Mission : illusion à Zénor

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Le jeune elfe suivait maintenant la bataille d'un peut plus loin, transportant le corps sans vie de son maître à l'écart des combats. Il resta à la lisière de la forêt à regarder le macabre spectacle qu'était la bataille. Les soldats insecte tombaient, un flot de sang giclait de leur membre, leurs cris se répercutaient à ses oreilles. Aranel, comme la pluparts des elfes, appréciait toute forme de vie et il avait trouver dommage de enlever ainsi la vie a ses être même si il était leurs ennemis, jusqu'au moment ou son maître était tombé au combat. Il comprenait mieux maintenant pourquoi ils devaient exterminer ces insectes, ils devaient les empêcher de tous raser. Il observait encore les combats et sous ses yeux, sir Kurik venait de tomber.

- NON ! Aranel hurla.

Se qu'il avait vus plutot dans la journée se reproduisait, comme son maitre ce chevalier était tombé, mais il n'était pas mort. Aussitot il reçu le message de Eyrick, il n'avait pas besoin de se le faire dire il fonça dans la masse, se frayant un chemin a travers les coléoptères. Le sang des insectes sur le sol le rendait dangereusement glissant et même si il était habile, Aranel faillit plus d'une fois perdre l'équilibre au risque de se casser le cou. Il arriva près de chevalier, Ynes et Eyrick, qui regardait étrangement le ciel, étaient déjà la. Cependant, du coin de l'œil le jeune elfe vit le bout d'une lance se rapprocher.

- Attention !

Aranel tira de toutes ses forces sur les épaules du chevalier qui semblait inconscient, le fessant reculer que quelques centimètre, lui évitant une lance en plain dans l'abdomen. Prenant avec rage la lance qui venait de lui être lancer, Aranel, comme il avait vus les chevaliers le faire, visa l'intérieur du coude de l'insecte. L'arme de métal atteint sa cible et le jeune elfe se retourna vers le chevalier au sol. Même si il semblait inconscient il espérait qu'il l'entendrait.

-Sir Kurik, j'ai vus mon maître mourir sous mes yeux aujourd'hui, déclara t-il, sombre, je ne veux pas vous voir faire de même.

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Mathieu n'avait rien compris du tout! Il savait juste qu'ils étaient à Émeraude dans une bataille et il ne bougeait pas d'un pouce, regardant juste autour de lui ce qui se passait. Il ferma les yeux, il avait perdue son maître Ezwhel de vu et il ne savait même pas ou il était ce qu'il faisait. Il ne voulait rien savoir de toute façon! Il pria pour que personne ne soit blessé et il resta sur place, incapable de faire le moindre geste contre l'ennemi. Il ne pouvait pas brandir son épée, paralysé par la peur. Il ouvrit pourtant les yeux mais les ennemis passaient à côtés de lui sans se préoccuper.

Mathieu tourna la tête à droite puis à gauche. Il vit le chevalier Zan et son écuyer Aranel... Aranel partait de la bataille avec son maître dans les bras. !! Maître Zan était mort? Mathieu se mordit les lèvres. Il était incapable d'utiliser ses pouvoirs, il avait bien trop peur. Mais il espérait que maître Ezwhel était toujours vivant lui!! Il serra les dent en crispant sa mâchoire. Il mit son cheval au galop au milieu de la bataille pour retrouver son maître, peine perdue... Il ne voyait personne.

Il se dit qu'il devait être ne retrait, et Matheu fit donc demi tour et... Kurik tomba soudainement! Mathieu stoppa net sa monture et se précipita comme d'autre vers le chevalier à terre. Mathieu vit Ynes l'envelopper d'une lumière bleuté et Aranel le supplier de ne pas mourir. Mathieu décida d'être un peu utile et sortit son épée de son fourreau pour faire bouclier au trois personnes autour du corps de Kurik et Kurik lui même. Il essaya de faire comme son maître le lui avait appris au royaume de Perle et fouetta l'air avec l'arme en coupant les bras des ennemis et en essayant de les repousser avec sa magie aussi. Il n'était pas très doué, mais comme les autres occupés aussi les insectes, ça pouvait allé.

Le plus compliqué c'était de faire sans cesse des rondes autour des quatre personnes dont Aranel, Ynes, Eyrick et Kurik. Il se rappela comment le chevalier avait été gentil avec lui et il redoubla d'effort pour protéger ses amis. Il finit par ne plus sentir son poignet qui tournait dans l'air contre les insectes...

-Faites attention!! Il y en a de plus en plus!

Mathgieu avait crié vers les autres pour ne pas qu'ils se fassent tous tués en même temps. Ils pourraient transporter le corps de Kurik à l'écart.

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Ynes était au bord du désespoir. Sir Kurik ne se réveillait pas. Il semblait aspiré par un songe venu d'ailleurs. Aranel était arrivé. soudain il arracha Kurik a sa magie pour l'écarter. La jeune fille eu pour premier reflex de râler contre lui mais sans dispensa lorsque vit la lance lui atterrir à quelques centimètres de l'endroit où Kurik était tombé. Elle se précipita pour reprendre l'enchantement. Aranel suppliait le chevalier de rester ici. Ynes aurrais voulut faire de même mais le temps n'était plus aux jérémiades. Ynes fut surprise d'une des paroles d'Aranel. Son maître? Sir Zane était mort? Elle ne le savait pas. Elle n'était jamais au courant de rien apparamment... Matthieu venait aider. Ses coups d'épée étaient maladroit mais c'était plutôt sympa de venir les aider. Mais les insectes prirent le dessus en revenant en force.

Ynes eu alors un sursaut et tendit ses deux mains en direction des insectes et envoya une étrange boule d'énergie qui en tua un bon nombre. Elle revint alors à elle. Elle avait peur à présent. Que s'était-il passé? Elle n'avait encore jamais usé de ce pouvoir. Elle n'en connaissait même pas l'existence. La porteuse de lumière resta ainsi, à regarder ses mains qui la brulait, étant abîmée de partout à cause de la boule d'énergie lachée. Sachant qu'elle ne pourrait plus utiliser sa magie avant d'avoir denouveau les mains soignées, elle lança une parole au deux écuyers qui était au chevet de Kurik, comme elle:

"Occupez-vous de lui! Je n'ai plus la force de me servir de ma magie! Je vais déffendre le terrain avec Matthieu pendant que vous le soignez. Je vous en suplie! Remettez le d'aplomb!"

Sur ce, elle se leva, saisit son arc posté dans son dos et banda celui-ci avant de tirer. La première flèche partit dans le décors. Animée par la rage de réussir, elle en tira d'autres qui, elles, atténirent le cible. Lorsqu'elle s'apperçue que son stock de flèche avait disparut dans le corps d'un bon nombre d'insectes, elle sortit son épée. Une épée assez légère, adaptée à son petit gabari. Elle fonça sur les ennemis, arrachant des bras de tout côtés. Il fallait vivre et gagner cette bataille. Ses coups étaient certes, plus adroits et mieux visés que ceux de Matthieu mais elle était moins rapide que lui. Elle espèrait revoir un chevalier pour l'aider.

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Drew était partie juste avant la bataille, elle avait senti la peur d’une villageoise non loin et elle avait volé à son secours en bon chevalier qu’elle était. Elle décocha d’abord quelques flèches sur les hommes insectes puis sortit son épée, elle entra dans la maison en courant et coupa les bras de tous les insectes présents dans la maison. Elle sauva la jeune femme cachée dans un placard qui la remercia mille fois et déguerpit sans demander son reste.
Evidemment ce sauvetage avait duré assez de temps pour qu’à son retour elle trouve Zane étendu au sol ainsi que Kurik et Karmina avait complètement disparu !

Les écuyers se défendaient seuls contre l’envahisseur mais elle était bien décidée à les aider, elle décocha des flèches sur les hommes insectes qui s’approchaient dangereusement de son écuyère. Quand elle eut utilisée toutes ses flèches, elle dégaina fièrement son épée et s’approcha près d’Ynes en lui faisant un clin d’œil,

« -Je vois que tu te débrouille de mieux en mieux. » Dit-elle dans un sourire

« - Quand je pense qu’on voulait t’éviter les combats pour te protéger alors que tu te défends bien mieux que la pluparts des écuyers ! Enfin je te féliciterai plus tard, nous allons repousser cet envahisseur et montrer à l’empereur noir qu’il n’est toujours pas le bienvenue sur Enkidiev et qu’il ne le sera jamais ! » Cria t-elle en se précipitant sur l’ennemi,

Elle aimait combattre et elle ne s’en cachait pas, en plus avec les événements de ces derniers jours elle avait vraiment besoin de se défouler. Quand elle se battait elle était sereine, il n’y avait plus de pagaille dans sa tête, elle ne pensait à rien seulement à rien !
Elle coupa beaucoup de bras en vérifiant qu’elle restait toujours près des écuyers, elle leva finalement la tête pour se rendre compte qu’il y en avait toujours un paquet, elle décida alors de passer aux choses sérieuse !

