. Retombant sur mes quatre pattes, l'humain à l'habit noir n'avait pas bouger d'un clin. Il continuait de me fixer et aucune brin de frayeur ne pelait dans ses iris bleus, pas même lorsque, à quelques pas de lui, je m'étais relever pour lui faire face.

''Je m'appelle Johwan ! Grognais-je très fort.''

Je continuais de le regarder de mes yeux rouges, arquant mon coup sans toutefois l'attaquer. Je sentais cette hostilité qui me rongeais d'être en face de cet homme et je compris que même si je n'en venais pas à l'attaquer, je ne pourrais jamais bien m'entendre avec lui. Je savais aussi que ma place n'était plus parmi les hommes et je devrais sans doutes me réoudre à les quitter un jour, mais devais-je porter un geste d'agression envers l'un d'eux pour me le prouver ?

Invité

Kurik était encore allongé au sol, mais plusieurs personnes approchaient de lui. Il se souvenait de celle-ci, c'était des êtres qu'il connaissait, des gens qu'il aimait ou qu'il avait aimé. Ils lui parlèrent par la pensée, drôle de manière puisque plusieurs de ces personnes ne pouvait le faire. Vraiment, tout cela était bizarre.

-Relèves-toi, fils !
-Allez p'tit frère, tu dois te relever !
-Tu peux le faire, Kurik, relèves-toi !
-Père ? Frère ? Zane ? Que faites-vous ici ?
-Nous sommes tous morts !
-Quoi ? Non impossible, Papa, cela est impossible, tu vis au Royaume de Jade.
-Oui, mon Fils, je vivais là, mais durant mon voyage annuel pour Emeraude, j'ai été attaqué par ces ...... Monstres.
-Non, ce n'est pas possible. Kurik était abasourdi, apprendre ainsi que son père est mort. Mais comment se faisait-il qu'il leur parle alors ? S'ils sont morts, comment ? A moins qu'il ne soit dans un simple songe ? Mais tout semble si réel. Frère, comment.... es-tu..... morts ?
-Je suis mort bien avant Papa, p'tit frère ! La maladie m'a frappé il y a quelques mois déjà.
-Zane.... pourquoi es-tu là ? Karmina a plus besoin de toi !
-Non, elle s'en sortira.
-En es-tu sûr ?
-Oui !
-Mais pourquoi.... es-tu ici ? Et que fais-je ici d'ailleurs, suis-je moi aussi.... mort ?L'angoisse le tenaillait terriblement. Mort ? Pourquoi ? Un souvenir lui repparut..... " Un guerrier impérial..... Son dos.... Le Roi ...... " Serait-il mort ?
-Je suis ici pour toi, tu dois me jurer de protéger mon écuyer. Il a un grand potentiel.
-Je sais, je ferai tout ce que je peux.... mais comment faire..... Je suis mort moi aussi !
-Non, tu ne l'es pas !
-Mais, vous l'êtes et je suis avec vous ! Moi aussi je suis mort, c'est la seule possibilité !
-Fais-nous confiance, la Mort n'a pas encore décidé de te pendre. Tu dois te relever !
-Mais où suis-je, alors ?
-Dans un sens dans un de tes songes, mais tout cela n'est que la réalité. Les Dieux ont décidé que tu devais te relever. Je n'ai pas eu cette chance.
-Prends la mienne si tu souhaites, je pourra ainsi rejoindre, mon père et mon frère !
-Non, cela est impos...
Zane venait de disparaître, comment était-ce possible ?
-Zane....Zane ? Où es-tu ?
-Il est parti ! Les Dieux l'ont décidé.
-Et pourquoi pas vous ?
-On doit encore te parler.
-Vous voulez parler de quoi ?
-Tu dois avertir ta mère de ma mort !
-Comment, je ne peux moi-même plus bouger ?
-Tu pourras bientôt de nouveau, ne t'inquète pas.
-Dis à ta mère.... que je l'aime !
-Frère.... Père.... je vous aime tant. Il pleurait, il avait perdu les êtres les plus chères et il n'était pas encore au courant ! Et Zane ! Son frère d'arme. Je lui dirai, Père !
-Nous allons te laisser maintenant. Quelqu'un d'autre veut te voir !

Et ils disparurent, tous les 2. Kurik tendit les bras pour essayer de les attraper, mais c'était déjà trop tard. Ils avaient disparu dans le néant.

"Je vous aime tant !"

Quelqu'un approchait.... Etait-ce la personne qui voulait le voir ?

