La cour du château

Assis sur son trône au milieux de la grande cour sur l'estrade en bois , le roi Atlance attendait patiemment que les préparatifs de la cérémonie sois terminés. La veille au soir le Roi d'Émeraude avait dévoilés sa mission aux jeunes chevaliers, il espérait qu'au lendemain de la fête les chevaliers feraient preuves de jugement et exécuteraient ses ordres avec la dignité d'Émeraude. La nuit du roi fut tranquil et sans remous , cela fessait longtemps que le roi n'avais pas eu droit à une bonne nuit de sommeil sans cauchemar de toute sorte. Depuis les première lueurs de l'aube serviteurs, paysans et commerçant circulait abondamment dans la cours. Ils se préparant tous pour l'attribution des premiers écuyer du nouvel ordre d''émeraude. Nombre de personne sont venu en se jour pour voir cet événement. Tous les gens désireux de voir écuyer et chevaliers parader pouvaient se présenter dans le cour de château, pour le soir une grande fête était organisée. Le roi d'Émeraude était un peux impatient, il avait hâte d'en finir avec cette cérémonie pour se retrouver seul après. Atlance regrettait que son veille ami ne sois plus de se monde. Il se rappelait jadis les bonnes soirées passé en sa compagnie dans son château à boire du vin et à élaboré des stratégies contre l'empereur. Par moment, il regrettait de ne pas être mort avec lui...

Le temps et les minutes passent alors que le roi fermait les yeux laissant le soleil lui réchauffer la peau. La chaleur, il n'avait pas connue cette sensation depuis des lustres. Lorsque Altance ouvrit les yeux, la cour était bondée. Le roi se leva prestement et regarda aux alentours ; la plupart des élèves et des chevaliers étaient dans la cour mais il en restait à arriver. Le Magicien de Cristal était déjà là, surveillant le cour et les futurs écuyer comme un aigle. Guettant le moindre signe de danger.
- Je vois que vous-vous êtes déplacer rapidement, lui dit le roi calmement. Abnar ne dit rien se contentant de le regarder des ses yeux gris d'acier aussi froid que l'hiver de Shola. Ses yeux, ils appartenaient à quelqu'un qu'il avait très bien connue, mais don il ne dévoilerai pas le nom. Pas en présence de cet immortel. Le roi d'Émeraude ferma ses pensés, il ne voulait pas être sonder, surtout par un enfant magique ou par lui. Il se retourna vers la foule et regardant les gens qui y étaient. Ils semblaient tous heureux, ils étaient avec leurs familles ou leurs amis et souriaient et parlaient, jouaient couraient. Un famille il n'en n'avait plus, elle c'était lentement dissiper.

Le roi d'Émeraude regardait toujours l'horizon de ses yeux couleurs de ciel à l'affut du moindre danger. La sécurité de ses sujets était une chose dont il voulait s'assurer. Un bon roi savait et devait protéger tous les gens de son peuple. Atlance balayait sans cesse le continent de ses sens magiques, rien. Toujours rien. Cette journée était un peux trop calme au goût du roi, ça n'annonçait rien de bon. '' Le calme avant la tempête, que nous réserve donc cet empereur ?'' pensa-t-il. Il continua de fourrager l'horizon ensoleillé, puis son regard de glace se posa sur l'assembler. Ils s'amusaient, inconscients du danger qui les guettaient tous. Même ses chevaliers avaient baissées leur gardes, cela fessait trop longtemps qu'il ne c'était rien produit à Émeraude, les gens semblaient avoir oubliées qu'ils étaient en temps que guerre et qu'un ennemis redoutable désirait les anéantir. Peut-être était-il trop paranoïaque ? Mais lorsque vous avez vous des centaines de vies perdu par la faute d'un seul ennemie commun, vous redouter une fois de plus son approche. Non il n'était pas paranoïaque, Atlance avait vus trop de jour défilées devant lui pour qu'il reste dans l'insouciance. Les enfants ci présent étant l'avenir, oui, l'avenir de l'ordre...