Elle prit une grande respiration et une magnifique boule orangée apparut entre ses mains, ses yeux devinrent rouge vifs et elle eut juste le temps de crier aux écuyers de se coucher à terre.
Son corps se souleva et son rayon s’étendit sur plusieurs mètres en décimant tous les insectes qui se trouvaient devant les chevaliers et écuyers, après cette attaque il ne restait plus que des corps morts sur le sol et Drew était complètement épuisée, elle avait du mal à tenir debout mais il restait encore des insectes ! Elle saisit son épée à deux mains et se précipita sur les vermines restantes.

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Une lumière bleue était apparue, la personne s'était éloignée. Puis une lumière mauve. Que se passait-il ? Kurik ne comprenait rien. Il se sentit défaillir. Que se passait-il ? Il était dans un songe, non ? Comment pouvait-il défaillir ? Il perdit conscience dans son propre songe.

Une douleur intense le réveilla. Une douleur qui se situa dans... dans le dos ! Sa blessure, elle était bel et bien réel. Alors, son ... père et son frère étaient.... morts ! Il n'y croyait pas. Eux, morts ! Comment était-ce possible ? La douleur ! Elle lui revint... il souffre. Il se relève durement mais sûrement. Son dos lui fait comprendre qu'il allait souffrir. Il regarde les jeunes personnes autour de lui.

-Que... Vous ne m'avez pas écouté encore....C'est ça ? Il se frotte la nuque, embarrassé. Et je vais aussi supposer que c'est vous qui m'avez tiré... du trépas ! Je suppose que je vous dois des remerciements... Il s'arrêta pour parer un coup d'un ennemi, et le frappé en pleine poitrine. Son dos lui arrache une grimace. Eyrick, cette fois, tu sais que je devrai avertir Karmina. Willo, je demanderai conseil Karmina, mais toi aussi tu auras des soucis. Il regarde le champ de bataille, ainsi que les jeunes écuyers.Aranel et Mathieu, je suppose que vous avez décidé de désobéir à mes ordres ? Aranel, Karmina, décidera pour toi puisque Zane......est..... mort ! Il retint des sanglots. "Je suis ici pour toi, tu dois me jurer de protéger mon écuyer. Il a un grand potentiel.", il se souvient des paroles de son songe."Zane, pourquoi.... pourquoi les Dieux ont décidé de te prendre si vite ?" Mathieu, ta punition sera décidée en temps voulu. Il vit Ynès. Je suppose qu'Ynès a aussi désobéi. Bon, elle se verra réprimandée aussi.Il les regarda tous. Je suis désolé, les petits, mais vous m'avez désobéi volontairement. Vous avez bien agi, mais vous étiez sous ma responsabilité. Il regarda le champ de bataille, Drew venait de terraser un grand nombre des hommes-insectes. Drew, tu m'as l'air fatiguée ? Bon, on rejoint notre Roi et on en finit.

Son dos lui fit souffrir mais il resta debout. Il grimaçat mais il tint bon. Il regarda les écuyers et Drew, tous étaient fatigués mais ils tenaient bons. Lui aussi il devait tenir bon malgré le peu de force qui lui restait. Il supportait mal les douleurs, mais il devait tenir bon. Il restait peu d'insectes, mais il ne savait pas pour combien de temps il resterait à forcer sur son organisme.

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Le jeune écuyer resta planté devant les reproches du Chevalier Kurik, par dessus tout, lui et ses jeunes camarades avaient risqués leurs vies afin de sauver la sienne. Il resta figé sur place, l'indignation montant rapidement en lui devant ses paroles. Sans dire mot, il lui emboita le pas en repensant à la course dangereuse qu'il avait parcouru pour le rejoindre. Il s'arrêta brusquement, un de ses camarades percuta violement son dos, mais Aranel resta ferme. Il se pencha au sol pour prendre entre ses mains la lance, qui grace à lui, n'avait pas percuté sir Kurik. Oui ils avivaient désobéis à ses ordres, oui ils ne lavaient pas écoutés, mais qu'auraient-ils du faire? Le laisser, là sur le sol, à la merci des hommes-insectes ? Les Chevaliers d'Émeraudes étaient avant tout un ordre de chevalerie qui comptait sur l'entraide et l'une des premières regles du code consistait à aider l'un de ses frères en détresse. Même si il n'était qu'un écuyer, Aranel avait crus bon de l'aider. Le chevalier concerné regarda le jeune elfe qui ne bougeait toujours pas. Il bouillait intérieurement car il ressentait ses paroles négatives à son égard. Qu'avait-il fait pour mériter son désaccord ? Il lui avait sauver la vie que demandait t-il de plus ? Dans un coup de tête furibond sur le coup de l'émotion, il ouvrit la bouche pour lui dire sa façon de penser.

- J'aurais peut-être mieux fait de laisser cette lance vous empaler, explosa t-il en jetant brusquement la lance à ses pieds, comme ça vous auriez pus dire à mon maître tel lache et écuyer discipliner j'ai été de ne pas intervenir !

Aranel se retourna brusquement, devant les visage ahuris de ses camarades qu'ils l'avaient toujours vus calme et souriant, avant que le chevalier ne puisse l'attraper pour le sermonner. Ravagé par la rage et la tristesse, il se dirigea vers la forêt où reposait son maître, d'un pas presser, bottant la tête d'une homme insecte au passage. Il s'agenouilla aux cotés du corps de son maître, vidé de son sang, il était blanc comme la neige. Un flot de larme se mit à couler sur son visage fatigué et pour la première fois de sa vie, Aranel regretta le jour où son père l'avait envoyer au chateau d'Émeraude pour en faire un chevalier. Il aurait du rester aux Royaume des Elfes, avec les siens, sans cette guerre, mais parce que selon son peuple, il ressemblait trop aux humains, ils avaient décidé d'en faire un Chevalier d'Émeraude. Ses iris bleus se noyant dans ses larmes, il hurla de désespoir, fessant fuir un regroupement d'hirondelle non loin. Plus loin de lui, il sentait le regard de ses camarades, il ne voulait pas qu'ils le rejoindre, il avait besoin d'être seul. Il ressentait leurs pensés et il s'y opposa.

- Laissez-moi tranquille !

Il retourna son regard vers le visage de son maître, souriant même dans la mort. Qu'allait-il faire maintenant ? Après la remarque qu'il avait fait au chevalier Kurik, il savait que celui-ci ne le laisserais jamais tranquille. À chaque fois qu'il fessait quelque chose, il s'empressait de lui reprocher et pourtant selon lui, il n'était pas l'écuyer le plus indiscipliné. Il en vint même à penser que peut-être c'était sa descendance Elfique qui le gênait, beaucoup d'humains n'appréciaient pas la présences des Elfes. Il caressa le visage, désormais froid de Zane. Comparé au chevalier, son maître, lui, ne l'aurais pas réprimander pour lui avoir sauver la vie, il l'aurait féliciter pour le risque qu'il avait pris envers les siens, mais lui aurait déconseiller de le refaire.

- Je vous vengerais, maître..., se jura t-il en tenant sa main.

Il oublia les soldats-insectes, la guerre et les chevalier autours de lui, ne fixant son regard que sur le corps de Zane, se promettant de vanger jusqu'a son dernier souflle sa mort. Jamais il ne se pardonerait de lavoir déconcentré, jamais il ne se pardenorai de n'avoir pas fais taire sa douleur et pardesus tout, jamais il ne l'oublirait...

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Kurik reçut comme un coup de poing la colère d'Aranel. Il regardait Aranel, elle aussi abasourdie par son soudain éclat de voix. Puis le jeune écuyer partit dans son coin, vers la forêt, là où le corps de Zane reposait. Kurik regarda sa compagne d'arme, Drew, et lui transmit un message télépathique.

"Je m'en occupe, continue avec les écuyers ! Récupérez le Roi et ne nous attendez pas, nous vous rejoindrons plus tard."

Puis Kurik parla à voix haute.

-Bon, Willo, Eyrick, surtout toi Eyrick et toi Mathieu, vous suivez Drew. C'est un ordre et vous ne désobéissez plus. C'est elle qui vous guidera, je vais revenir. Il regarde Drew. J'y vais.

Kurik décida d'y aller avec la prudence qui lui était de mise avec la blessure de son dos. Il évitait soigneusement les flaques de sang, et préférait envoyer son épée dans les corps qu'il n'était pas sûr mort. Il arriva près de l'orée de la forêt, où il entendit les sanglots du jeune écuyer ainsi que ses paroles. Il décida de s'approcher, lâcha son arme avant, elle devenait trop lourde pour son bras fatigué.