Invité

Dire que c'était le bins aurait été un faible mot pour le jeune homme à la peau mauve qui venait de voir apparaitre le roi,...celui ci prit son maître sans même lui demander son avis, mais il était bien placé pour savoir ce qu'il faisait surement et disparu...Mais bien sur le jeune homme se retrouvait tout seule Et puisque il n'était aps face à Kurik il ne savait pas que il voulait que les écuyers s'éloigne à la lisière de la foret. De toute manière il aurait certainement grogné et refuser son maître n'étant pas la. Le roi réapparut, Kurik jura mais le gamin se sentit rassuré...Enfin elle s'en sortirait...Il sentit un poid en moins sur ses épaules mais c'est alors que il dit quelque chose à tous par la pensée. L'enfant ne réagit aps tout de suite cherchant un dragon de l'empereur. Mais entre temps Sir Kurik se fit toucher, et tomba aus sol, il semblait inanimé...Le jeune guerrier inexpérimenté et blessé à l'épaule gauche se tint au devant de Sir Kurik pour empécher les insectes de le finir, pas question! Mais seul il n'y arriverait jamais. Alors il envoya un message a ses amis écuyers.

*Willo, Aranel venez vite! SIr Kurik est en danger de mort, Aranel! viens venger ton maître en défendant sir Kurik!*

Voila qu'il se prenait pour qui a donner des ordres, mais non, son ton tenait plus de quelqu'un qui implorait...Il était fatigué, il avait mal partout et commençait sérieusement à faiblir. Il eut alors une pensée pour Johwan, lui non plus ne devait pas mourir...non...pas de la main d'un humain en plus! et le roi...il fallait faire quelque chose mais comment? Il ne pouvait pas les atteindre et encore moins forcer le roi à lui obéir...il avait déja assez à faire ici bien que willo était revenu à ses cotés. Il implora le ciel demandant ainsi à un immortel de les rejoindre sinon tous les espoirs contre l'empereur allaient mourir....Puis il se concentra un instant.

*Sire! Je vous en prie Johwan n'est pas un dragon de l'empereur, il nous aide depuis tout à l'heure! Ne vous entretuez pas...*

Sa voix télépathique se terminait en un souffle. Il en avait plus que marre et s'il aurait pu il aurait tué tous les insectes...Il se souvint alors de l'homme bizarre qui se battait avec eux...oui étrange que cet homme à la cuirasse rouge ne soit pas aprtis en courant. Sentant de la rega juste derrière lui, Eyrick se retourna juste à temps pour éviter la lance d'un insecte. Il utilisa la lévitation et le fit tomber avant de planter son épée dans l'intérieur de son bras. Puis il se remit en place toujours pret de Sir Kurik mais ses pensées étaient ici, et aussi pour le dragon qui l'avait sauvé et dont il voulait un jour devenir l'ami...

Invité

Ynes était complètement épuisée de son combat. Elle ne tenait presque plus debout. Elle voyait trouble et ne comptait plus ce qu'elle touchait. Le chevalier Karmina était tombée à terre. Le roi, qui était arrivé ici par matérialisation, était auprès d'elle. "Tient, je ne savais pas qu'il pouvait être sympathique avec quelqu'un lui..." pensa-t'elle. Drew avait elle-même disparue de son champ de vision. Le roi avait reçut une aide extérieure. Sa ce sentait à dix kilomètre à la ronde. D'un immortel, mais lequel, pas Abnar, ce n'était pas son énergie que l'on ressentait. La jeune porteuse de lumière ne s'y interressa pas plus que sa. Sir Kurik, l'un des plus combattif, venait de tomber. Il avait l'air d'avoir des visions. Eyrick était déjà avec lui. Ynes courut pour le rejoindre et l'aider. Elle avait accepté le fait que le dragon était amical et l'appréciait à présent. Elle adorait les animaux, quels qu'ils soient. Elle était sur le point d'être au chevet de Sir Kurik quand... "BAM"... Rhhaaa plus maline qu'elle, tu fait pas. Elle venait de s'étaler de tout son long sur le sol. AÏe. Mais pas le temps d'avoir mal. Elle se releva sans faire gaffe à sa cheville qui la lançait fort. Elle était à présent au niveau de Eyrick et Kurik. Elle se laissa tomber à ses côtés et sans réfléchir aux conséquences, entama un enchantement pour le réveiller. Elle avait du mal et ses doigts tremblaient. Une faible lumière bleuetée enveloppa le grand chevalier qu'il était. Elle murmurait en même temps, quelques peu aggacée par ses pouvoirs affaiblit par sa propre fatigue:

"Réveille-toi! Réveille-toi! Allez!! On a besoin de toi. Vit! Ne nous lâche pas!! S'il te plait!"

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