Une voix, une voix toujours aussi impassible le sortit de sa rêverait. Le Magicien de Cristal venait de lui posez une question. Le roi Atlance se demanda pourquoi il la posait puisqu'il connaissait déjà la réponse. Il fallit même lui dire de chercher dans sa mémoire mais se retint pour ne pas terminer cette belle journée sur une querelle inutile avec l'immortel. Le roi d'Émeraude se retourna vers Abnar, un air malicieux sur le visage.

- Tous les fourbes marionnette du ciel son mes ennemies. Allance eu une pensé pour Akuretari mais il se contenta de cette réponse pour ne pas exploser de rage devant toute l'assembler..

Après le début d'un nuit passé à me faire consoler par ma meilleur amie Eldàwen, je la laissa se reposer dans son dortoir, elle le méritait bien. Elle avait passer de longues heures à me réconforter, me disant sans cesse que je n'étais pas quelqu'un de stupide puisque j'avais réussis mes classes. Elle avait raison, mais je ne cessait de répliquer, sans l'écouter, trop entêté par mon idée paranoïaque que j'allais être expulsé de l'ordre. Après qu'elle se fut assoupi, je quitta son dortoir sans faire de bruit, il était très tôt puisque tout le monde dormait encore. Marchan à pas de loup je me dirigea vers la l'extérieur du palais afin de me rendre à la deuxième tour du château, inoccupé depuis des années personne ne viendrait m'y déranger. Je grimpa donc les marches quatre par quatre pour arriver au somment de la tour...

Je passa toute la nuit dans cette tour, à réfléchir et à penser à quoi rassemblerait ma vie si j'étais expulsé de l'ordre
'' Tout premièrement je dus quitté Émeraude, mais comment ? Mon père avait été forcé de venir me chercher, ici, devant tout le monde .Mon retour au royaume des elfes fus désastreux. Je fus traité traité comme le déshonneur du clan d'Ama... Les jeunes elfes s'amuseraient à me lancer des pierres et j'ai été obligé, puisqu'a ma naissance j'avais déjà été promis à une princesse, de me marier à une elfe d'un clan lointain. Mais son père eut honte de moi et me refuserait sa main. Finalement, je m'enfuis de mon pays pour partir vers une terre lointaine ou vive mes ancêtres. L'a je serais accepter. Je partie prestement, empruntant un navire au Zénorois et je voguais sur les mers, puis enfin après des jours et des jours j'accostai sur une plage verdoyante. Alors je me diriges vers le centre de l'ile lorsqu'on me saisit, un énorme insecte enfonça ses griffes dans ma chaire, je me débattu, ses mandibules se rapprochaient de ma gorge...''

Un courant d'air froid venait de parcourir ma gorge, j'ouvris les yeux avec horreur pour découvrir que je encore vivant et que je ne me suis pas faite attaquer par un homme-insecte. J'étais encore dans la pièce ! Mais quelque chose avait changer, il fait jour ! Je me leva pour me diriger vers la fenêtre de la tour, la cour était bondée ! Je me retourna et descendis les escaliers en vitesse pour sortir de la tour. Inutiles d'être discret, il y avait tellement de monde que personne ne me remarqua lorsque j'entre à l'intérieur du château. Je me dirige vers les cuisines pour manger un petit quelque, mais soudainement quelqu'un me prit par le bras.

- Anaral ! Où était tu je t'es cherchée partout !
C'était Eldàrwen, elle semblait vraiment inquiété.
- Désoler, j'étais dans le tour, je me suis endormis.
- Nous en reparlerons ! Dit-elle, aller viens ! L'attribution va bientôt commencer !
- L'attribu-quoi... ?

Je n'eus pas le temps de la questionner d'avantage, elle me tira vers par bras pour m'amenez dans la cour. Rendu la je venu pour la questionner, mais elle me coupa encore une fois.
- oh ! Attend ! Je reviens j'ai oublier quelque chose !