-Aranel.... Excuse-moi. Je sais ce que tu ressens.... Non ne réponds rien, laisse-moi terminer. Il jeta un regard au groupe de Drew, elle avait réussi à reprendre le pas. Aranel, écoute-moi ! Il prit la tête du jeune écuyer dans ses bras. Ecoute, je n'ai pas dit que tu as mal fait, mais que désobéir est la pire des choses. Il sourit. Oui, j'ai moi-même désobéi à Karmina en Zénor, moi aussi j'aurai sûrement une réprimande. Il lui transmis une vague d'apaisement. Je sais que les paroles que tu as dites là-bas ne sont pas vrais. Tu as décidé par toi-même de me sauver... même si c'est déraisonnable. Il hésita à continuer. Ne répètes à personne ce que je vais te dire, même à Karmina, durant mon évanouissement, lorsque j'étais inconscient, Zane m'est apparu. Il m'a fait promettre sur mon honneur de Chevalier que je devais te protéger contre tout ce qui est possible et imaginable. Il évita soigneusement de parler de son frère et son père, son regard se voila sous la tristesse. Il devait annoncer la nouvelle à sa mère. Aranel excuse-moi si tu as mal pris mes paroles, elles ne se voulaient pas offensantes envers toi. J'étais en colère pour diverses raisons. Pourquoi n'avait-il pu rejoindre son père et son frère ? Pourquoi avaient-ils désobéi volontairement ? M'as-tu compris ? Il le regarda dans les yeux et lui envoya une autre vague apaisante. Maintenant, tu peux parler, exprime-toi, cela restera entre toi et moi !

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Audrey avait surement sous-estimer les insectes, mais rien ne pouvait y faire, éviter leur attaques, les bloquer et les tuer devenait beaucoup trop simple, il devait y avoir un nouveau défi. De toute façon, il restait peu d'insecte, ce qui le permetterai d'atteindre son cheval sans difficulté, lui qui se tenait assez loin de la foule et de tout ce bordel. Il prit du recul et s'aperçut vite que quatre des insectes, soit un grand nombre pour le petit nombres dde colléoptère étaient à ses trousses.

- Pourquoi ils en ont après moi, quel injustice ! S'écria-t-il.

Il fesait face à une opposition plus nombreuse, mais peu rigoureuse, bref, un travail plutôt faible de la part d'une société prise par une unique pensé collective, quel échec, mais quatre adversaire le mélangeait, il ne savait plus vraiment quel position prendre. Mais une nouvelle surpise l'attendais, des rayons incendiaires particulièrement puissant tombèrent sur ses ennemis qui perdirent tout sens de l'orientation. C'était le temk,ps de frapper. Audrey avançant, arma à droite frappa, ensuite il arma à gauche et frappa de nouveau le plus proche qui eut la gorce tranchée. Il remit en oeuvre et trancha le coup du deuxième. il se retrouva entre deu ennemis, dont l'un qui l'attaquais, par contre il ne faisait pas trop attention, ce qui permit au paysan de faire un pas de recul pour éviter la lame et de passer la sienne en dessous de celle de son ennemi poour lui couper le poignait, un petit piègedans lequel ce dernier était tombé, coupé les bras après cette frappe n'étaient plus qu'une simplicité d'enfant, Il n'eut pas le temps de se tourner pour parer l'attaque du quatrième ennemi, mais il n'eut pas besoin, son épaulière l'avait protéger de la lance du scarabé et encore une fois, sa lam trnacha la goerge du guerrier impériaux. Un moment de paix vint, enfin.

Alors là, ça fait complètement pitié, sont-ils vraiment une équipe ou rien d'autre que de la vermine ?

Bien des choses s'étaient passé pendant que Audrey était écoeuré par des guerriers impériaux, même quatre à la fois, mais il ne pouvait s'empêcher de se demander, d'où venait ses rayons incendiaires, ils étaient extrêmement puissant, ils ressemblaient à ceux de son tutor, Dominic, mais il pouvait pas être sûr, il avait pris trop de temps à éliminer les quatre guerriers pour voir quoi que ce soit. Un petite repos s,Imposait, mais il vit qu'il restait encore quelques guerriers impériaux, mais pas assez pour durer, ce n'était plus qu'une question de secondes, mais la facilité de ce combat lui disait que l'empereur n'avait pas fini, ils avait surement des guerriers plus forts et plus féroces que ces derniers, qui sont tombés au combat à cause de quelques petites failles naturelles dans leurs carapaces. Le peu d'interraction qu'il eut lui dit qu'il avait pas d'affaire là, comme s'il été glissé dans quelque chose qui ne pourrait pas concerner une vulgaire paysan tel que lui. Comme le roi d'argent ne lui avait accordé qu'une importance extrêmement faible, même s'il fréquentait sa fille, les soldats ne le connaissait pas du tout. Un autre possibilité aurrait été l'occupation des chevaliers dans leur combat, mais peut être qu'il n'avait pas besoin de lui, tout autour de lui, les chevaliers finissait leur combat, il serait ignoré, ça il savait, c'était l'une des chose que ce fameux chevalier avait dites, on ne partage pas son pouvoir avec les autres, on le garde pour soi. Peut-être il était vraiment inutile. Puis il se rappella de son but original, Dominic, il devait abosulment savoir si quelqu'un connaissait quelque chose sur lui. Tout les chevaliers se connaissent, si jamais ce que son tutor lui racontait était vrai, il pourrait surement le confirmer. Sauf que le chef était en train de parler tranquillement avec un de ses jeunes écuyers. mais il faut tenter sa chance. tout était presque fini... Donc, il oublia ses quelques idées de cons, et rengea son sabre, en prennant bien soin de le passer sur le petite lingue humide qu'il portait toujours sur son épaule gauche, il ne fallait absolument que son sabre ne soient pas souillé par le sang des insectes. Puis un signe apporta son attention, il se trouvait sur une petite fille, très jeune, le symbole de la lumière, d'Enkidiev, c'était elle la porteuse de lumière, donc elle est née depuis longtemps, elle ne semblait avoir que 12 ans, ce qui pouvait être beaucoup trop tôt pour porter une marque. Une marque qui lui rappella de mauvais souvenirs, Dominic lui avait toujours dit qu'il né sous une pluie d'étoile. Maintenant, il en doutait. Il changea de direction et son cheval patienter quelque minutes, il y avait un peu d'entraînement à accomplir. IL se dirigea vers le groupe d'insecte que le groupe de Drew combattait, avec un peu de chance, l'un d'entre-eux connaissait Dominic.

Vous n'avez pas fini ici, besoin d'aide ? Demanda-t-il en sortant à nouveau son sabre.

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Tient? Drew était de nouveau sur le champ de bataille. Elle avait dut être occupée sur une autre direction de celui-ci. Ynes fut ragaillardie par les paroles de son maître. Mais à la fois légèrement vexée par le fait qu'ils ne voulait pas la faire combattre au début! Elle était venue pour sauver le continent pas pour tricoter au coin du feu en attendant le retour des héros! Elle continua de combattre avant d'entendre la voix de Kurik. Enfin! Il se réveillait...

...Pour nous engeuler. Génial! On lui sauve la mise et lui se qu'il trouve à faire, c'est de nous hurler dessus. Question remerciement, c'était pas tip top. Mais elle était presque sure que Drew ne la gronderait pas pour un acte qui lui semble être logique! Du moins il était logique du point de vue d'Ynes. Elle tombait des nues. Elle s'apprêtait à riposter mais ce fut Aranel qui la devança. Elle fut troublée par la réaction qu'il eu. Il était toujours souriant, adorable et gentil. Jamais elle ne l'avait vu perdre patience ou hausser la voix. Kurik le suivit. Nous laissant battre seuls les derniers insectes qui approchaient.

Quelqu'un approchait justement dans son dos. La jeune fille empoigna son épée qu'elle avait rangée et se retourna vivement. Ce n'était qu'un homme qui avait un âge indéfinissable qui se pointait. Son coeur avait fait un bon dans sa poitrine. Elle reprit son souffle avant de voir qu'il voulait les aider. Elle fit un signe à Drew pour voir si elle pouvait prendre la parole et répondit à l'homme:

-Pourquoi pas! s'enthousiasma-t'elle.

Et elle repartit trancher les pattes des affreux insectes.

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Mathieu fut content d'avoir de l'aide. Puis, alors que les hommes insectes devenaient de moins en moins nombreux, Kurik s'éveilla. Il leur dit alors pleins de choses et ils leur dit aussi qu'ils seraient punis parce qu'ils avaient désobéis et qu'ils n'étaient pas restés dans la forêt. Mathieu rangea furieusement son épée! Son maître ne lui aurait jamais dit cela! Ils auraient du faire quoi? Le regarder crever sous leur yeux? Sachant que les chevaliers pouvaient entendre ses pensés, Mathieu se calma, honteux. Bon d'accord... Il serait punis pour avoir sauver une vie avec l'aide de ses amis.

Il resta muet, regardant Aranel partir plus que furieux. Kurik leur donna des ordres et Mathieu se retrouva ainsi avec Willo, Eyrick et ... pas Ynes? Oui, elle restait avec Drew. Mais eux aussi devaient restés avec Drew! Mathieu ne voulait plus rester sans bouger alors que des insectes se battaient! Si ça se trouve, son maître avait peut-être besoin d'aide??? Ynes en tout cas repartit se battre alors qu'une étrangé arrivait. Elle semblait elle aussi vouloir tuer les insectes. Mathieu prit son épée à nouveau et regarda le chevalier Drew. Son cheval c'était perdu dans la bataille alors maintenant Mathieu était à pied. Un insecte se jeta sur lui et il fit un bon de côté... Heureusement, ses ailes ne se déplièrent pas!! Il resta donc au sol et il faucha les deux jambes de l'insectes...

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Lorsque le Chevalier Kurik s'approcha de lui, Aranel ne broncha pas, la tête baissée, il était pret à recevoir ses reproches. Cependant, les paroles que prononcèrent le chevalier le surpris au plus haut point. Au lieu de le réprimander, il s'excusait de sa conduite, chose que l'écuyer n'aurait jamais crus entendre. Le jeune Elfe ne bougea pas, écoutant distraitement les paroles du chevalier qui essayait de l'apaiser, jusqu'au moment où il prononça le nom de son défunt maître. Il disait qu'il lui avait parlé, qu'il lui avait fait jurer de le protéger, Aranel n'en croyait pas ses oreilles. Au fond de son être, un brin de jalousie c'était éveillé, même si cette émotion n'avait pas la place dans le cœur d'un représentant de l'ordre, il n'avait pu faire autrement que de la ressentir lorsque Sir Kurik lui avait dit que son maître lui avait parler. N'ayant pas le droit de lire les pensés d'un chevalier, Aranel ignorait si le chevalier aurait désapprouvé ses émotions ressentit à cet instant. Les elfes étaient des êtres facilement ébranlables, peut-être avait-il crus bon de le rappeler à l'ordre une autre fois, chose don l'écuyer ne se plaignait pas. Même si ses pensés vaguaient un peut, il était tout de même concentré sur les paroles du chevalier, mais celles-ci, même avec ses vagues d'apaisements, ne le réconfortait pas vraiment. Il lui posait diverses questions et pour ne pas l'interrompre l'Elfe répondait à l'aide de mouvement de tête...

Lui donnant une claque amical sur l'épaule, Sir Kurik lui dit qu'il pouvait parler librement et que tout ceci resterait entre eux, mais le jeune Aranel ne dit mot. Un long silence de mort plana durant quelques instants avant d'être déranger par le vol de quelques oiseaux. Puis la gorge encore noué, Aranel ouvrit la bouche, mais toujours comprimée il ne dit rien. Que pouvais il bien dire de plus ? Qu'il aurait voulut que son maître ne soit pas mort ? Qu'il aimerait ne pas être là, une épée à la main à tuer d'autres créatures ? Tout ceci ne servait à rien d'être dit puisque c'était le passé. Cependant, il regarda le chevalier dans les yeux, trouvant qu'il lui devait lui aussi des excuses.

- Je te...enfin, je vous remercie d'être venu vous excusez, même si vous n'auriez pas dus le faire, cela aurait dut être à moi de vous donner des excuses pour mon comportement. S'excusa t-il, soudainement plus timide. Je n'ais pas voulut désobéir à vos ordres. Je ne voulais seulement...je voulais seulement pas...

Les mots se coincèrent dans la gorge d'Aranel, l'empêchant de continuer car l'image de la lance transpercant le corps de son maître venait de resurgir. Combattant ses émotions seulement quelques larmes coulèrent sur ses joues, il baissa la tête, honteux.

- Se n'est pas contre vous que je suis en colère Sir, commença t-il d'une voix étranglée, ni contre ces hommes-insecte, mais contre les dieux qui ont décidé de reprendre si injustement mon maître.

Il regarda le corps de son maître quelques instants, avant de continuer.

- Maître Abnar nous a racontés que les dieux décidaient du moment de la mort d'une personne et qu'ils ne fessaient jamais rien pour rien.

Il leva un regard chagriné vers le Chevalier Kurik.

- C'est de ma faute si Zane est mort, laissa t-il tomber. Pour mon indiscipline, les dieux on décidé de me punir, en me reprenant se que j'avais de plus chère...

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L'écuyer Aranel était timide par nature, tant de fois Zane avait vanté cette qualité quand ils parlaient de leur écuyer. Il sourit. "Zane...."

-Ne t'excuse pas. Tu vis un moment difficile par la perte de.... Zane et je ne t'aide pas en te réprimandant. Puis l'écuyer versa quelque larme que Kurik ne vit pas tout de suite. Ce n'est la faute de personne si Zane est mort, Aranel. Tout homme meurt un jour, Zane est a déploré car les dieux ont choisi de le reprendre près d'eux. Dis toi que c'était pour le protéger des maux que nous vivons. Il est en paix, près d'eux.Puis le jeune écuyer s'apitoya sur son sort, ce qui irrita Kurik, s'appitoyer ? Il retint tout de même sa colère. Aranel, je te l'ai dit. Ce n'est la faute de personne et surtout pas de toi. On n'a tous fait preuve de négligence. Les Dieux ne t'ont pas puni, sinon beaucoup auraient perdu des...êtres...chères...Kurik s'arrêta. Avait-il déçu les Dieux ? Les paroles du jeune écuyer le firent perdre pied.Puis il parla à voix haute, sans vraiment s'en douter. Père... Frère.... Je devrais.... être avec....vous à l'heure qu'il est. Mais les Dieux en ont décidé autrement. Père.... Frère ! Il était dans ses pensées, il n'avait pas remarqué qu'il avait parlé devant un écuyer de choses qu'il devait garder pour lui. Son regard se voila. Il regarde sans vraiment voir, le ciel. "Êtes-vous là-bas ?" Laissons cet affaire de côté, tu veux ? J'ai envie de festoyer notre victoire. Puis il voit le corps de Zane. Repose en paix mon ami ! Tu aura une tombe digne de ton nom ! Il prit le corps de Zane dans ses bras, se dirigea vers son arme laissée un peu plus loin. Il essaya de capter l'esprit de Froos, sans succès ! Il rangea son arme, sentit son dos lui montré son désaccord, mais il tint bon. Aranel,Il se tourne vers lui. Je te fais confiance, tu me protèges, moi et Zane, s'il te plaît ! Mon dos me dit que je ne peux plus me battre. Allez viens, allons retrouvez les autres.

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Sir Kurik était revenu à lui! Tout s'était précipité...Ynes et Mathieu les avaient rejoint maintenant tous les écuyers se retrouvaient à défendre le jeune chevalier aidés de Lady Drew qui se battait avec son écuyere. Mais Sir kurik a peine remis de ses...émotions? commença au lieu de les remercier ou même de continuer le combat, par dresser la liste des remontrances! Cela mit Eyrick dans une colère noire ce qui fit qu'il partit un peu plus loin se battre et dépenser sa rage autrement que sur le pauvre chevalier...ce e fut pas le cas D'Aranel qui s'énerva brutalement avec raison...Eyrick sentait au fond de lui toute la rancune, la colere et la tristesse. Il avait envie de l'aider mais lui même prit dans sa colèe il ne put rien faire. Aranel s'éloigna du champs de bataille la ou reposait son maître et sir Kurik imposa des ordres encore et toujours. Certes cétait le bras droit de son maître mais Eyrick détestait obérie à plusieurs personnes. Enfin heureusement qu'il savait lire sur les lèvres sinon il n'aurait rien comprit. Et pour une fois il obéit car la ou se trouvait le roi...Se trouvait également Johwan le dragon que le jeune garçon admirait. Il emboita doncle pas à Lady Drew, se frayant un passage malgré son épaule blessée. Il se sentait faiblir tout aussi surement que le désespoir d'Aranel déversant toute sa colere sur Kurik le frappa de plein fouet...Les larmes aux yeux il se retourna les regarda, et manqua de se faire faucher par un insecte..;Mais il leur faisait confiance, et pas au roi...du moins aps pour le moment. AUssi il repartit bien vite. les deux combattants se tenaient un peu à l'écart du combat. Cela n'allait pas être simple pour un gamin de faire entrendre raison à une entité telle que Johwan et à son roi...Kurik aurait vraiment de quoi le réprimander au moins.

Soudain sans prévenir personne il quitta le combat et courut à s'en rompre le cou entre les deux protagonistes, se plaçant tout dabord face au roi...Un minimum de protocole histoire de l'amadouer. Il se tenait entre eux deux ne voulant pas les laisser se battre. Sa voix raisonna bientôt dans leur tête.

*Sire! Non arretez Jowhan, ce dragon est de notre coté, il n'est jamais allé sur iranieth et ne connait pas les insectes! il m'a sauvé la vie et a combattut à nos cotés jusqu'a présent...Ne doit on pas être cléments, en tant que écuyer ou même roi? je vous en prie ne vous lancez pas dans un combat pareil!*

Il hurlait. Eyrick savait que les mots d'un enfant ne ferait pas grand effet sur leur grand roi alors peut etre que il ne voudrait pas attaquer un écuyer? Aussi il tourna délibérément le dos au monarque d'emeraude et se plaça juste devant le dragon, quitte à se laisser mordre. mais il avait confiance en Johwan et le regarda avançant sa main sans le toucher, se rappelant la terreur de tout à l'heure.