Puis elle repartit subitement, je resta planté là pendant quelques instant... *Qu'es quelle est énergique aujourd'hui* pensais-je tout haut. Un peux normal, cela fessait longtemps que nous attendions se jour. J'aurais dus l'être, mais j'étais plutôt inquiet. Je promena mon regard dans la foule à la recherche d'une de mes camardes de classe, lorsque mes yeux croisèrent ceux du roi. Je baissa la tête, continuant à avancer dans la foule. Je releva le tête, le roi ne me regardait plus, puis en retrait je remarqua la présence de jaune humaine mal-à-l'aise dans sa peau. J'eus une pensé compatissante à son égard lorsque je me rapprocha d'elle pour lui dire le plus réconfortant possible.
- SALUT JENN !!!!
Mon écho fus si fort et spontanée que plusieurs personne se retournent pour nous regardez. Gêner, je m'assis à ses cotés alors que les personnes retournèrent tranquillement à leur occupation...

Après avoir bien dormi dans ça chambre Hugrekki s'assit sur son lit et repensa a ce que l'un de ses frère (ou sœur ) d'arme luis avait raconté hier soir a propos de ce qui voulait leur dire le roi sur les larve d'homme insecte "Enfin une mission de puis le temps que j'attends ! Mais la vie du peuple du royaume même du continent tout en entier est en et je ne voudrait pas que ce qui s'est produit a mon peuple ce reproduise" puis il se leva et alla prendre un bain.
Après avoir prit un bon bain et s'être habiller il alla dans la cour ou ce trouvé déjà beaucoup de monde , il repéra la ou ce trouvé le roi et le trouva avec Abnar et alla les salué.

-Altesse , tout en s'inclinant
-Maitre Abnar , tout en s'inclinant

Après avoir était salué le roi et Abnar , Hugrekki alla cherché une coupe de vin et s'installa sur un ban , en profitant du beau temps hugrekki repensa a tout l'entrainement qu'il a fais , a tout les cours qu'il a suivi puis ce dit que bientôt cella allé enfin utilisé puis réfléchi a l'adoubement qu'y allé se déroulé aujourd'hui "Aujourd'hui tout ses jeune vont devenir écuyer et par la même occasion les chevalier des tuteur je me demande bien si l'on va m'en assigner un , et surtout si je vais pouvoir m'en occuper ? Je devrait l'entrainé et luis montré le bon exemple l'exemple ".
Il regarda sont verre.

-HAHA Pas ce genre d'exemple !

Quelque villageois et servante le regardé ce demandant de quoi il pouvais bien rigolé.
"Hum il faudrait aussi que j'arrête de pensé a voix haute ! Bon voyons voir qui ce trouve déjà ici , il y a quelque chevalier et futurs écuyer mais il ne sont pas tousse la bon et la bas...... ha heu mince j'ai plus de vin faut que j'aille en recherché".
Puis il alla en cherché encore une coupe et la bue plus calmement en attendant que la cérémonie commence .

Bridgess n'avait pour une des rare fois , pas passer sa journée dans la bibliothèque du château d'Émeraude, elle avait plus tot préférer donner de l'aide au servants et paysan, qui préparer tous ce qu'il fallait pour l'attribution des écuyer. On ne pouvait pas lui reprocher sa gentilles et sa bonté...
Puis elle vit le roi d'installer sur son trone, entrain de contempler l'avancement des préparatifs.
Elle vit ensuite Karmina et Abnar arriver, Ses deux personne Tenait discutions au roi...
La jeune femme pouvait ressentir l'excitation que les écuyers éprouvait en ce moment, ce qui est ,normal puisque dans quelque moment ils seraient officiellement Ecuyer D'emeraude.

La jeune femme espérait qu'une seul chose c'est que le roi n'avait pas trop sévérement punit le jeune étudiant d'emeraude qui les avait écouter lors de la réunion dans le hall des chevaliers et qu'il pourrait devenir ecuyer.