*Johwan...calmez votre colère je vous en prie. Jadis des dragons ont tué et mangés des habitants de ce pays et ils ont peur... ne perpetuez pas cela, j'aimerais que tous aient confiance en vous...comme moi.*

La voix était redevenue celle d'un petit garçon avec même un léger sourire chose qu'il laissait tres rarement paraitre. Puis pour ne pas embarrasser le dragon, à ses risques et péril, il se tourna à nouveau restant juste devant le dragon mais regardant son roi...Il allait se faire massacrer ensuite mais la vie de ces deux personnes comptaient davantage que la sienne et que son appartenance aux chavliers. Son coeur était sur de faire le bon choix en les empéchant de se battre quitte à défier le monarque.

Invité

Maintenant, il ne restait plus qu'à détruire quelques insectes et posez quelques questions sur Dominic, même si Audrey aait ses doutes quant à la vie que son tutor aurrait du avoir, la réalité, c'est qui ne le connaissait pas, il voyait bien les chevaliers se battre, leurs techniques n'étaient pas du tout identiques à celles que Audrey avait apprises, même les écuyers pouvait utiliser les rayons incendiaires, mais, pas lui, peut être que ce n'était pas nécessaire, pour le moment. Audrey se jeta rapidement dans la foule, comme il appellait et attirat l'attention des ennemis, son armure était trop unique, pourquoi avoir une armure rouge alors que tous les autres ont une tunique verte, cela ne fait aucun sens pour lui. Comme s'il pouvait le savoir. Mais pour ce qui étaient de tuer les insectes, sont pouvoirs d'inspection lui donnait un avantage, dommage qu'ils soient résistant à la magie, car il aurait eu du plaisir. Frapper n'était plus qu'une facilté, Audrey n'avait plus qu'à lever son arme et à se laisser aller, l'arme se guidait d'elle même comme il le croyait. Puis tout d'un coup, il remarqua les insectes s'épuisaient eux aussi, il décida donc de continuer avec une approche hyper-aggressives, ses ennemis le laissaient enchaîner frappe sur frappe, mais après cinq coups, ils faiblissaient et manquaient presque toujours le sixième, sinon, c'était le septième.

- Vous me pardonnez, mais, je ne suis pas fort en communication.

dIt-il après avoir tuer un quatrième insecte, lorsqu'il approcha son cinquième ennemi, un colléoptère à la carapace rouge, son approche hyper-aggressives ne fonctionnait plus, ce dernier contre-attaqua. Il vit alors qu'il allait avoir un combat digne d'être vécu. Son ennemi était aggressif, et chassauit sa lame à la moindre occasion que Audrey tentai de l'attaquer, rien à faire, il dut reculer de deux pas.

- Pourquoi faut que je renconte le dur du troupeau ?

Il se risqua à nouveau et attaqua, en prennant bien soin de passer par le centre, mais peine perdu, sa lame fut chassée, ce qui fut suivit d'une frappe, ou plutot d'une menace, vu que Audrey s'était rétracté à nouveau. Il recommença son manège quelques fois, il avait même essayer de passer en dessous de sa lance, mais rien n'y fit, on aurrait put dire que cette insecte était différents des autres. Il se rappella qu'il ne devait jamais montrer de signe de faiblesses, son adversaire était bon, pas comme les autres guerriers impériaux qui ne faisait attention à leur cou et à leur bras.

Je ne peux avoir son cou, alors je coupe les bras.

Audrey relâcha la tension et amma son arme, mais sans qu'il put frapper, car son ennemifit un gros saut en arrière et fit couvert par quelques guerriers impériaux, il prenait la fuite en direct, vu par personne, ou à peu près pas et courrant à une vitesse hallucinante, il n'y avait pas moyen de le suivre. Peu après la séparation, Audrey ne pouvait plus voir son ancien adversaire. Il s'était volantisé, il se contenta donc de tuer les scarabées qui se tenait devant lui.

- Merde, faut vraiment que le seul bon adversaire me fuit au nez !

- Il regarda comment les chevaliers se débroullaient, mieux que lorsqu'il y a une infestation d'insectes, autour de lui, il n'y en avait plus. Il regarda devant lui, le seul chemin possible était la forêt, ça explique pourquoi ce dernier ait disparut. S'Il faisait preuve d'intelligence, il faudra qu'il lui fasse la chasse. IL décica donc de s'aventurer dans la forêt, pas besoin d'aider les chevaliers encore plus, il avait tué six guerriers impériaux, ce qui était déjà gros. Il n'avait pas encore eut de blessures, mais ça ne pouvait durer....

Invité

Kurik, aidé d'Aranel, avait décidé de rejoindre le groupe, mais ce n'était plus lui qui se battait. Trop fatigué poour cela, il avait décidé que ce serait le jeune écuyer de Zane qui le défendrait. Lui, il portait le corps de son défunt frère d'arme, il avançait difficilement entre tous les corps des insectes morts. Il faisait attention à ne pas glisser. Une glissade, et il ne se releverait pas de sitôt.

Ils avançaient quand il vit le jeune écuyer Eyrick partir en direction du roi et du dragon. Là, Kurik sentit sa colère remonter, lui qui s'était calmé. Mais il avait décidé d'intervenir tout de même, pas pour crier sur le jeune adolescent qui avait décidé d'en faire qu'à sa tête mais pour l'aider en cas de pépin.

-Aranel, merci de m'avoir protégé de ces sales monstres. Je te confie le corps de ton maître. Il se dirigea vers le groupe de Drew. Willo tu m'accompagnes ! Elle lui emboîta le pas aussitôt. Pourquoi tu ne l'as pas empêché d'y aller ? dit-il de la voix la plus calme possible.
Vous nous avez donné un ordre, Maître, celui de rester avec Lady Drew.
Il sourit. Oui, en effet.
Vous allez encore crié Maître.
Non, je suis trop fatigué pour cela. Et il sourit. A croire que les jeunes écuyers ne retenaient que ses coups de gueule.

Puis il fit une glissade sur une flaque de sang et s'écroula, ce qui lui arracha une grimace et un cri de douleur. Son dos l'handicapait sérieusement. Willo accourut.

Maître...
Ca va aller, Willo, ça va aller. De toute façon, faut que ça aille. Il crie en direction du groupe de Drew. Ca va, je tiens plus ou moins debout !

Il atteignit enfin le jeune écuyer Eyrick.

Atlance, ce jeune homme a totalement raison. Ce Dragon est avec nous.... Il regarde Eyrick et lui fait un clin d'oeil. Et comme j'ai pas envie de ramasser les quelques morceaux qui restera de vous, si on y allait ? Sinon, vous devrez passé et sur le jeune écuyer Eyrick mais aussi sur le corps d'un de vos Chevaliers.

*Youps... Je viens de lui manquer de respect.... Et merde, je vais me faire tuer par Karmina si elle avait pas encore prévu de me tuer après mon coup de Zénor ! *

Il se tourne vers Eyrick et parle à voix plus basse. Essaie un peu de te calmer. Je sais que tu n'apprécies pas mes ordres et que tu n'obéis qu'à Karmina mais pour moi fait un effort. Je viens de manquer de respect au roi et j'ai déjà la fuite de Zénor sur moi. Si je continue, je mourai avant d'avoir trouvé une femme. Allez maintenant, essayons de calmer le jeu. J'ai pas envie de trouver un nouveau roi à ma rentrée au château.

Invité

[i]Lumeth avait du revenir sur Enkidiev en un éclaire et cela n'avait pas été une mince affaire!! Il avait usé de pas mal de magie et avant d'attaquer il devrait refaire le minimum de ses forces de sorciers. Il regardait pour le moment la scène de son perchoir. Les chevaliers étaient trop occupé avec tout ces insectes pour remarquer sa présence. Lumeth voyait tout. Un chevalier s'écrasa sur le sol. Il était mort. Bien, un de moins! Les yeux rouge de Lumeth brillèrent de plaisir. Qu'il était agréable de voir des soldats tomber au combat, si agréable!! Le sorcier sentit ses plumes fermire de plaisir. Il se lécha ses lèvres humaines et secoua doucement sa tête plumé.

L'homme oiseau vit un autre chevalier tomber... Mais celui-ci fut sauvé d'une lance par un stupide écuyer aux oreilles d'elfe! Ksss! Que venait-il faire là celui-là? Il gâchait la bataille! Mais un peu de rébellion ne faisait pas de mal. Quelques autres écuyers qui étaient restés dans la forêt accoururent. La fille!!! C'était elle qui devait tuer Vahamon et Ysmé! Qui devait détruire l'Empire des insectes!! Lumeth ouvrit des yeux ronds comme des billes. Il poussa un sifflement strident qui s'entendit bien entendu. Il devait la choper!

Lumeth détendit ses ailes, les plumes qui poussaient sur ses bras d'humain normalement, et il décolla. Il chercha de ses yeux rouges la fillette qui se battait contre les insecte. Lumeth fit criser ses griffes l'une contre l'autre et il plongea sur la fille lumière. Il la fit tomber au sol et tout deux roulé boulèrent sur la terre. Il sortirent légèrement de la bataille et Lumeth plaqua fermement la fillette au sol et la menaçant de ses griffes.

-Tu es prises, enfant de lumière![/i]

Invité

Drew comprenait vraiment l’attitude d’Aranel avec Kurik, elle aurait fait pareil. Finalement elle avait un caractère un peu plus enfantin que les autres chevaliers, elle n’aimait pas trop qu’il fasse la morale à Ynes ainsi qu’aux autre écuyers mais il était vrai qu’ils avaient désobéis. Passons, les chevaliers mettraient cette affaires au clair plus tard, pour l’instant elle avait intérêt à se concentrer, déjà que Zane était mort elle n’allait pas elle aussi périr bêtement au combat !

Il ne restait plus beaucoup d’ennemi mais les chevaliers étaient quand même déborder, entre Eyrick et Kurik qui se disputaient avec le roi pour ce Dragon sortit d’on ne sait où et puis Ynes qui avait disparu… Disparu ?
Drew se rendit compte que son écuyère n’était plus dans son champ de vision, elle sonda la forêt et la trouva non loin, Ynes était dans l’herbe avec un espèce de corbeau plutôt hideux ! Drew comprit que c’était un sorcier, il était bien plus puissant que les hommes insectes et beaucoup plus laid, il voulait capturer son écuyère. Elle était exténuée mais quand même, Il était tout seul contre Drew et la porteuse de Lumière !
Elle empoigna son arme à deux mains et s’avança vers l’oiseau,

- Lâcha-la! Attaque-toi à quelqu’un de ta taille, couard ! Cria t-elle à l’intention du corbeau.

Ne sachant pas vraiment si le sorcier pouvait comprendre ses pensées, elle dit à Ynes
« Si jamais il m’arrive malheur, je t’ordonne de fuir ! » Elle n’était pas certaine que son écuyère le fasse mais elle devait la mettre en garde, et puis pour l’instant elle pouvait rester.

Drew communiqua ensuite aves ses frères d’armes, elle n’avait aucune envie de mourir maintenant et avec l’aide des autres chevaliers ils pourraient venir à bout de ce monstre,
« Mes frères nous sommes attaqués par un sorciers alors arrêtez vos querelles idiotes et venez m’aider, il s’est attaqué à Ynes ! » Elle espérait bien qu’ils accourent au plus vite, elle ne tiendrait pas longtemps après avoir dépensé toute son énergie avec les guerriers de l’empereur.

Elle se rappela ses cours d’histoires et se souvint que pour tuer un sorcier il fallait le couper en deux, ce qui n’était pas une mince affaire. Elle se précipita sur le sorcier et le fit rouler à terre pour l’éloigner d’Ynes.

Invité

Ynes combattait docilement les scarabés qu'ils restaient. A ses côté se tenait un certain Audrey. Elle ne le connaissait pas plus que sa. Seulement son nom à vrai dire! Elle tranchait les membres des insectes avec agilité, en fendant l'air de son épée. Elle avait presque oublié sa cheville qui lui faisait souffrir le martyre. Elle se consentrait sur son combat et sur rien d'autre. Elle n'avait en aucun point remarqué le danger qui s'abattait sur elle à grande vitesse.

Au dernier moment, elle se retourna avant d'être violement jetée au sol. Elle en eu la respiration coupée. Elle était totalement affolée. Quelle était cette énorme bête noire à plumes, qui la clouait au sol? Elle eu du mal à reprendre son souffle qu'elle avait perdu. Elle regarda Drew d'un air troublé. L'oiseau parlait! Il... Il savait parler! etrange! Pourquoi cet animal connaissait son identité? Aucun des autres insectes, qui d'ailleurs ne lui ressemblaient guère, ne savait, ni parler, ni son identité! Drew lui demanda de s'enfuir dès que possible! Mais... Elle ne voulait pas paraître couarde, elle! Elle voulait sauver sa dignité!

De toute façon, elle n'arrivait plus à bouger, elle avait le dos brisé. Du moins, une ou deux côtes. Elle se leva tant bien que mal et se déplaca le plus rapidement que son dos et sa cheville lui ordonnaient jusque son épée qui avait voltigé au loin lors de sa chute. Lorsqu'elle la ramassa, elle lui sembla plus lourde, plus pesante à porter. Elle n'avait pas réussit à quitter l'oiseau des yeux. Et elle n'y arrivait toujours pas à vrai dire. Il fallait du renfort! Drew n'y arriverait pas toute seule! Restant tout de même en retrait pour conserver le peu de vitalité qui lui restait. Elle hurla de toutes ses forces dans ses pensées, en les adressant aux autres chevaliers *Ehh!!!! Venez nous aider! Un grand oiseau noir nous a attaqué! S'il vous plait, aidez-nous!*. Elle était au bord de la crise de nerfs.

Invité

Une infime brise de vent soufflait sur son visage, balayant de quelques peux ses cheveux sombres qui obstruaient sa vue et chatouillant, à l’aide de brins de blés, ses orteils. Là, dans un champ que ses propriétaires avaient abandonné, le roi regardait le dragon et le dragon regardait le roi. Ses yeux bleus poudres se mêlaient à ceux de braise de la bête, amplifiant l’hostilité qui régnait déjà entre eux. Un lourd silence d’enterrement pesait sur ses épaules à mesure qu’il fessait tournoyer son arme de gauche a droite, essayant le plus possible de captiver l’attention du dragon sur lui et non sur les chevaliers qui venaient d’arrivés. Son attention dérivé par les éclats de voix de ses soldats bruyant, il ne pourrait plus se concentré suffisamment pour trancher la tête de l’énorme animal noir lorsque celui-ci attaquerait. Il devait trouver rapidement une nouvelle façon de faire. En tant que bon roi, il ne pouvait pas laisser cette créature de l’Empire souiller les terres de son royaume. Même si les chevaliers déclineraient son acte, il devait chasser cette créature avant qu’un drame ne survienne, la bête déjà furieuse risquait d’attaquer à tout moment et de faire beaucoup de victimes. Des monstres de cette trempe, le roi en avait vus plus d’un et ils savaient ce dont elles étaient capable, si ce dragon restait en vie il ferait beaucoup de dommage.

De plus en plus impatient l’animal raclait le sol de ses puissantes griffes, brisant le mur de silence auquel le roi c’était entouré. En une seule fraction de seconde, la situation s’envenima de plus belle. Un jeune écuyer indiscipliné c’était avancer, clamant que l’animal sanguinaire qui lui fessait face était de leur coté et non de celui de l’Empereur. Le roi releva un sourcil, incrédule, il ne croyait pas à cette histoire de dragon qui aidait les humains, pour lui, un ennemi restait un ennemi quelques soit ses intentions. Un sujet d’Irianeth n’avait pas sa place sur Enkidiev, encore moins dans son royaume. Le roi ne tenta pas de rappeler à l’ordre l’adolescent à la peau mauve, c’était parfaitement inutile puisque de toute façon, il ne l’écouterait pas. Comme pour prouver ses dires, le jeune garçon lui tourna le dos pour faire face au dragon qui les fixait sans bouger d’un clin. Le roi se déplaça de quelques pas pour constater que les iris rouges du dragon c’étaient déplacés avec lui. Satisfait de voir que le monstre était braqué sur lui-même plutôt que sur l’enfant, il concentra son énergie dans sa main libre, cependant, il n’eut jamais le temps de lancer sa décharge car l’un de ses chevaliers venait de se poster devant le vétéran, lui bloquant la vue.