Cependant les préparatif s'achevait doucement et ils serait allors tous bientot pres pour la cerémonie

Après avoir ressentit les émotions de Jenn, je me maudit d'avoir attiré toute l'attention sur nous. C'était évidant, elle ne voulais pas parlée et aurait préféré ne pas être la. Mais au plus profond d'elle il y avait quelque chose que je ne comprenais pas ; un dédain, mais envers elle-même et pourtant, elle était si jolie. À vrai dire c'était la plus jolie fille de la classe selon moi, même si les filles n'était pas une chose à laquelle je m'intéresser, je nais pas le choix de l'avouer. Malheureusement, personne ne lui disait jamais. Puis soudain Ynes venu nous voir, suivit de maître Abnar. Je senti que ma camarade était encore beaucoup plus embarrassé, elle n'aimais pas être le centre du monde, je le savais, mais pourtant je restais planté là. Son ton hostile finit de me désider, elle avait besoin d'aire, d'être seule, alors je me leva.

- Pardon maître Abnar, mais, Bon, moi je vais aller rejoindre Eldàrwen avant qu'elle ne se perde !

Je me retourna vers la foule pour m'ennaler, mais je ne le fit pas. Indécis entre deux décision, puis mettant ma gêne de coter je me retourna gaiment.

- Jenn, j'allais oublier de te dire que tu était vraiment magnifique aujourd'hui, Je ne sais pas se que tu as fabriquer mais.... Waw !

Puis avant quelle ne puisse me répondre je m'éclipsa dans la foule, au fer et à mesure que mon teint rougissait. Enfin au loin j'aperçus ma meilleur amie....

Halrrël était arrivé dans la cours depuis à peine dix minutes qu’il c’était déjà retiré au fond de celle-ci. Il n’aimait pas très bien êtres entouré d’au temps de monde, comment dire, il se sentait trop coincé… Le chevalier était adossé contre la grande muraille, il observait tout se brouhaha dans la cours, le cœur de tout les petits nouveaux étaient remplit de joie et de fierté. Halrrël était heureux de voire tout ce monde excité.

Pourquoi est-ce qu’il avait un doute dans son esprit, comme si quelque chose de grave et sinistre allait se produire, et c’est alors que quelqu’un le sortit de ses pensées en lui rentrant dans les jambes. C’était un jeune garçon d’à peine quatre ans. Le chevalier lui sourit et ce pencha à sa hauteur,

- Ou sont tes parents jeune homme ? Lui demanda-t-il sur un ton doux et gentil.
- Ils sont juste là ! Répondit le petit de sa voie enfantine, celle qui n’a jamais connu de perverseris.

Et voila le petit garçon était repartit sans demander son reste, Halrrël ria un bon coup de son rire cristallin avant de reporté tout son attention sur le pied d’estade au bout de la cours, ou le roi était assis, attendant le bon moment pour enfin donnée écuyer à son maître.


(Désoler j'avais vraiment pas d'inspiration...)