<< Atlance, ce jeune homme a totalement raison. Ce Dragon est avec nous.... Clama le chevalier. Et comme j'ai pas envie de ramasser les quelques morceaux qui restera de vous, si on y allait ? Sinon, vous devrez passé et sur le jeune écuyer Eyrick mais aussi sur le corps d'un de vos Chevaliers.>>

Le roi d'Émeraude sentit la rage remonter dans ses tripes et son visage devint écarlate. De quel droit ce soldat impertinent venait se poter devant lui. Il comprenait qu'un jeune écuyer soit assez naïf pour croire aux paroles alléchante d'une créature, qui était du même sang que lui, mais il osait croyait qu'un chevalier serait faire preuve de plus de jugement. La nouvelle génération, à ses yeux, insultait littéralement les intérieurs qui n'aurait pas hésité une seconde à mettre cette créature à mort. Ces jeunes soldats sortie de l'apprentissage n'avait pas vus de leurs yeux leurs frère se faire massacré par ses monstres sanguinaires, ils n'avaient pas vus avec qu'elle plaisir ces abominations déchiquetaient de pauvres innocents. Ils étaient jeunes et naïf, ils avaient trop d'espoir de voir leurs ennemis se rallier à eux, mais se qu'ils n'avaient pas appris; c'est que en temps de guerre, il ne faut faire confiance qu'en soit. Il n'était pas revue pour voir Émeraude tomber au mains de son ennemi, il n'était pas venu pour voir ses soldats se faire écraser et encore moins se faire manipulé. De vrai enfant ! Pensa le roi, alors qu'il fessait quelques pas vers la droite afin de dégager son champ de vision. Sa main droite toujours charger, il regardait désormais le monstre, se bloquant des paroles irréfléchi des chevaliers. Le vent caressait désormais son visage, sans pour autant qu'il ne quitte des yeux le dragon. Fessant disparaître son épée de sa main gauche, il concentra toute son énergie dans ses paumes, avant de se déplacer de quelques pas. À sa gauche, le jeune chevalier blond bougea de quelques pas pour se rapprocher de lui, captivant de quelques peux l'attention du roi qui tourna un œil vers lui. À se moment précis, le dragon arqua le cou en direction du jeune écuyer. Croyant qu'il allait attaquer le jeune adolescent, le roi laissa partir distraitement sa charge, qui manqua la tête du monstre mais qui huerta toutefois son portail. La bête échapper un cri déchirant alors que ses pattes cédèrent sous son poids, laissant sa tête toucher le sol. Sans perdre une seconde, le vétéran fonça en direction du dragon, dégainant son épée de son fourreau, il l'appuya sur la gorge de l'animal. Bien que son envie d'enfoncer sa lame dans la chaire tendre du monstre fut très grande, le roi ne le fit pas, ressentant l'amertume de ses soldats. Théoriquement personne n'avait signaler que le dragon avait attaquer autrui, seulement il ne pouvait pas laisser ce monstre foulé les terres de son royaume.

- Je suis le roi Atlance d'Émeraude ! Rugit-il en exerçant une légèrement pression sur la gorge du dragon, à laide de son épée sertis d'émeraude. Et tant que je règnerais, aucun ennemi ne posera le pied sur mon royaume ! Si tu es aussi sage que les prétend mes hommes, quitte ce royaume et ni reviens jamais ou tu subira le même sort que les tiens.

Le roi se recula et désigna les cadavres des guerriers noir au sol à l'aide de son épée. Il continua de reculer afin de laisser assez de place pour que le dragon puisse prendre son envol. N voulant prendre aucun risque, il envoya un message télépathique que seul le chevalier proche de lui put entendre.

''Si il m'attaque, tranche lui la tête lorsque ses crocs enfoncement dans mon abdomen, c'est le seul moment, après il sera trop tard.''

Invité

Atlance venait d'attaquer le Dragon, une attaque par la Magie puis avec son épée. Kurik enrageait, il allait vraiment s'énerver mais il devait se contrôler, c'était le Roi après tout, pourtant, il ne put se contrôler. Il s'approcha du Dragon.

*Ne pars pas, je te demande de rester.*

Puis dans un excès de colère, il se dirgea vers le Roi qu'il attrapa par le col.

-Je vous ai dit qu'il était de notre côté, vous me comprenez ou pas ? C'est un ami, même si vous ne lui faites pas confiance, j'en ai assez en ce Dragon pour tourner le dos. On a besoin d'alliés qu'il soit de notre race ou d'une autre.

Il relâcha son étreinte et partit.

-Viens Eyrick !

*Oui, je vous aurais sauver s'il vous attaquait mais il ne vous attaquera pas !*

Kurik reçut deux messages télépathiques en une fois, deux, un de Drew et l'autre de .... l'écuyère de celle-ci. Un volatile l'attaquait, un sorcier d'Irianeth. Kurik se mit à courir entre les cadavres avec Eyrick et lança un message vers le filles.

*J'arrive avec tout le monde !*

Puis il s'écroula, son dos le lançait terriblement.

-Continuez, je vous rejoints.

*Roi Atlance, on a besoin de vous ! Aidez-nous !*

Kurik tenta de se relever mais en vain, son dos le faisaient trop souffrir. Il ne pourrait pas bouger. Il regardait le groupe aider les filles contre leur nouvel ennemi, lui, il arriverait plus tard, s'il pouvait se relever !

Invité

Lumeth sentit une puissante botte le progeter au sol. Celui-i roula un peu plus loin avant qui n'ai put enfoncer ses griffes dans la tunique d'Ynes. Il se releva en sifflant de rage et regarda la femme qui avait osé la menacer avec ses manières de chevalier vert! Lumeth la toisa de son regard rouge et venimeux. L'enfant porteuse de lumière ne semblait pas pouvoir se relever à terre. Elle avait peut-être mal quelque part? Hum hum! Parfait, parfait! Ca serait encore plus facile!è Qui enverrait des femelles au combat? C'est n'importe quoi!

Lumeth eut un ricanement et il s'avança vers Drew en plaquant un peu plus la porteuse de lumière au sol avec son pied. Il s'avança ensuite vers la chevalier mais alors qu'il faisait mine qu'il allait l'attaquer, il plongea sur le côté pour saisir Ynes par les cheveux et il du utiliser sa magie pour s'envoler un peu dans le ciel. Il s'entoura d'un bouclier. Il n'était pas entiérement remit de son voyage éclaire sur Enkidiev, donc ses pouvoirs tanguaient un peu. Si seulement l'Impératrice lui avait permis d'emporter un dragon!

Le sorcier siffla et il fit tomber la porteuse de lumière dans un arbre. Il vérifia qu'elle ne pourrait pas descendre et il atterit sur le sol, face à la chevalier verte. Il la toisa encore plus, toujours entouré de son bouclier invisible, près à esquiver et à contre attaquer.

Invité

Je regardais tristement et impuissant la situation se détérioré devant moi. Si j'avais sus que ma présence causerait tant de controverse dans le cœur de ces hommes, je n'aurais tout simplement pas intervenu. Cela me brisais, en quelques façon de les voir se quereller par ma seule présence, seulement intervenir dans leurs conversations enflammés ne ferait qu'envenimer les choses. Je continuais de regarder cet homme étrange, paré d'argent qui me fixait constamment, ignorant qu'il aurait put représenter pour moi une quelconque menace. Il avait les yeux aussi claires que le ciel mais aussi perçant que les faucons que j'arrivais parfois à attraper en plain vol. Je pouvais ressentir le dégout que je fessait naître en lui, simplement en me regardant. Tout son être en vibrait, et bien que je m'y attendais, cela me fis tout de même un grand choc. Mais, je ne pouvais pas vraiment lui en vouloir puisque je ne savais pas exactement se que j'étais. Je ne pouvais pas savoir se que ceux de ma race avait bien pu faire subir aux hommes pour qu'un d'eux me déteste autant. Anciennement, j'étais un forgeron, pas un érudit et j'en savais très peut sur l'histoire d'Enkidiev, mais cela avait dut être horrible pour qu'il me regarde de cette façon. Cependant, je suis un être plutôt fier et je ne m'avouait pas impressionner. Je continuais de le fixer la tête haute, surveillant étroitement son déplacement, quand le jeune garçon à la peau mauve viens vers moi.

- Johwan...calmez votre colère je vous en prie. Jadis des dragons ont tué et mangés des habitants de ce pays et ils ont peur... ne perpétuez pas cela, j'aimerais que tous aient confiance en vous...comme moi.

Ce jeune enfant confirma se que j'avais crus, je m'y attendait bien sur, vus le dédain et la frayeur sur les visages des humains, mais l'entendre de vive voix fit frémir mes écailles. Les dieux m'avaient permis de vivre une deuxième vie, cependant, dans le corps d'un mangeur d'hommes cela me réjouissais moins. Je comprenais maintenant mieux la méfiance de l'humain que je continuais de regarder, mais je ne pouvais pas faire autrement qu'admiré le courage de ce jeune garçon. Moi même, à sa place je n'aurais pas fait preuve d'autan de courage, j'aurais probablement pris mes jambes à mon cou sans jamais me retourner. Oui, j'aurais fuis la créature que j'étais maintenant et comprenant se que je suis, je le ferais encore, si seulement je le pouvais. Imprudemment, je pencha, sans vraiment le vouloir, brusquement la tête vers Eyrick pour le remercier de sa confiance, cependant je n'avais pas prévu la réaction de l'homme devant moi. Avant même que je puisse me rapprocher de lui, une douleur infernal m'avait assailli les écailles. Hurlant à me briser les cordes vocales, alors qu'un feux semblait consumer le devant de mon corps que je croyais jusqu'à maintenant robuste, mes patte déjà affaiblis, cédèrent et je senti mon nez toucher le sol. Alors que ma tête tournait dans tout les sens, je senti le métal froid d'une lame toucher à ma gorge. Retenant mon souffle et ouvrant mes yeux rouges, j'avisais l'homme étrange que j'avais sous-estimé.

- Je suis le roi Atlance d'Émeraude ! Et tant que je règnerais, aucun ennemi ne posera le pied sur mon royaume !.