Je marchais lentement le long d'une rangée d'arbres en fleures, l'air un peu absent. Qu'allais-je faire une fois en face de tant de chevalier ? Je suis sûre de perdre mes moyens et de finir rouge comme une pivoine. De plus, je n'ai pas d'ami. Pas un seul pour me soutenir devant tant d'inquiétude et d'appréhension …
- Tant pis ! dis-je soudainement, serrant les poings.
Un ouvrier âgé s'arrêta, arquant un sourcil.
- Euh … bégayais-je. Excusez-moi, je ne parlais pas à vous.
L'homme continua son chemin en ricanant ouvertement. Il faut aussi que j'arrête de parler seule, je me donne l'air vraiment trop stupide. Pour en revenir à mes réflexions, ça ne fait rien si personne n'est là pour m'aider à surmonter cette épreuve importante de ma vie. Je me suis toujours débrouillée seule.
- Où est cette cours déjà ? me demandais-je.
Je n'y allais que très rarement, préférant me faufiler par des endroits inaccessibles. Ma nature de panthéra prenait le dessus dans certaine situation. Un jour, je me suis glissé chez la laitière pour me désaltérer avec un bon verre de lait frais sans aucune permission … Je me suis fais grandement punir. Me rappelant le goût si doux du lait, je ne pu m'empêcher de me lécher les lèvres.
Au loin, j'aperçus la grande cour, et avec ma très bonne vision, je vis la plupart des écuyers et chevaliers. Même le roi était là.
-Suis-je présentable ?
Je scrutais mes vêtements : pour le grand jour, j'avais soigneusement choisi mes affaires. Une robe noire en soie s'arrêtait en haut de mes fins genoux et un collier munit d'une pierre en émeraude brillait autour de mon cou.
Je m'approchais de plus en plus. Mon cœur se mit à battre d'une force démente dans ma poitrine. Par réflexe, mes oreilles de couchèrent sur ma tête et ma queue fouetta l'air avec force.
- Je dois me reprendre … je dois me reprendre …
Soudainement, le roi tourna la tête et croisa mon regard d'or. Je me figea, la bouche entrouverte telle un bête poisson dans un bocal. Un sourire s'afficha sur son visage. Je lui tourna le dos, sentant mes joues s'enflammer, avant d'aller m'asseoir beaucoup plus loin.

À travers les yeux du roi d'Émeraude, une présence regardait fièrement cette assembler qui grossissait à vue d'œil. Les rassemblements de Chevaliers, ça lui avait manquer durant les dernières cinquante années qu'il avait passé à errer sans but vraiment précis. Ses forces grandissait, de jour en jour, il était plus présent, plus dominant et bientôt c'est pouvoirs renaitraient et il prendrai entièrement le contrôle de lui-même. C'était une chose que le spectre n'avait pas dit à Atlance, de peur qu'il refuse son offre. Il se sentait un peut mal, mais c'était déjà fais. Ils étaient entrain de devenir quelqu'un d'autre, ils seraient bientôt une troisième personne, et ça le roi le découvrirait bien tout seul. D'ailleurs, il était déjà entrain de le découvre...

Sans se douter de l'influence qu'avait le renégat sur lui, Atlance promenait son regard sur cette grande foule de gens qui attendaient avec impatience le vindicte. D'un coter de la cour, des Chevaliers discutaient entre eux, et d'un autre, c'étaient les futurs écuyers. Mais en retrait, il y avait certaine personne qui ne se joignait pas au cœur de la cérémonie. ' Ah, les jeunes pensa le roi, ils ont toujours des problèmes. Puis, son regard bleu glacé venait de se poser sur une créature dont il attendait la visite depuis longtemps, une panthéra. Son agilité et sa force serait un atout pour l'ordre. Il était heureux qu'elle soit venue, même si elle n'avait pas reçu le même entrainement que les autres élèves le roi avait tout de même accepter sa candidature, mais puisqu'elle était trop vielle pour commencer les classes avec les novices, elle allait être nommée écuyer. Lorsque la jeune hybride senti qu'il la regardait, elle lui tourna le dos. Rieur, Atlance détendit du dais pour venir lui souhaiter la bienvenue. Ses conseillers le regardait se diriger vers la femme-panthère, aussitôt ils se précipitèrent à ses cotées.

- Mais votre Majesté, vous n'y penser tout de même pas !
- Elle ne ferai qu'une bouché de vous !
- Monseigneur...
- Suffit, les stoppa net le roi, une créature aussi vil soit-elle serait bien stupide pour m'attaquer dans la cour même de mon château lorsque celle-ci est bondé de Chevalier. Atlance regarda ses conseillers, un aire insulté sur le visage. Me croyez-vous si incapable à me défendre ?
- Non, sire, bien sure que non.
- Alors cessez de me couvez, déclara-t-il d'un ton sec en déposant sa main sur l'épaule d'Alisa. Cette enfant est un futur écuyer, et vous lui devez respect et tolérance.
- Mais votre....
- C'était un ordre.