Je sentis sa lame ajouter une pression sur ma gorge et je crus ma dernière heures arriver. Je remis mon âme aux dieux, près à recevoir ma punition pour avoir provoquer cet humain qui était en réalité un roi. Je l'avais provoqué sans savoir son rang, je l'avais enrager et je l'avais sous-estimé. J'avais tout simplement été stupide. Cependant j'ouvris des yeux totalement stupéfait lorsqu'il retira sa lame de sa gorge.

- Si tu es aussi sage que les prétend mes hommes, quitte ce royaume et ni reviens jamais ou tu subira le même sort que les tiens !

Je regarda autour de moi, rien n'avait changé mise à part qu'il c'était éloigner en me pointant les cadavres des insectes que je ne considérait nullement pour mes frères. Il avait décider de me laisser une chance, de me laisser la vie, même si j'étais bien heureux qu'il ne m'est pas enlever la vie, je me demandais pourquoi ? Sans attendre qu'il change d'avis, je me releva difficilement sur mes pattes en le regardant d'un nouvel œil. Je voyais en cette homme étrange le même courage que le jeune garçon, toutefois l'exprimant d'une façon différente. Si j'aurais été plus stable sur mes pattes, peut-être, je dis bien peut-être je me serais incliner devant ce roi. L'hostilité que j'avais ressenti envers lui avait instantanément disparut pour laisser place à l'admiration. Même si j'aurais voulut prouver à tout les humains du monde que je n'étais pas leur ennemi, je décida de ne pas contredit cet homme. Avant de me donner un élan pour m'envoler, je me retourna vers le jeune garçon à la peau mauve.

Nous nous reverrons, lui dis-je en me propulsant vers le ciel.

Du haut des aires, je laissa échapper un cri strident qui servait à encourager ses hommes dans leurs combats, avant de prendre la toute vers l'Est. Je me dirigeais vers les autres royaumes pour me reposer afin de me préparer pour ma chasse nuptiale habituel lorsque je heurta quelques chose. Restant du mieux possible en équilibre dans les aires, je secoua la tête pour m'apercevoir qu'il n'y avait rien devant moi. Stupéfait, je respira l'aire pour y découvrit une étrange odeur, toutefois pas vraiment appétissante mais qui ressemblait à la mienne et à celle des insectes.

Invité

Ynes hurlait. Le sorcier enfoncait de plus en plus ses griffes dans sa chair. Sa jambe saignait abondament. Elle se tenait la jambe avec dificulté. Le sorcier la traînait de tout côtés, arrachant sa tunique de toute part, ainsi que son dos. Des brûlures la déchirait affreusement et personne ne venait. Bon sang! qu'attendait-ils! Kurik leur envoya un message télépathique. Ynes ne l'entendit même pas, trop occupée à essayer d'anticiper les mouvements du sorcier.

Soudain, elle sentit les griffes libérer son mollet. Elle voulut hurler de douleur mais plus aucun son n'y sortait. Elle endura en silence et essaya de fuir. Trop tard, le sorcier la rattrapait et la saisit par les cheveux. Un cri strident retentit. Il la soulevait de Terre. Elle avait l'impression que sa tête se déchirait à moitié. Elle allait tomber, et se retrouver chauve, la tête en sang! Non, elle tenait bon. Elle essaya de s'aggriper à une patte de l'animal. Mais sans succès, ses cheveux était trop longs, l'obligeant à rester ainsi.

A un moment, elle sentit le vide se rapprocher. Ses cheveux! Sa tête la faisait souffrir mais plus autant que tout à l'heure. Elle regarda au-dessus. Plus personne ne la tenait! Elle hurla à pleins poumons, consciente de se faire entendre par les autres chevaliers ainsi que de se faire voir. Elle tombait lamentablement. Et la porteuse de lumière avait l'impression que sa chute durait éternellement.

L'atterissage fut plus que brutal. Elle sentit un énorme craquement venir de son dos. Elle avait au moins une ou deux côtes brisées en plus. Elle tomba dans le néant. Toutes ses souffrances lui avait fait perdre conscience. Avant de sombrer, elle murmura à l'intention des autres chevaliers un simple *désolée* par la pensée. Elle pensait mourir.

Invité

Mathieu entendit soudain les appelles télépathique de Ynes et de Drew et aussi ce que disait Kurik. Mathieu faucha un dernier bras d'un insecte et regarda en l'air. Il n'y avait pas de gos oiseau.... Mathieu fut soudain projeté au sol par un insecte. Il roula sur lui même avant de se relever en chancelant, tout étourdit. Il regardait devant... et il vit plus loin le chevalier Drew un homme à plume et Ynes au sol. Mathieu ouvrit de grands yeux mais il ne fit aucun geste, pétrifié sur place. Il avait les yeux ronds comme des billes. Ynes était en danger! Mais il était trop paralysé pour faire quoi que ce soit...

Mathieu la regardait à terre, se tordrez de douleur. Puis l'oiseau prit soudain son amie par les cheveux. Mathieu ouvrit des yeux encore pus rond et il faillit crier. Il regarda Ynes tomber alors dans l'arbre en criant de toute les force de ses poumons. Mathieu sentit son cœur s'accelérer et il battit furieusement de ses ailes. Il s'envola dans le ciel bleu et il atteind l'endroit ou Ynes était en train de s'évanouir. Il l'attrapa dans ses bras et la serra contre lui. Elle était lourde et ses ailes battaient plus lentement. Mais le jeune homme essaya de maintenir l'latitude sinon ils s'écraseraient tout les deux en bas.

Mathieu regarda l'homme à plume qui était en train de se battre ou de se protéger de Drew et des autres qui arrivaient. Mathieu se posa sur le sol... ou plutôt tomba au bou d'un moment et recéptionnant Ynes sur lui. Mathieu la prit dans ses bras et il s'abrita dans la forêt avec elle. Il regarda partout autour de lui sans savoir quoi faire alors il appuya sa maiin sur son cœur et essaya de lui donner un peu de son énergie vital.

Ynes était son âme sur, il ne devait pas et ne pouvait pas se permettre de la perdre dans cette bataille. En plus elle était la porteuse de lumière, alors si c'était nécessaire, Mathieu lui donnerait toute son énergie vital!

-Ynes, reste avec nous.

Invité

Tout semblait se passer trop vite dans l'esprit du jeune elfe. Il se voyait encore accoutré aux cotées de son maître sur le sol, et voilà qu'il se trouvait aux coter du chevalier Kurik a enjamber les cadavre afin de rejoindre le roi. Aranel baissa la tête avec soumission devant le monarque, mais celui trop concentré sur la bête noir ne sembla même pas remarquer qu'il avait suivit les chevaliers plutôt que de rester au château. Ne voulant pour rien au monde que le roi le remarque, le jeune écuyer se cacha presque derrière le chevalier Kurik. L'Elfe posa finalement ses son regarde bleu sur l'énorme dragon, ne cessant de calculer la grosseur de cet animal gigantesque. Observant tout son corps pour finalement baisser les yeux vers ses pattes. Il frissonna en apercevant ses puissante griffes, se rappelant la scène macabre de la plage de Zénor, mais heureusement, ce n'était qu'une illusion. Tourna la tête de coter, il chercha sa monture des yeux et la trouva en compagnie de la monture de son défunt maître qui n'aurait plus le plaisir de la monter. Le regard détourner, Aranel ne vit pas se qui se passa à ce moment, il entendu qu'un hurlement déchirant. Il se retourna vivement en se bouchant les oreilles pour ne pas devenir sourd et se qu'il l'aperçu le sidéra. Épée en main, le roi venait de menacer le dragon au sol. L'écuyer retint son souffle lorsque, le surprenant une fois de plus, le roi lui laissa le loisir à l'animal de partir pour ne plus jamais revenir. Le jeune Elfe avait peur d'une réaction négative du dragon, mai étonnamment, il s'envola sans faire d'histoire, dans un cri strident, d'où il dut encore boucher ses oreilles hypersensible.

Il allait rejoindre les autres écuyers derrière le chevalier Drew lorsqu'une créature couvert de plumes noirs fondit dans la masse, prenant Ynes au passage. Aranel retint un cri lorsqu'il reconnut l'apparence du sorcier que les livres d'histoires décrivait si bien. Était-ce le même sorcier qu'avait affronter jadis les anciens chevaliers ? Cependant, on avait dit de lui que les Chevaliers l'avaient tuée. Existait-ils d'autre créature comme lui ? De toute façon que cela soit le même sorcier ou non, la jeune Elfe savait qu'il ne pouvait ps rester la sens rien faire alors que son ami se fessait enlever, mais il ne pouvait pas non plus affronter un sorcier. Il n'était malheureusement qu'un écuyer. Cependant, même si il ne pouvait pas se battre contre ce meurtrier, il pouvait toujours aller chercher de l'aide au château. Il n'en était plus très loin désormais et si il pousser sa monture au galop il pourrait certainement arriver à temps, il devait y arriver.

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