Les conseillers s'inclinèrent, puis s'éloignaient du roi pour se diriger vers le dais. La jeune fille se retourna, intimidée vers le roi d'Émeraude.

- Pardonnes leur manières, ils sont troublées au moins effet de surnaturel, déclara Atlance avec son sourire en coin. Je suis le roi Atlance d'Émeraude, et je suis heureux de voir que tu te joins à notre ordre.

Je vis le roi se lever majestueusement.

-Il … il vient vers moi ?!

Je serrait ma robe avec force entre mes doigts. Ce grand homme allait venir me parler personnellement. Nous allons être face à face.
Subitement, plusieurs conseillers s'affairèrent devant Atlance, parlant tous en même temps. Je n'entendis que de brève parole et compris vite le sujet de la discorde : moi. Encore moi, et toujours moi. Dès que j'apparais, une dispute éclate. Ma seule image en effraie plus d'un et suscite parfois de violents rejets.
Au fond de moi, je reste profondément blessée … Malgré tout, je garde la force de mon clan dans mon cœur car je suis la seule panthéra à avoir atteint un tel rang dans le monde. La simple méchanceté des autres ne doit pas me faire de mal.
La main d'Atlance se posa sur ma frêle épaule. J'enfonçais mon regard de félin dans le sien, lui montrant ma plus grande détermination.

« - Pardonnes leur manières, ils sont troublées au moins effet de surnaturel. Je suis le roi Atlance d'Émeraude, et je suis heureux de voir que tu te joins à notre ordre. »

Je mis du temps à répondre, certainement à cause de mon manque de souffle.

- Ne … Ne vous en faites pas, dis-je, cherchant mes mots. Leur maladresse me passe au dessus des orei... de la tête.

Je me tus après avoir prononcé ces mots. J'avais preuve d'une grande familiarité en présence d'un pareil homme. Je pris conscience de l'effort que j'aurai à fournir pour changer mon comportement afin de devenir une futur chevalière. Atlance ne parut pas du tout choqué par mes paroles, ce qui me soulagea grandement.

- Je dois faire honneur à ma race et protéger ce monde.

Le roi Atlance sourit, même si il n'avais jamais connue se genre de rejet puisqu'il était né prince et que personne ne lui refusait jamais rien. Il ne pouvait que l'imaginer et alors, un visage mauve apparut dans son esprit. Il semblait connaître cette personne, oui, il la connaissait, mais elle ne lui rappelais rien. Rien de son vivant. Peut-être une connaissance ? Non, il se serait souvenue d'une pareil connaissance. La seule femme mauve qu'il avait bien connu était Jahonne, et elle ne lui rassemblait pas. Ses pensés étaient brouillée, peut-être l'intense chaleur du soleil qui lui donnait la migraine ? Peut-importe, il n'avait pas le temps de s'apitoyer sur son sort, pas en cette journée d'adoubement. Le roi d'Émeraude sorti de ses pensé pour reposer son regard sur la jeune féline et lui servit son sourire.

- J'aime voir autan d'enthousiasme, déclara le roi avant de lui tapoter le dos et de la pousser en direction des autres écuyers. Tu devrais commencer à faire connaissance avec tes nouveaux camarades qui deviendront un jour tes frères d'armes.

Puis, le roi se retira auprès de ses conseillées sur le dais, soudainement il sentait quelqu'un le fixer.Il se retourna vivement ; Abnar le regardait de ses yeux gris. Dans les yeux du roi, une lueur étrangère de haine passa aussi rapidement qu'un coup de vent. Alors qu'il lui servit un regard noir une pensé lui traversa l'esprit, ou celui du spectre. ' Tu verra que je me vengerai et lorsque tu goutera à ma vengeance, tu regrettera dès lors tout tes actes'.. .